Diplomatie marocaine - Relations internationales

Rappel du premier message :

J’avais mal lu Fremo oui idéalement dans les 2 pays assurément.

Maintenant pour la Syrie tu négocies avec quelle entité ? Comment acheminer l’aide en toute sécurité?

En Turquie les routes sont détruites, impossible pour les secours de venir par voies terrestres.

La Turquie vient de subir des dégâts tels qu’une guerre n’aurait pas fait pire ….

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Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire

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Restons calmes, les amis ! Nous sommes tous des Marocains qui se battent avec leurs moyens et à leur niveau pour que le pays se relève ! Diplomatie marocaine - Relations internationales - Page 10 Icon_sal

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لك الله ياوطني

Dans notre guerre avec la dictature de l'est, la France est le seul pays qui aurait la légitimité pour nous mettre des bâtons dans les roues puisque depuis Moulay Abderahmane, le Maroc s'est toujours farouchement opposé au Français, en se sacrifiant, peuple, armée et territoire, pour sauver qui justement ? les voisins de l'est.

Et malgré cela, la France n'est pas un problème pour le Maroc : même quand elle est dirigée par des sous-merde marocophobes, comme en ce moment, elle reste officiellement du cote marocain sur le Sahara, le jour ou il faudra vraiment mettre le point final à ce conflit, elle se rangera du bon cote.

Le reste, les visas, les chantiers, la concurrence en Afrique, c'est une autre histoire, tout mélanger c'est faire l'affaire de nos ennemis et des journaleux en manque de clics.

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Le Maghrib tout entier (al-Maġhrib al-aqsá bi-jumlati-hi) s’est mis en mouvement, le fond des vallées s’est rempli, les pentes ont déversé le tumulte de ce torrent impétueux. @ Abd Al Mu'min, 1158.

Bolden a écrit:: Dans notre guerre avec la dictature de l'est, la France est le seul pays qui aurait la légitimité pour nous mettre des bâtons dans les roues puisque depuis Moulay Abderahmane, le Maroc s'est toujours farouchement opposé au Français, en se sacrifiant, peuple, armée et territoire, pour sauver qui justement ? les voisins de l'est.

Et malgré cela, la France n'est pas un problème pour le Maroc : même quand elle est dirigée par des sous-merde marocophobes, comme en ce moment, elle reste officiellement du cote marocain sur le Sahara, le jour ou il faudra vraiment mettre le point final à ce conflit, elle se rangera du bon cote.

Le reste, les visas, les chantiers, la concurrence en Afrique, c'est une autre histoire, tout mélanger c'est faire l'affaire de nos ennemis et des journaleux en manque de clics.

Pardon, mais tu es sur de ce que tu dis là, elle se rangera de notre côté.....
Elle se range du côté du gagnant, comme en ww2, elle était nazie jusqu'à 1944, une fois Paris libérée par les américains, ils ont fixé changés de veste et se sont mis à se lancer des accusations de collaborisme pour régler leurs comptes....
Donc faut pas trop compter sur leurs impartialité historique....

Fox-One a écrit:: Pardon, mais tu es sur de ce que tu dis là, elle se rangera de notre côté.....
Elle se range du côté du gagnant, comme en ww2, elle était nazie jusqu'à 1944, une fois Paris libérée par les américains, ils ont fixé changés de veste et se sont mis à se lancer des accusations de collaborisme pour régler leurs comptes....
Donc faut pas trop compter sur leurs impartialité historique....

Comment comparer le cataclysme mondial qu'a été la guerre mondiale à un conflit régional ? L'avenir de la France est-il en jeu au Sahara ? De plus pendant la guerre mondiale, la France libre n'a jamais été du cote de l'Allemagne, sauf quand elle était occupée, ce qui change tout, puisqu'elle n'avait pas le choix.

Je pense que la France ne changera jamais de position sur le Sahara parce qu'elle l'a prouvé, même dans les pires moments crises entre les deux pays, sa position est restait la même. D'une part parce qu'elle a la mieux placée pour connaitre la légitimité du Maroc dans son combat, et d'autre part, parce qu'elle ne pourra jamais pas se permettre de trahir le Maroc sur le plan diplomatique et même stratégique.

On lui demande de se mouiller plus en ce moment, perso je pense que ce n'est pas une bonne idée, la France a une image totalement desastreuse en ce moment en Afrique, si elle se mêler directement du Sahara, ça ne jouerait pas du tout en notre faveur autant dans l'opinion publique en Afrique que dans les couloirs de l'UA.

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Ssi Bolden vous vous trompez en disant que la France est côté Marocain, d'abord parce qu'elle ne l'a jamais été et ensuite dire que l'autonomie est une bonne proposition c'est de la neutralité qui depuis la reconnaissance US est négative , si comme vous le dite elle connait la légitimité du Maroc pourquoi ne pas simplement reconnaitre la Marocainité du Sahara que ce soit sous Macron Chirac ou x ou y il ne faut pas excuser la France en parlant uniquement de politique interne ou de politicien Marocophobes ou de montée d'extreme droite oui la France est le principal frein aujourd'hui à la résolution de ce conflit

je reposte ici l'interview de De Villepin qui était sous Chirac perçu comme pro-Marocain:

https://medias24.com/2018/04/26/entretien-dominique-de-villepin-le-reglement-du-conflit-du-sahara-attendra-lapres-bouteflika/

''- Dans quel cadre ce conflit régional pourra se régler: autonomie ou référendum ?

- Aujourd’hui, tous les mots fâchent car les mots des uns irritent les autres. Je pense toutefois qu’il y a des situations de fait qui peu à peu s’imposeront et seront reconnues par chacune des parties.

Une fois de plus, je suis persuadé que le temps fera son affaire.''

Si c'est pas de la neutralité négative d'une administration française percue comme pro-marocaine je sais pas ce que c'est...

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Le courage croît en osant et la peur en hésitant.

La position française , qui était en avance en 2007 (genèse et soutien au plan d'autonomie), a été dépassée en 2020-2021 par plusieurs pays : USA (reconnaissance), l'Espagne, l'Allemagne etc....

De plus des dizaines de pays ont installé des consulats dans notre Sahara depuis plusieurs années .

Le Maroc ne fait que demander à la france de se positionner par rapport à ces pays qui ont évolué et avancé sur la question, alors qu'elle est restée à 2007

Voilà la source du litige ...

Sur un autre registre Laughing

https://twitter.com/Samarkandy1/status/1633128044285100034?s=20

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Attention ... dans pas longtemps cette personne va se faire poursuivre pour "fake news" puisqu'il a qualifié notre sahara de marocain ....

Citation :: Maroc, Pologne : les échecs diplomatiques d'Emmanuel Macron
Il est temps pour l’Elysée de faire son autocritique avant que notre pays ne soit durablement déconsidéré.

Que s’est-il passé depuis quelques années pour que le « french bashing » soit désormais aussi intense qu’au plus fort de la crise franco-américaine quand Dominique de Villepin déclarait à l’ONU que la France s’opposerait à l’invasion de l’Irak ? Partout où le président de la République se déplace, hors de l’Europe de l’Ouest, il doit essuyer des critiques de plus en plus vives. En Afrique subsaharienne, le travail d’influence de la Russie et de la Turquie dans les anciennes colonies a été à juste titre dénoncé, mais il serait faux de s’en tenir à cette seule lecture.

Notre machine diplomatique est usée et manque d’imagination. La France ne fait par ailleurs plus « rêver » dans un monde connecté où les distances se sont réduites à mesure que les espaces dématérialisés du numérique rapprochaient les expériences de vie et les représentations culturelles. Il est temps pour l’Elysée de faire son autocritique avant que notre pays ne soit durablement déconsidéré.

Les tensions récentes avec les pays traditionnellement alliés de la France que sont le Maroc et la Pologne en sont les exemples les plus emblématiques. Avec ces deux puissances régionales en plein développement, la France n’a pas su établir de partenariats stables et se retrouve même au cœur de difficultés relationnelles inédites alors même que d’importantes diasporas marocaines et polonaises sont installées de longue date chez nous. L’autre parallèle est que ce sont deux pays traditionnels qui font face à des voisins hostiles que nous avons longtemps cherché à nous concilier : la Russie et l’Algérie.

Maroc et Pologne : quand l’Union européenne aggrave une situation déjà tendue

Pour ce qui concerne la Pologne, rare pays européen avec lequel nous n’avons jamais été en guerre et pilier catholique à l’est du continent, l’action de Clément Beaune lorsqu’il était secrétaire d’Etat chargé des Affaires européennes a joué un rôle particulièrement négatif. En mars 2021, lors d’une visite en Pologne, il a ainsi prétendu qu’il avait été interdit d’accès de la ville de Krasnic, municipalité qui s’est déclarée « zone libre de l’idéologie LGBT ». Un mauvais calcul, puisque dans la foulée le vice-ministre polonais des affaires étrangères Szymon Szynkowski vel Sęk avait rejeté officiellement ces accusations, affirmant qu’aucune des autorités polonaises n’avait interdit ni privé Clément Beaune de la possibilité de visiter Krasnic...

Cette diplomatie de la morale, souvent à double vitesse, n’est pas que la conséquence des visées de l’Union européenne. Malheureusement, la France est souvent au-devant de ces considérations. À Varsovie, la concomitance entre la polémique Beaune et la condamnation, quelques mois plus tard en octobre 2021, de la Pologne à une astreinte d’un million d’euros par jour en raison d’un supposé non-respect d’un arrêt de la Cour de justice de l’UE (CJUE) qui avait ordonné la cessation immédiate des activités de la chambre disciplinaire de la Cour suprême polonaise, n’est pas passée inaperçue alors même que le pays est en première ligne du combat contre l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

Le gouvernement de droite du PIS considère être traité d’une manière injuste, estimant subir un « deux poids deux mesures » contraire même aux intérêts les plus immédiats du continent. C’est précisément le reproche qui est aussi formulé par le Maroc, furieux de l’ingérence du Parlement européen dans une procédure pénale après le vote de la résolution le visant en janvier dernier autour du cas du journaliste Omar Radi, condamné pour viol par la justice marocaine. Alors que les députés de la majorité socialiste espagnole ont refusé de voter la résolution symbolique, le groupe des eurodéputés Renaissance emmené par Stéphane Séjourné l’a votée.

Emmanuel Macron a ensuite tenté de rattraper, déclarant que la justice marocaine était souveraine, mais ile mal était fait et la parole présidentielle inaudible. Avec ces deux pays, les sources de conflits sont multiples et le Parlement européen ne nous facilite pas la tâche. La France est accusé de ne pas prendre parti comme elle le devrait, de se montrer trop faible face aux Russes à l’est et face aux manœuvres algériennes en méditerranée, y privilégiant des intérêts de court terme au détriment d’alliances historiques et stratégiques majeures.

Maroc et Pologne : des puissances régionales incontournables

Pologne et Maroc sont pourtant des partenaires économiques d’envergure pour la France. La Pologne est présentement le pays avec lequel nous avons le plus d’échanges économiques en Europe centrale. Forte de 38 millions d’habitants, elle affiche une croissance 4 % tous les ans depuis le début des années 2000, affirmant des ambitions militaires et infrastructurelles d’envergure – comme nous l’a montrée la question des centrales nucléaires, perdue pour nos champions nationaux -. Nous avons de fait trop longtemps subi la stratégie allemande, Berlin faisant de l’est son pré-carré naturel tout en se mariant à la Russie dont elle était dépendante du gaz à bas coût pour son industrie. Une fenêtre qui tient à la fois de l’opportunité et de la nécessité s’est ouverte avec la guerre d’Ukraine, nous commandant de repenser notre stratégie dans le sens d’un couple franco-polonais seul en capacité de réduire l’influence allemande et de maintenir la pression sur Moscou.

La dépendance allemande au gaz russe a eu de funestes conséquences sur l’Europe, pourquoi donc prendre le même chemin avec l’Algérie ? C’est pourtant ce que semble vouloir faire la France. Afin de ménager Alger, nous méprisons Rabat qui nous le fait payer. Fin février, Emmanuel Macron a déclaré avoir une « relation amicale avec Mohammed VI ». La réponse d’un officiel marocain anonyme rapportée par Jeune Afrique fut cinglante : « Les relations ne sont ni amicales ni bonnes, pas plus entre les deux gouvernements qu’entre le Palais royal et l’Élysée ». Présents tous deux au Gabon, les deux chefs d’Etats ne se sont pas rencontrés.

En cause, de nombreux dossiers non résolus, à commencer par le nœud du Sahara marocain qu’alimente Alger via le Front Polisario. Les accords d’Abraham sont aussi source de tensions. C’est d’ailleurs après la reconnaissance de la souveraineté marocaine sur le Sahara en 2020 par Donald Trump, depuis confirmée par Joe Biden, que ces accords historiques normalisant les rapports d’Israël avec le monde arabe ont pu être signés. On mesure bien le danger des irrédentismes et des séparatismes régionaux dans le monde contemporain à l’aune des différents conflits qui se sont déclenchés ces dernières années.

Des républiques séparatistes de l’est de l’Ukraine en passant par la Crimée, le plus pacifique cas catalan, ou encore les conflits irlandais et basques, ces enjeux territoriaux peuvent être explosifs. Du reste, ces tentations rebelles peuvent être exploitées par des puissances rivales. De la même manière que la Russie a manipulé l’opinion publique internationale avec le Donbass, l’Iran ou l’Algérie utilisent sans vergogne le Front Polisario pour tenter de défaire l’unité et la souveraineté marocaine, instrumentalisant les extrêmes-gauches européennes qui n’en demandent pas tant ; prêtes à boycotter un jour la Pologne sur la question LGBT, le lendemain Israël sur la question palestinienne, et peut-être demain le Maroc pour le Sahara qui est pourtant depuis des siècles son territoire et dont les troubles contemporains ont pour source … la décolonisation et le tracé des frontières.

La France aurait pourtant tout intérêt à se positionner clairement. D’abord, la relation avec l’Algérie ne dépend pas du Sahara. Prenons Alger au mot puisque son gouvernement a longtemps affirmé ne pas avoir de rapport direct avec ce sujet. Rejoindre les Etats-Unis et l’Espagne ne serait pas céder à un chantage, mais faire acte de bonne politique pour réchauffer des relations indispensables dans notre espace euro-méditerranéen. Idem pour la Pologne. N’écoutons pas les sirènes qui accusent Varsovie d’atlantisme forcené – ils le font d’ailleurs aussi pour le Maroc -.

Emmanuel Macron a tout à gagner de sortir de l’ambiguïté et de cet « en même temps » diplomatique qui nous isole de plus en plus. La France n'aura plus les capacités d'être la puissance d'équilibre qu'elle souhaiterait être si elle présente une attitude déséquilibrée à l'égard de pays alliés.

https://atlantico.fr/article/decryptage/maroc-pologne-les-echecs-diplomatiques-d-emmanuel-macron-gabriel-robin

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Dans un autre registre, en Espagne certain commencent à comprendre le danger...

Citation :: Le Maroc est le bouclier de l'Occident contre la menace russo-iranienne

Washington et Rabat poursuivent leur stratégie visant à contenir la menace croissante que représente pour la société occidentale l'expansion du Kremlin au Sahel
Enrique Fernández

Les efforts de sécurité du Maroc dans la région du Sahel, en Afrique du Nord et au Sahara sont de plus en plus nécessaires pour l'Occident. Si nous avons en Europe la coexistence la plus pacifique du monde, c'est grâce aux innombrables campagnes sécuritaires menées par l'exécutif marocain avec Mohammed VI à sa tête. Pour Washington, la recherche de la stabilité régionale et, par conséquent, mondiale, est l'un de ses objectifs ultimes. Pour toutes ces raisons, les Etats-Unis travaillent main dans la main avec Rabat depuis plus de deux décennies, ce qui a conféré au pays alaouite le plus grand impact stratégique en Afrique, juste derrière l'Ukraine en Europe en raison du conflit armé actuel entre les deux pays et Moscou.

Si le Maroc est connu comme la "porte d'entrée de l'Europe", il est en même temps le mur de soutènement pour tous ceux qui, sous commandement russo-iranien, souhaitent déstabiliser la région, comme c'est déjà le cas au Mali et au Burkina Faso avec l'ingérence russe et l'entraînement militaire du Groupe Wagner dans la région. En outre, la récente déclaration de retrait des troupes françaises, qui ont jusqu'à présent entravé les actes terroristes de toutes sortes, a renforcé la force de ceux qui souhaitent contrôler la région, tant en termes de capacité que de fréquence de leurs attaques. La dépendance du Maroc ne se limite pas aux capacités militaires et à l'expertise en matière de sécurité, car la région du Sahel est une zone traditionnelle d'influence religieuse pour le Maroc, ce qui lui permet de faire front à l'expansion sectaire iranienne qui fait des percées.

Pour les États-Unis, la nation nord-africaine est, selon les mots du chef d'état-major, le général Mark Milley, "un partenaire et un grand allié". Les contacts entre les administrations Biden et Mohammed VI n'ont jamais été aussi nombreux. Lors de sa dernière visite, le général Milley a souligné la force des relations militaires entre les deux pays, exprimant la volonté de son pays de les approfondir et de les élargir, évoquant à cet égard les manœuvres African Lion qui sont menées depuis une vingtaine d'années et qui ont prouvé leur efficacité, ainsi que de nombreuses autres questions liées à la sécurité régionale. Historiquement, les États-Unis ont été une nation désireuse de créer une stabilité sociale et politique dans de nombreux États, principalement en Asie centrale et dans les pays du Golfe.

Les États-Unis, en tant que nation décrite comme "le point de référence du monde", considèrent le Maroc comme un partenaire parfait, comme en témoignent les déclarations des diplomates américains lors de leurs rencontres avec l'exécutif alaouite. Les ambitions expansionnistes de Washington au cours du siècle dernier ont provoqué d'innombrables phobies et philippiques. La raison principale : la quête de l'imposition d'un régime qui se rapproche de l'approbation des États-Unis, de l'Irak au Yémen, en passant par la Syrie, la Libye et l'Afghanistan, autant d'exemples d'États qui ont échoué à la suite de l'intrusion américaine. Toutefois, les relations avec Rabat constituent un cas particulier. Des analystes et experts politiques tels que Hisham al-Mutadid voient dans le renforcement des relations une volonté de protection mutuelle et une recherche de bénéfices dans tous les domaines pour les deux nations.

Les analystes politiques estiment que le renforcement de la coopération américano-marocaine, à la lumière de la lutte d'influence croissante entre les principaux pays d'Afrique du Nord, sera un élément efficace pour protéger les intérêts des deux pays, d'une part, et fera du Maroc, en particulier, un élément d'équilibre qui contribue à la stabilité dans cette région à dimension vitale et bloque la voie à toute escalade poussée par le régime algérien pour couvrir ses conflits internes. Les développements sécuritaires de ces dernières années ont révélé l'importance du rôle du Maroc par rapport à l'Europe et aux Etats-Unis.

Le Royaume du Maroc a joué un rôle de premier plan dans la guerre contre le terrorisme et a fourni à ses partenaires occidentaux de précieuses données de sécurité qui ont permis de démanteler plusieurs réseaux terroristes et de déjouer leurs plans ; en effet, on estime que l'administration marocaine a déjoué plus de 2 000 tentatives d'attentats depuis les incidents du 11 septembre. Le Maroc a réussi à ouvrir les yeux des pays occidentaux sur le danger stratégique que représente la coopération entre le régime algérien et l'Iran. Il a été le premier à révéler que Téhéran avait livré des drones au Front Polisario et que le Hezbollah avait entraîné les militants de ce groupe séparatiste, ce qui a fait comprendre à l'Europe que la menace iranienne se trouvait à ses frontières sud.

Par la suite, des rapports internationaux ont appuyé les affirmations du Maroc sur le danger de la coopération algéro-iranienne et ont exercé une pression supplémentaire sur l'Algérie, qui est devenue un facteur de tension dans la région, non seulement en raison de l'augmentation de l'activité iranienne, mais aussi de l'influence croissante de la Russie, à un moment où les efforts du régime algérien pour apaiser les craintes occidentales ont échoué. Les observateurs affirment que le Maroc dispose d'un atout supplémentaire dans ses relations religieuses et historiques avec l'Afrique, car il est considéré comme un point de référence spirituel pour les mouvements soufis, n'a pas besoin de faire beaucoup d'efforts et ses imams sont sur le terrain, et Rabat est un lieu de rencontre régulier pour les différents chefs politiques, religieux et tribaux de la région du Sahel.

Lors de leur rencontre avec le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, à la fin du mois dernier, la délégation du Congrès a souligné l'importance de l'engagement stratégique des États-Unis avec le Maroc au niveau régional, notant que le Maroc est l'un des plus proches et des plus anciens alliés des États-Unis. Dans le contexte de la lutte d'influence en Afrique du Nord, la visite de la délégation du Congrès américain au Maroc a coïncidé avec la visite du secrétaire du Conseil de sécurité russe Nikolai Patrushev en Algérie, où il a rencontré le chef d'état-major de l'armée algérienne, le général de corps d'armée Saïd Chengriha, afin de "renforcer la coopération militaire et discuter des questions d'intérêt commun", selon un communiqué du ministère algérien de la défense, qui indique que les deux parties "ont discuté de la coopération militaire entre les deux pays et des moyens de l'améliorer".

Il y a quelques semaines, le Royaume a reçu le coordinateur de la politique étrangère de l'Union européenne, Josep Borrell, qui, au nom de l'Union, a rouvert les portes du continent à tous les diplomates marocains qui souhaitent intervenir pour un rapprochement tant culturel qu'économique. La nation nord-africaine a prouvé au fil des ans, malgré les tensions qui surgissent, qu'elle est la principale clé de la politique de voisinage menée par l'UE dans le but de se rapprocher de l'Afrique, en grande partie grâce à sa situation géostratégique enviable. L'UE a souligné le plein bénéfice pour les habitants des provinces du sud du Maroc des accords conclus entre Rabat et Bruxelles et leur impact positif sur le développement socio-économique de ces régions.

L'Union a noté dans son rapport annuel pour l'année 2022 que, grâce à l'essor réalisé, les régions du Sahara marocain sont devenues un véritable pôle de prospérité et d'investissement dans le cadre du partenariat "gagnant-gagnant" avec l'Union européenne. Dans le cadre de son approche holistique, le rapport a noté que les différents acteurs économiques et les représentants de la société civile, notamment les organisations non gouvernementales actives dans le domaine des droits de l'homme dans ces régions, ont souligné la grande importance de l'accord d'association dit "Accord agricole", sa mise en œuvre réussie et son impact positif sur le développement des régions du Sahara marocain.

La situation de la région en matière d'armement et de sécurité internationale préoccupe beaucoup les États-Unis, notamment en ce qui concerne la crise libyenne, l'instabilité du Sahel et la pénétration croissante de la Russie à travers le Groupe Wagner. L'Algérie ne manque pas l'occasion de se présenter comme un fer de lance dans la guerre contre le terrorisme dans la région du Sahel, mais son affiliation à l'école russe et iranienne de l'armement et des fournitures reste une source d'inquiétude pour Washington, surtout à la lumière des rumeurs de contrats d'armement préparés avec Moscou, en plus d'un "accord de partenariat stratégique approfondi", qui a suscité des inquiétudes dans les milieux et les élites américains et européens, qui ont appelé leurs gouvernements à imposer des sanctions à l'Algérie pour son rapprochement étroit avec la Russie.

https://atalayar.com/fr/content/le-maroc-est-le-bouclier-de-loccident-contre-la-menace-russo-iranienne

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Ssi Bruce

De Villepin s'exprime a titre privé, il n'a plus aucune fonction, et d'après ce qu'on peut deviner, il n'est pas un grand "ami" du Maroc. Et dans ses propos, y a pas d’ambiguïté, on lit bien que c'est l'autonomie qui va l'emporter, puisque la situation de fait actuelle c'est que le Maroc dans son Sahara.

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https://twitter.com/atlantico_fr/status/1633050053836255233

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je comprends mieux de qui tient les psychotiques de l'Est leur lâcheté

https://twitter.com/MoroccoIntel/status/1633530169020276740?s=20

C'est de bonne guerre, il est la cause de toute leurs malheurs en afrique

https://www.jeuneafrique.com/1424452/politique/au-maroc-comment-interpreter-la-visite-inedite-du-patron-de-larmee-americaine/

Si une âme charitable peut partagé avec nous cet article Allah ijazih bikheir

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Bruce Wayne a écrit:: https://www.jeuneafrique.com/1424452/politique/au-maroc-comment-interpreter-la-visite-inedite-du-patron-de-larmee-americaine/

Si une âme charitable peut partagé avec nous cet article Allah ijazih bikheir

Maroc : comment interpréter la visite inédite du patron de l’armée américaine ?:

la Macronie en plein déni : «Je ne crois pas que la France ait eu quelque initiative que ce soit qui pourrait provoquer l'ire des autorités marocaines. Si je me trompe, citez moi lesquelles ? » Laughing

Goulou Ram Zine !

https://twitter.com/MoroccoIntel/status/1633580219243061249?cxt=HHwWgoCzgb2j0qstAAAA

https://twitter.com/MoroccoIntel/status/1633584423772868608?cxt=HHwWgMC-mZuY1KstAAAA

https://twitter.com/MoroccoIntel/status/1633592176423882752?cxt=HHwWgMDS-bzb16stAAAA

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1 2 3 عاودي ل....

Le Falcon 7x de Moulay Hafid Elalamy, ex-ministre de l’Industrie et patron de Saham Group a subi un contrôle douanier des plus sévères à l'aéroport du Bourget. Les détails C’est une règle presque établie : posséder ou même louer un avion privé offre la possibilité d’y transporter ce que l'on veut avec une facilité assez déconcertante. Lors d'un vol en jet privé, la confidentialité fait partie du service à bord : les bagages ne sont que très peu contrôlés. Les douaniers sont pour la plupart du temps absents et les plans de vol peuvent se faire en toute discrétion. Quand ils sont plus regardants, les interceptions donnent le ton sur la nature des cargaisons : argent liquide, tableaux de maîtres, bijoux, substances illicites etc. On estime que les trajets illégaux représentent 7 % du trafic d'affaires européen. Europol, la police européenne, dénonce régulièrement la situation, en premier lieu de simples fraudes à la TVA, que ce moyen de transport permet facilement de ne pas déclarer, donc de ne pas payer. Mais, on le sait bien, les contrôles ne se font pas à l’aveuglette. Sont donc plutôt visés les personnages interlopes à la fortune douteuse et originaires de pays où les crimes économiques sont un sport national d’élites prédatrices. « Comment alors expliquer la désagréable mésaventure vécue par l’ex-ministre de l’Industrie et patron de Saham Group Moulay Hafid Elalamy, sinon par une attitude délibérée des autorités françaises ? », s’interroge notre source qui y voit, après la crise des visas, un épisode de plus dans les tracasseries qui ciblent particulièrement les décideurs marocains. Selon notre source, arrivé à l’aéroport du Bourget le 2 mars dernier à 12 h 44, le Falcon 7x de MHE a été immobilisé sur le tarmac pour une fouille en règle du cockpit à la soute en passant par la cabine. Les passagers et membres de l’équipage ont été sévèrement contrôlés, leurs papiers épluchés et le passeport du riche homme d’affaires, pourtant habitué à des rotations par Paris, dûment scanné. Le jet est demeuré huit heures sur le sol français avant de rebrousser chemin vers Malaga, son aéroport de départ, à 22 h 25. a écrit:

https://ledesk.ma/enoff/a-paris-mhe-traite-comme-un-vulgaire-oligarque-russe/

Macron est entrain de scier la seule branche sur laquelle la relation France-maroc est assise ...Le lien humain, j'espère que les nôtres ont compris le message

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C justement pour ça q j écris, mon dernier poste

En plus le groupe SAHAM de MHE détient sana éducation qui possède plusieurs établissements aefe

il fallait lui laisser le passeport diplomatique. Un ancien ministre de cette envergure...

...un passeport diplomatique pour l'immunité et donc pas de fouilles je crois.

Invité

Il y a une grosse attaque médiatique aujourd'hui. Le Soir (Belgique) et Radio France. Attaque coordonnée.

On est vraiment dans de la guerre hybride.
Il va falloir une contre-attaque à un moment ou un autre. On ne peut pas rester les bras croisés face à des articles qui prennent Sahara Resource Watch comme une source honorable.

Le problème est que si on fait une "enquête" journalistique sur un autre pays ce sera sans précédant. Tu t'imagines, le bordel médiatique et politique sur la scène international.
2M va pas nous pondre en exclusivité un reportage de 60min sur un scandale au sein de l'Élysée ou du palais royal Belge.

La zone international est fragile en cette période. Foutre un bordel dans un corps diplomatique européen c'est pas dans notre intérêt.
Des gouvernements ont peur d'une révolte. On a de quoi faire mal, nos mre sont dans les 4 coins du monde avec des postes clés, on a aussi nos réseaux sur leurs scandales. Nous ne sommes pas comme cela.

Le Maroc a une diplomatie très complexe. Les journaux se mettront au pas avec les pressions des grosses boites européenne implanter au Maroc. Doucement mais surement. On doit déjà calmer ceux de l'est avec ceux d'afrique du sud sur différents forum diplomatique. On va pas attaquer tout le monde n'ont plus sinon c'est nous les méchants après. Tu va lire des "Le Maroc s'embrasse dans ses relations Diplomatiques international" ou encore "Le Maroc s'isole encore". La diplomatie Marocaine s'étend. Elle dialogue a sa maniere, mais elle dialogue.

L'UE a emboiter le pas au US le reste va suivre, Macron est en pleine rebellion à cause des US, et de nos positions diplomatiques. Il n'a aucune réel pression sur personne ni chez nous ni ailleurs. Cette pertes de pouvoir selon moi explique entre autres sa position actuel. Mais Colona dans une récentes intervieuw a laisser entendre que le problème viendrait de nous Diplomatie marocaine - Relations internationales - Page 10 1f602

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Si c'est le cas, chapeau a la diplomatie Marocaine :-D

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« Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n'abandonnent jamais. »

(Hassan II).

La première réponse doit être le TGV. Si jamais on le donne à Alstom, c'est qu'on est des chèvres !

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