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Sujet: L'industrie automobile au Maroc Ven 24 Mai 2024 - 12:38
Rappel du premier message :
C'est ridicule de vouloir développer une voiture marocaine avec un marché ne dépassant pas les 70k véhicules annuellement même avec toit les marchés de l'Afrique de l'ouest, un moteur marocain ? Il faut déjà développer notre sidérurgie
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messages : 6898 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: L'industrie automobile au Maroc Dim 24 Nov 2024 - 18:51
Socket-error a écrit:
D'après TV5, Renault est encours de négociation avec le gouvernement marocain, pour s'implanter à Nador !
L'usine produira des voitures hybrides et électriques !
A faire à suivre !
Stellantis serait complètement à côté de la plaque de ne pas profiter de la gigafactory à moins de 1000m pour installer une ligne de production de VE
En effet, les constructeurs européens notamment les géants allemands, se trouvent actuellement dans une situation difficile. Récemment, une usine Audi a fermé en Belgique, tandis que plusieurs sites de production de VW en Allemagne sont également en cours de fermeture.
Le Maroc, avec ses atouts géographiques et industriels, représente véritablement une opportunité cruciale pour les entreprises européennes pour une relation gagnant-gagnant.
Il pourrait permettre aux européens de maintenir leur compétitivité dans le secteur automobile mondial, face à la concurrence chinoise galopante !!
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messages : 6898 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: L'industrie automobile au Maroc Lun 25 Nov 2024 - 12:21
Socket-error a écrit:
Je pense que nous avons une place à prendre, dans cette course à la VE à moins de 20K$ pour le marché européen !
Même sans prime écologique !
Les dernière infos de la presse confirme le créneau des VE à -20K
Citation :
Des sources françaises ont révélé que le groupe géant automobile Stellantis a décidé de transférer la fabrication du modèle électrique Citroën ë-C4 de son usine de Madrid à Kénitra.
Selon le site spécialisé L'argus, l'usine Stellantis de Madrid continuera à produire la Citroën ë-C4 jusqu'en 2028 ou 2029, et après cela, la production sera transférée au Maroc.
Selon la même source, la Citroën C4 ne sera pas produite dans l'usine Stellantis de Madrid-Villaverde mais sur le site de Kénitra à partir de 2027.
La même source rapporte sur le site espagnol Tribuna de Automoción que ce modèle vise à concurrencer le Dacia Duster, grâce à un prix initial inférieur à 20 000 euros.
D’où la nécessité de produire la future alternative au C4 dans l’usine marocaine.
Le site spécialisé français indique que la capacité de production du site de Kénitra devrait passer de 300 000 à 450 000 unités par an
Sujet: Re: L'industrie automobile au Maroc Lun 25 Nov 2024 - 14:49
So it means we will continue going up in segment in the next 2-3 years while still producing primality Petrol/diesel cars (From B to C segment) and starting 28-29 we will start integrating more and more electric capacity
Zakaria Commandant
messages : 1195 Inscrit le : 17/11/2021 Localisation : Paris Nationalité :
Sujet: Re: L'industrie automobile au Maroc Lun 25 Nov 2024 - 14:54
Ce qui serait intéressant c’est de voir chez qui vont ils acheter leur batterie électrique ? Les batteries aux phosphates coutent moins chères et correspondent tres bien a ce segment de -20k
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messages : 6898 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: L'industrie automobile au Maroc Lun 25 Nov 2024 - 15:04
Antares a écrit:
So it means we will continue going up in segment in the next 2-3 years while still producing primality Petrol/diesel cars (From B to C segment) and starting 28-29 we will start integrating more and more electric capacity
On sera prêt avant !
Nous entrerons dans l'écosystème des véhicules électriques à partir de l'année prochaine, avec la mise en production de la joint-venture Al Mada-CNRG à Jorf !
Les 2 usines BTR nécessite 2 ans, soit en 2026.
De plus, la production de la gigafactory Gotin à Kénitra commencera mi-2026 ! etc etc
Logique que Stellantis se place pour 2027 pour des EV à Kénitra
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RED BISHOP Modérateur
messages : 12339 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: L'industrie automobile au Maroc Lun 25 Nov 2024 - 15:13
L'un des actionnaires principales de Gotion est Volkswagen et celui qui doit se bouger le cul c'est bien lui. Cette entreprise est en train de mourir a petit feu. Elle a une opportunité en or de lancer la "voiture du peuple" électronique grace au Maroc mais pour ça il faut se bouger le cul au lieu de laisser cette grande entreprise s'effondrer comme c'est le cas actuellement
_________________
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messages : 6898 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: L'industrie automobile au Maroc Lun 25 Nov 2024 - 16:14
VW pèse 3.25% chez Gotin, soit le 2ème plus gros actionnaire !
Mais effectivement, ils ont choisi de mettre 15% dans la gigafactory de Kénitra, en plus de Gotin et de la CDG !
Je pense que la stratégie de Volkswagen repose principalement sur l'approvisionnement en pièces et dans une moindre mesure, en batteries au Maroc.
Toutefois, il est peu probable qu'ils se lancent dans le montage complet de véhicules à moyen terme dans notre pays. Ils semblent plutôt privilégier une période d’assainissement interne et de réévaluation de leurs axes de croissance, afin d’identifier de nouveaux leviers stratégiques.
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Fahed64 Administrateur
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Sujet: Re: L'industrie automobile au Maroc Lun 25 Nov 2024 - 18:22
RED BISHOP a écrit:
L'un des actionnaires principales de Gotion est Volkswagen et celui qui doit se bouger le cul c'est bien lui. Cette entreprise est en train de mourir a petit feu. Elle a une opportunité en or de lancer la "voiture du peuple" électronique grace au Maroc mais pour ça il faut se bouger le cul au lieu de laisser cette grande entreprise s'effondrer comme c'est le cas actuellement
Tu ne peux pas fermer des usines en Europe pour en ouvrir une à 14 km de l'UE alors que tu prône le made in Germany !!!
Non ils vont d'abord couper "puis" ouvrir ailleurs donc patience.
Et puis l'usine ne soit n'est pas le saint Graal mais la fourniture des pièces oui et c'est la que nous nous sommes intelligemment placés
_________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire
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messages : 6898 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: L'industrie automobile au Maroc Mer 27 Nov 2024 - 15:54
L'annonce du transfert de la production des C4 et C4 X de l'usine de Villaverde à Kénitra en 2027 a suscité des réactions à Madrid.
Pedro Sanchez a rencontré le PDG de Stellantis, ce dernier a évoqué les problèmes bureaucratiques en Espagne, similaires à ceux rencontrés ailleurs en Europe.
Stellantis a également suspendu le projet de construction d'une nouvelle usine de pickup au Mexique, en raison des annonces de Trump sur la taxation des produits mexicains et canadiens.
Il faudra adopter une stratégie prudente pour naviguer sous les radars des sanctions de l'UE et des US tout en continuant de renforcer l'industrie
messages : 12339 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Industrialisation du Maroc Mer 27 Nov 2024 - 22:33
le Groupe FORVIA (Ex Faurecia) inaugure 2 unités industrielles
La 1ere aujourd'hui à Salé et demain, l'inauguration de l'extension de l'usine de Kenitra création de 2000 emplois entre 2014 et 2017 Forvia a 3 usines ( 2 a Kenitra et 1 a Salé) et emplois 4000 personnes au Maroc
Sujet: Re: L'industrie automobile au Maroc Mar 3 Déc 2024 - 10:28
Les constructeurs de véhicules électriques américains craignent que Donald Trump abroge des règles incitatives cruciales, comme les crédits d’impôt pour les acheteurs. Un facteur de risque aussi pour le Maroc qui attire des investissements dans la filière, notamment chinois, favorisés par son Accord de libre-échange avec les Etats-Unis. A quel point ? Avec son écosystème de gigafactories, le Maroc offre une plateforme de choix aux entreprises asiatiques, chinoises en particulier, pour pénétrer le marché américain des véhicules électriques (VE), là où la demande en composants de batteries est la plus forte. Une situation consécutive à l’Accord de libre-échange (ALE) conclu entre Rabat et Washington depuis 2006, idéal pour échapper aux barrières tarifaires, mais aussi du fait d’une récente disposition du Trésor américain ayant épargné le royaume des restrictions imposées aux batteries équipant certains véhicules. Un boost éphémère de Biden ? Ce point en particulier est à la faveur des produits « Made In Morocco », comme l’expliquait Le Desk dès 2022 : la décision prise par département du Trésor américain rendant admissibles les VE au crédit d’impôt allant jusqu’à 7 500 dollars ( $). La loi américaine sur la réduction de l'inflation (IRA) de 430 milliards de dollars (MM $) signée par le président Joe Biden en août 2022 qui a accordé d'énormes incitations aux constructeurs automobiles pour qu'ils fabriquent des VE avait mis fin à cet avantage pour ceux assemblés en dehors de l'Amérique du Nord. Mais les directives du Trésor n’ont pas modifié la définition de ce qui constitue un assemblage nord-américain et rendu relativement extensive les termes de l’éligibilité, ce qui avait rassuré les constructeurs automobiles. Jusqu’ici, l'IRA impose également d'importantes restrictions sur l'approvisionnement en minéraux et en composants de batteries, fixe des plafonds de revenus et de prix pour les véhicules admissibles et cherche à éliminer progressivement les minéraux critiques ou les composants de batteries chinois. Si le Trésor américain avait concédé un moratoire durant les premiers mois de 2023 sur les exigences concernant les batteries, le gouvernement américain avait depuis durci les critères d'éligibilité aux crédits d'impôt pour les VE en vertu de l’IRA. Les constructeurs automobiles ont pu réclamer la moitié du crédit pour véhicule propre si 50 % des composants de la batterie de leur véhicule sont fabriqués ou assemblés en Amérique du Nord. Ils ont en plus pu réclamer l’autre moitié si au moins 40 % d’un certain nombre de ses composants minéraux, notamment le graphite, le lithium et le cobalt, proviennent des États-Unis ou dans un pays ayant conclu un accord de libre-échange avec les États-Unis La bonne nouvelle pour le Royaume était à deux niveaux puisque le Trésor américain avait déclaré que sa définition d'un ALE inclut au moins les accords commerciaux complets existants avec 22 pays, dont le Maroc. Aussi, la compétitivité des fabricants d’intrants ayant choisi le Maroc était de fait confirmé. D’ailleurs, dans ses roadshows successifs à l’international, L'Agence marocaine de développement des investissements et des exportations (AMDIE) n’a eu de cesse de mettre en avant cet argument pour séduire les entreprises susceptibles d’intégrer la chaine de valeur des VE au Maroc. Tesla allié des ... climatosceptiques Sauf qu’avec le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, sa nouvelle administration devrait décréter la suppression des crédits d’impôt pour VE qui offrent des réductions allant jusqu’à 7 500 $ sur les nouveaux VE. En climatosceptique convaincu, le président élu s’affirme comme un pourfendeur des thèses qui militent de s'éloigner des combustibles fossiles et ayant concouru à la mise en place de ces incitations parafiscales encourageant l'adoption des VE. Tout au long de sa campagne face à Kamala Harris, Trump a copieusement critiqué ces crédits instaurés par l’IRA en 2022. Trump veut dès lors supprimer les crédits d'impôt dans le cadre d'une « législation plus large de réforme fiscale », selon des sources de son équipe de transition. La question porte à présent sur l’obligation initiale faite aux constructeurs de vendre une majorité (67 %) de véhicules électriques d’ici à 2032. Au regard de la ligne défendue par le futur président, un assouplissement de la mesure pourrait être la prochaine étape. Tesla, leader du marché américain des véhicules électriques, dont le PDG Elon Musk est devenu un proche confident et partisan de Trump, a approuvé le plan. Les analystes affirment que Tesla est la mieux placée pour prospérer dans un environnement sans incitations, car l’entreprise fabrique déjà des VE de manière rentable et ses concurrents dépendent davantage des crédits. « Certains pourraient penser qu’Elon Musk, serve de conseiller à Trump pour aider à conserver les crédits des VE, mais nous pensons qu’il veut que le gouvernement soit le plus possible à l'écart de ce type de véhicules », a écrit au lendemain de la victoire de Trump, l'analyste du gestionnaire d’actifs Morningstar, David Whiston. La suppression des crédits d'impôt pour les VE serait « négative pour l'industrie » mais « encourageante pour Tesla », a défendu par ailleurs Dan Ives, analyste chez Wedbush Securities : « Tesla a une envergure et une portée inégalées dans l'industrie des VE et cette dynamique pourrait donner à Musk et à Tesla un net avantage concurrentiel. » Une abrogation totale des crédits d’impôts ciblant les VE fait encore débat au sein du camps républicain au Capitole compte-tenu des engagements de l’industrie pour construire des usines de batteries et des installations minières dans les districts gérés par des politiques républicains : le représentant Buddy Carter de Géorgie qui fait valoir une usine de véhicules électriques Hyundai dans sa circonscription, a reconnu que le constructeur automobile souhaite que le crédit soit conservé. D’ailleurs, Carter était l'un des 18 républicains à la Chambre des représentants (dont la plupart seront encore en poste l'année prochaine) qui ont signé une lettre adressée aux dirigeants demandant le maintien des incitations énergétiques de l'IRA. Pour éviter une instabilité qui pourrait menacer l’avenir de l’industrie, l’Alliance pour l’Innovation Automobile, qui regroupe 42 constructeurs, a, elle aussi, écrit une lettre au président élu. Ce document souligne que le maintien des réglementations actuelles est indispensable pour garantir une stabilité de leurs activités à long terme. Les constructeurs comme Ford, General Motors ou encore Stellantis rappellent qu’ils travaillent sur des modèles conçus pour respecter ces règles, des voitures qui ne verront le jour qu’en 2028 ou plus tard. Prenant les devants, la Californie veut mettre en place un crédit d'impôt qui exclurait Tesla. En clair : l'Etat le plus peuplé des Etats-Unis, avec 39 millions d'habitants, mettrait en place son propre système alternatif, ce qui atténuerait le coup de massue fédéral de Trump. Un facteur de risque pour le Maroc ? La Chine, acteur dominant sur le marché des VE voit ses producteurs de batteries pour VE défavorisés par la fin de l’accès au financement des contribuables américains, mais aussi par un risque d’examen politique que pourrait envisager le camp Trump pour leur faire doublement barrage. Quoique remplissant tous les critères pour s’ériger en base de sourcing pour l’industrie automobile américaine, le Maroc devra en outre convaincre que les investissements chinois ou les JV constituées avec des partenaires chinois visant la production de composants de batteries pour VE sur son sol ne sont pas des faux-nez du pouvoir politique de Pékin. Sur la carte des implantations chinoises au Maroc, on compte déjà Gotion pour une gigafactory intégrée, CNGR avec Al Mada dans le projet Cobco pour les composants LFP, NMP et pour le recyclage de batteries, BTR pour deux usines de cathodes et d’anodes, Shinzom pour les anodes, Hailiang pour les tiges et feuilles de batteries au lithium, Tinci pour les composants LFP, Huayou de même, Yahua pour l’hydroxyde de lithium et Haisum avec Managem pour le sulfate de cobalt avec l’appui de China Electronics Corp, ou encore Hensen partenaire de Falcon Energy pour la transformation de graphite, sans oublier Austroid Corp lié à des intérêts chinois… Autant de présence – notamment dans la zone industrielle de Tanger Tech qui avec d’autres projets et contrats de l’Empire du milieu dans divers secteurs en émergence au Maroc ont justifié la halte inédite et très symbolique du président Xi Jinping à Casablanca sur son chemin de retour du Brésil. Le signal donné par Pékin vient conforter la place que revêt désormais le Royaume dans la mappemonde géostratégique chinoise. Si le Maroc constitue une sorte de « porte dérobée » d’accès au marché américain pour les fabricants chinois de composants pour VE, il reste que l’intérêt reste tout aussi focalisé sinon plus sur le marché européen. Comme expliqué précédemment, l'écosystème intégré de la gigafactory qui sera mis en place au Maroc par Gotion High-Tech agira par exemple comme chaîne d'approvisionnement pour les gigafactories européennes de Volkswagen, dont l’une sera opérationnelle en 2026, date d’entrée en production de l’unité marocaine. De ce fait, le royaume compte encore, au-delà des Etats-Unis, sur la cinquantaine d’accords de libre-échange que Rabat a signé, notamment avec l’Europe, qui offrent un accès à un marché de consommateurs important. a écrit:
Certains pensent que les occidentaux sont forcés à acheter des batteries chinoises vu que la chine a pris une longueur d'avance de 15 ans au niveau de la technologie... Allah yjib lkhir lhad lblad sa3ida
romh General de Division
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Sujet: Re: L'industrie automobile au Maroc Mar 3 Déc 2024 - 17:28
Beaucoup de blabla pour ne rien dire aucune information utile et aucune confirmation crédible sur les vrais intentions de Trump, les VE c'est un choix fait par les constructeurs et les investisseurs du secteur c'est eux qui ont incité l'administration bayeden à prendre ces mesures pour accélérer le processus, Trump est un homme d'affaires qui a ses considération et qui travaille étroitement avec les industriels n'oubliez pas que Tesla collabore avec beaucoup de partenaires chinois pour la fabrication de beaucoup de composantes, le Descq je le dis et je le répète il.faut toujours ce méfier de leurs articles quel que soit le niveau de leur professionnalisme cet article exprime plutôt le.niveau de frustrations de certains pays européens par rapport à la collaboration des chinois et des marocains...
Fahed64 Administrateur
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Sujet: Re: L'industrie automobile au Maroc Mar 3 Déc 2024 - 17:36
Nos usines sont principalement destiné pour l'Europe. Notre coûte de batterie est de 50% moins chere qu'en Europe.
Aucun constructeur européens ne passera à côté .... si il veut survivre.
Attendez vous à une vague de délocalisation de la part des allemands soit vers l'Europe de l'Est / Turquie ou nous.
Mais de vous à moi je préfère qu'on reste un pays de sourcing VS de production.
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Sujet: Re: L'industrie automobile au Maroc Mar 3 Déc 2024 - 18:00
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Il touche 36 millions euros par an La filiale n'est pas assez mature pour l'instant, pour supporter une telle charge !
Normalement, d'après la presse, il prend sa retraite à 66 ans !
En attendant son remplaçant, une vidéo de l'usine Stellantis de Kénitra :
Il le sait et généralement généralement ce genre de profil acceptent de se faire payer en actions et bonus. Du coup ils boostent vite les entreprises qu'ils gèrent.
Sujet: Re: L'industrie automobile au Maroc Aujourd'hui à 10:57
Du nouveau dans les affaires de la holding royale Al Mada, dans le cadre du projet révélé par Le Desk et noué avec le Chinois CNGR, dans la filière de la gigafactory. Selon nos informations, ce sont pas moins de 1,2 milliard de dirhams (MMDH) qui viennent d'être mis au pot dans la JV des deux groupes, Cobco pour soutenir le développement des projets en cours de concrétisation. Comme rapporté précédemment, la JV a officiellement pris pour nom Cobco (pour Core Battery Components), du nom du projet. Celui-ci porte sur la construction d'une usine de composants LFP (lithium, fluor et phosphate) pour batteries de voitures électriques à Jorf Lasfar. Les travaux de l'unité industrielle ont déjà démarré depuis avril dernier. Outre Cobco, le duo mettait aussi en place Cobco Alpha pour la fabrication de composants NMC (Nickel, manganèse et cobalt). Avec pas moins de 20 milliards de dirhams d’investissement, il s’agira pour rappel de produire 120 Kt de précurseurs NMC à partir de 2025, 60 Kt de composants LFP et une unité de recyclage visant à produire 30 Kt de Black Mass. Cobco vise à produire des matériaux pour batteries pour plus d'un million de véhicules électriques par an. S'agissant du marché visé, la responsable d'Al Mada a souligné qu'il s'agira de cibler, à hauteur de 25 % de part de marché, l'Europe comme les Etats-Unis avec 95 % de sa production destinée à l’export avec un objectif de servir des clients comme le constructeur automobile américain Tesla et le Sud-Coréen LG Chem qui s’est allié au Chinois Huayou pour établir deux unités industrielles au Maroc. Côté CNGR, un ajustement a aussi été effectué au niveau de Cobco, apprend Le Desk. Il s'agit pour l'essentiel de remplacements d'administrateurs. Ainsi, les deux cadres de CNGR Yao Luo et Wenshu Jiang ont été remplacé par Jie Wang mais aussi Dr. Markus Vogt. Celui-ci est officiellement à la tête du département de ventes de Cobco, indiquent nos sources. Il occupait depuis un an et demi le poste de vice-président Europe, Amérique et Afrique de la branche européenne de CNGR. a écrit:
Ven 24 Mai 2024 - 12:38
création de 2000 emplois entre 2014 et 2017
