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 Économie marocaine

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 13 Icon_minitimeJeu 8 Jan 2009 - 1:15

Rappel du premier message :

8 milions Very Happy tbarkallah ou sla 3la n'bi.

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الله الوطن الملك
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 13 Icon_minitimeVen 10 Avr 2009 - 18:45

Citation :

Les entreprises publiques investiront 84,9 milliards de DH en 2009

· OCP, ONE et Al Omrane sont les principaux pourvoyeurs


Les investissements des établissements publics (EP) continuent de booster la croissance économique. Ainsi, au titre de l’exercice 2009, ils sont estimés à 84,9 milliards de DH. Parmi les principaux investisseurs, le Groupe OCP avec 14,9 milliards de DH, l’ONE qui contribue à hauteur de 11,9 milliards de DH et Al Omrane avec 8,6 milliards de DH.

- Habitat et urbanisme: La politique des pouvoirs publics en matière d’habitat se reflète notamment à travers l’accroissement des investissements du holding Al Omrane, des agences urbaines et la création d’organismes dédiés à des projets spécifiques.
L’activité du groupe devrait s’accélérer au cours de la période 2008-2012 comme en témoigne le volume d’investissements prévisionnels pour cette période (45 milliards de DH), soit une moyenne annuelle de 9 milliards.

- Energie: Le programme d’investissement à réaliser durant la période 2008-2012 s’élève à 67 milliards de dirhams y compris les investissements des concessionnaires privés (25 milliards de DH). Ce programme vise le renforcement des capacités de production de l’ONE, du réseau de transport et des interconnexions avec les pays voisins, l’achèvement du programme de généralisation de l’accès à l’électricité (PERG) ainsi que le développement des énergies renouvelables. Il porte, d’une part, sur la poursuite de la réalisation des projets en cours de construction (dont le parc éolien de Tanger Eolien et la centrale thermo- solaire de Aïn Béni Mathar), et d’autre part, sur le lancement de nouveaux projets (dont la centrale à charbon dans la région de Safi et le parc éolien à Tarfaya). Le programme prévisionnel au titre de 2009 s’élève à 11,86 milliards de dirhams.

- Phosphates: Le programme à réaliser par le Groupe OCP-SA, durant la période 2008-2012 s’élève à 37 milliards de DH hors investissements directs extérieurs.
Les investissements prévus au titre de 2009 s’élèvent à 15 milliards de dirhams. Comme le déclare Mostafa Terrab, PDG du groupe, à L’Economiste, «le programme d’investissement vise la consolidation du leadership du groupe à l’international». Les principaux projets programmés concernent l’augmentation de la capacité d’extraction de 23 millions de tonnes, la construction de 4 laveries pour une capacité de près de 40 millions de tonnes et la mise à niveau du port de Jorf Lasfar pour accueillir, à horizon 2012-2015, les trafics importations et exportations liés au développement de JPH (valorisation supplémentaire de 16 millions de tonnes de phosphates par an).
Par ailleurs, l’OCP conduit de nombreux projets dans le cadre de partenariats avec des opérateurs internationaux de renom dont Bunge, Petrovietnam et Libya Africa Investment Potfolio.

- Autoroutes: La contribution des entreprises publiques y est déterminante. Ainsi l’ONCF exécute un programme d’investissement enregistrant un bond par rapport aux années passées et nécessitant une enveloppe de 24,7 milliards de DH durant la période 2008-2012, y compris la 1re tranche du projet de TGV. En 2009, les investissements prévus portent sur 5 milliards de dirhams. Ce programme comprend, particulièrement la réalisation des lignes ferroviaires Tanger-nouveau Port Méditerranée et Taourirt-Nador.
S’agissant du programme autoroutier, le réseau réalisé par la société Autoroute du Maroc (ADM) a atteint, à fin juillet 2008, un linéaire de 863 km. Les prévisions au titre de l’exercice 2009 sont de 6,72 milliards de dirhams.
Un nouveau contrat-programme Etat/ADM pour la période 2008-2015 a été signé le 1er juillet 2008. Autoroute du Maroc s’engage à réaliser, durant cette période, un montant global de 38,1 milliards de dirhams pour atteindre un linéaire global de 1.830 kilomètres.

- Secteur portuaire: Marsa Maroc conduit un programme d’investissement pour la période 2007-2009 de 2 milliards de dirhams qui s’achève en 2009. Dans ce cadre, Marsa Maroc prévoit des investissements de 414 millions en 2009. Parmi les principaux projets d’investissement figure l’acquisition de grues aux ports de Nador, Jorf Lasfar et Lâayoune (381 millions de dirhams).
L’ANP, régulateur du secteur portuaire et chargée principalement des missions d’autorité, exécute un plan d’investissement de 3 milliards de dir-hams sur la période 2008-2012 dont 664 millions en 2009.

- Aéroport: L’Office national des aéroports (ONDA) exécute un programme d’investissement de l’ordre de 9,6 milliards de dirhams sur la période 2008-2012, dont les principaux projets portent sur l’extension des aéroports Mohamed V et de Marrakech.
L’ONDA prévoit d’investir 2.001 millions et 1,9 milliard de dirhams en 2009.

- Poste: Le programme d’investissement de Barid Al-Maghrib (BAM) au cours de la période 2008-2012 s’élève à 5 milliards de dirhams, et concerne, pour l’essentiel, la mise en place du Centre Messagerie Logistique, le réaménagement et la construction des agences postales, l’extension des guichets automatiques bancaires et l’acquisition de nouvelles technologies. Pour 2009, le programme d’investissement prévisionnel porte sur 373 millions de dirhams.

- Distribution d’eau et d’électricité: Les investissements réalisés par les 12 Régies de distribution d’eau et d’électricité portent sur le renforcement des réseaux de distribution d’eau, d’électricité et d’assainissement liquide. Ils concernent le développement de l’infrastructure de base (capacité de stockage d’eau potable, postes de livraison d’électricité et stations d’épuration), le renforcement, l’entretien et la réhabilitation des réseaux ainsi que l’acquisition des moyens d’exploitation. Les prévisions d’investissement pour 2009 sont de 3,2 milliards de dirhams.

- Agriculture: L’activité des Offices régionaux de mise en valeur agricole (ORMVA) s’inscrit dans la continuité des exercices précédents et se caractérise par sa dépendance du budget général de l’Etat pour couvrir ses charges d’exploitation et un important déficit en matière de maintenance et de réhabilitation des réseaux d’irrigation.
Les prévisions d’investissement de ces Offices au titre de 2009 sont de l’ordre de 780 millions de dirhams. Les principaux projets portent sur les travaux d’aménagements hydro-agricoles et de mise en valeur en bour, le développement rural et l’aménagement de la petite et moyenne
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 13 Icon_minitimeVen 10 Avr 2009 - 18:48

Un petit descriptif des efforts portés sur l'oriental...

Citation :
Une ribambelle de projets. Des secteurs exploités inefficacement jusqu’à présent connaissent une nouvelle vie. Un fonds de financement, des zones industrielles, des stations touristiques, l’Oriental finira par faire de l’ombre à son voisin du Nord.

Ce n’est pas sans surprise qu’à l’annonce de la signature d’un pacte d’actionnaires entre le fonds d’investissement de la région de l’Oriental et un opérateur de la contrée, les interrogations ont fusé sur une région considérée, jusqu’à ces dernières années, comme le «far west » du Maroc. Les actualités ne tarissent pas d’informations sur les projets d’infrastructures et d’investissement destinés à la région du nord du pays. Mais dans l’esprit des populations de l’Oriental, l’amalgame doit d’urgence être rectifié : «nous ne sommes pas dans le Nord mais dans l’Oriental !», apostrophent-ils à chaque confusion. Pour revenir à l’annonce, objet du débat, il s’agit de l’entreprise bien oujdie, Microchoix, opérant dans la commercialisation des produits informatiques et multimédias, qui reste une entreprise précurseur en matière de e-commerce. Elle compte également des points de vente implantés à Casablanca et dans d’autres villes du pays. C’est ainsi qu’au début du mois dernier, elle a pactisé avec ce fonds connu sous l’abréviation de FIRO : « le Fonds contribuera en termes aussi bien financiers que d’appuis stratégiques et organisationnels en vue d’accompagner la société Microchoix dans le cadre de son programme de croissance, axé tant sur l’extension de la plate-forme de distribution que sur le développement des métiers à forte valeur ajoutée», selon les termes même de la communication. Ce fonds d’investissement est doté d’une enveloppe budgétaire de l’ordre de 300 millions de DH. La moitié de la somme débloquée est réellement le résultat d’un partenariat public-privé. Tout le monde y participe, la Région de l’Oriental, le Fonds Hassan II, l’Agence de l’Oriental, la Banque Centrale Populaire, Attijariwafa bank, BMCE Bank, la Caisse de Dépôt et de Gestion, le Crédit Agricole et Holmarcom.

De grands projets structurants

Le fonds, ce ne sont pas seulement les partenariats avec des entreprises déjà existantes, il a aussi pour vocation d’assister les grands projets structurants de la région : l’autoroute Fès-Oujda, la voie ferroviaire entre Taourirt et Nador, la Rocade Méditerranéenne et les extensions des aéroports notamment celui d’Oujda. Et cela ne s’arrête pas là, puisque sa mission consiste par ailleurs à accompagner les infrastructures touristiques et industrielles. Se trouvent exclues de cette manne financière les activités portant sur le commerce et l’immobilier. L’originalité réside aussi dans la nature des investissements qu’il fournit. C’est ainsi qu’auprès du FIRO, il est indiqué que les investissements se font tant : «en fonds propres qu’en quasi-fonds propres ou encore en détention de participations assorties d’options de vente». En outre, il est précisé que «la fourchette de participation est comprise entre 10% et 35%». Le mode de gestion de ce fonds mérite que l’on s’y attarde. En effet, lancée depuis près de deux années, soit en mai 2007, la société gestionnaire a pour dénomination sociale Figorest, une société anonyme au capital de 2 millions de DH. Les dirigeants affirment que le bilan de l’an passé, soit celui de 2008, s’est soldé par un sentiment de satisfaction, puisque quatre comités d’investissement qui ont du statuer sur seize projets ont été tenus. Quant à l’année en cours, elle s’annonce sous les meilleurs auspices, comme en témoigne la signature du pacte d’actionnaires avec Microchoix. En revanche, pourquoi ne pas profiter d’une allocution du wali de la région en personne, Mohammed Brahimi, qui, à l’occasion de la présentation de la station Méditerranéen Saadia, a subjugué l’assistance par un exposé sur la région. D’emblée, il lance : «L’Oriental a longtemps eu du mal à vouloir s’adosser à l’Est. Mais en regardant de plus près, dans la pratique, la frontière a toujours été plus fermée qu’ouverte. D’ailleurs, l’ensemble de la région a mal. Elle est toujours aussi méconnue chez soi». Et d’ajouter que : « depuis quatre à cinq ans, toute tentative s’est heurtée à un voisin problématique». Cette introduction donne toute sa dimension à l’ampleur du laisser-aller qu’a connu la région, qui se distingue notamment par la jeunesse de sa population. « Le tournant sera marqué par le discours fondateur de Sa Majesté du 18 mai 2003. Le virage a été pris à 180°C », n’a-t-il pas manqué de souligner. En effet, on parle d’une région qui, durant des décennies, se caractérisait tout particulièrement par la faiblesse de son taux d’investissement.

Question d’argent et de financement…

De l’argent et du financement, il n’en venait que très rarement, à l’occasion de petites opérations ponctuelles. En effet, longtemps, le taux d’investissement ne correspondait qu’à 20% du PIB contre 22% à l’échelle nationale. Alors que depuis l’initiative royale et les grands projets d’infrastructure, la région occupe la tête du podium avec le taux le plus élevé du pays, affichant un taux de 32%. Et du potentiel, la région en possède. Tout d’abord, une position géostratégique, que la ville d’Oujda s’attache à capitaliser. « La ville d’Oujda est en train de se marqueter pour occuper la position de la Strasbourg du Maghreb», a-t-il précisé. Ensuite, le ton se fait plus critique. Brahimi reconnaît que: «la région connaît une économie qui repose sur des potentiels obsolètes: les cultures pastorales et des gisements miniers (voir encadré)». Mais la machine de la nouvelle économie est déjà en branle. Grâce au secteur du tourisme d’abord, et les 200 km de côtes qu’offre la mer Méditerranée. La parfaite illustration en est Méditerranée Saadia, avec ses 29.000 lits et ses 48.000 emplois. «Ce projet a eu un effet d’appel, quatre projets de même taille sont en lice. Ils s’étendent sur une superficie globale de 2500 hectares de stations à aménager», ajoute le wali de la région. Le tourisme n’y existe pas uniquement dans sa version balnéaire. D’autres niches sont à exploiter, comme les sites montagneux, les plaines ou encore les sites à intérêt archéologique. Sur le plan industriel, la déclinaison du plan Emergence concerne également la région. Comme le souligne la même source, l’étude réalisée par un groupe international sonne le début des pôles industriels qui devraient booster la région. Le pôle de développement industriel dans la région de l’Oriental, communément appelé Med Est, se présente comme une des principales locomotives de l’ensemble de la région. Selon les responsables de ce projet : «il doit, in fine, aboutir à la mise sur le marché d’une offre de foncier et d’immobilier aux meilleurs standards de qualité permettant d’offrir des capacités d’accueil compétitives aux activités industrielles et de services». Les choses ne s’arrêtent pas à ce niveau. La technopole d’Oujda se destine également aux métiers des énergies renouvelables et de la logistique. Avec la création de la zone franche dite intraportuaire de Selouane affectée à la filière port et logistique avec les deux parcs industriels de Madagh et Selouane. Ou encore le campus du savoir à Oujda, la seule université du pays dotée d’un budget alloué à la recherche. Mettre à niveau les potentiels déjà existants et soutenir un développement à la pointe de la technologie, tel est le défi que l’Oriental veut relever.

Fiche technique
• Superficie :
82.820 km2, 11,6% du territoire national

• Population :
1 918 094 habitants, dont 57 % ont moins de 25 ans et 120.318 sont chercheurs d’emplois.

• Découpage administratif :
une préfecture Oujda-Angad et cinq provinces, Berkane, Nador, Taourirt, Jerada et Figuig.

• Taux d’investissement :
32% du PIB

• Investissement de développement :
70 milliards de DH depuis 2003

• Programmes d’infrastructures :
- autoroute Fès-Oujda : 9 milliards de DH.
- complexe maritimo-touristique Mar Chica à Nador : 13 milliards de DH.
- Med Est : 25 milliards de DH.
- Fonds d’investissement de la région de l’Oriental (FIRO) : 300 millions de DH.

Finalement, c’est quoi l’Oriental… ?

Quelle est la cartographie de cette région qui représente à elle seule 11,6% du territoire national ? En délimiter les contours, c’est surtout en déterminer le potentiel économique et les actions menées sur le terrain. Le centre régional d’investissement de l’Oriental, qui possède également une antenne à Nador, s’est prêté au jeu. Avec ses 1.918.094 habitants et ses 82.820 km² de superficie, la région est « l’équivalent de la superficie de l’Autriche ou de la Corée du Sud». C’est pour donner un ordre de grandeur. Selon le découpage administratif, on se retrouve face à une préfecture, Oujda-Angad, et cinq provinces : Berkane, Nador, Taourirt, Jerada et Figuig. Elles se distinguent par la diversité des projets qui y sont lancés. Le chef-lieu de l’Oriental est incontestablement la ville d’Oujda. C’est la métropole qui abrite le pôle de formation universitaire et technologique. Quant à la province de Nador, elle bénéficie d’une importante façade méditerranéenne. Pôle industriel et touristique, elle l’est désormais en raison des zones industrielles et des stations touristiques qui sont en projet. Tous les indicateurs démontrent que la ville est l’une des plus dynamiques de la région. Les exemples ne manquent pas pour souligner sa place de leader, comme le sont le port de Beni Ansar ou encore le cimentier Sonasid. Et puis, il est toujours opportun de rappeler que Nador arrive juste derrière Casablanca sur le marché des capitaux, dans la mesure où elle est la deuxième place financière pour les dépôts bancaires. Vient ensuite la province de Berkane, qui se situe entre celles d’Oujda et de Nador. Le secteur agricole est le terrain de prédilection de celle ville, comprenant un certain nombre de centres dits satellites. Ce ne sont pas moins de 74.000 hectares de terres irriguées qui constituent l’arrière-pays. Par ailleurs, Berkane est destinée à devenir un pôle touristique balnéaire du bassin méditerranéen. Taourirt affiche pour sa part une capacité d’arboriculture de 8.865 hectares, dont 6.758 hectares destinés à l’olivier. Et le point fort de cette province est incontestablement sa réserve hydraulique, avec les trois grands barrages que sont Machraâ Hammadi, Mohammed V et Hassan II. Et bien entendu, la province de Jerrada, longtemps célèbre pour ses mines de charbon et la misère qu’a provoquée leur fermeture. Aujourd’hui, les images dignes d’une des meilleures reproductions de «Germinal» tendent à s’estomper. Jerrada reste dans la prospection minière, mais accueille désormais l’élevage des cheptels, notamment la filière ovine, avec une prédilection pour le tourisme rural et de chasse. Il ne faut pas omettre que la centrale thermique de Hassi-Blal et la fonderie de plomb de Zellidja sont également sur son territoire. Et enfin, la province de Figuig est située au fin fond de l’Oriental. Pour plus de précisions géographiques, sachez qu’elle se trouve sur la charnière du Haut Atlas oriental saharien. Les promoteurs de la destination présentent son oasis comme «le plus proche de l’Europe». Région qui compte en matière d’économie minière, car ses sols regorgent de plomb, de zinc et de Barityne. Par ailleurs, elle représente une plate-forme d’élevage et d’agriculture.

Imane Azmi / ChallengeHebdo.ma
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 13 Icon_minitimeVen 10 Avr 2009 - 18:51

5OO millions USD d'investissement pour Dakhla en 2008 Cool

Citation :

Dakhla/Tourisme

Les investissements montent en flèche · 31 projets pour plus de 2 milliards de DH

· Une nouvelle zone touristique avec golf sur plus de 200 ha


Selon les résultats réalisés par le guichet d’aide à la création d’entreprises, l’année 2008 a été une année porteuse par rapport à l’année 2007 en termes de créations d’entreprises. La tendance haussière du volume de création a été maintenue au cours de cette année, est-il indiqué par le Centre régional d’investissement (CRI) de la région Oued Eddahab-Lagouira.
En effet, ce guichet a enregistré la délivrance de 399 certificats négatifs et la création de 239 entreprises durant l’année écoulée. Soit respectivement une augmentation de 52 et 43%.
Les investissements affichent également des résultats très positifs durant l’année 2008. La région de Oued Eddahab-Lagouira continue à attirer les investisseurs nationaux et étrangers.
En effet, le nombre de projets d’investissement visés par le CRI durant l’année 2008 a atteint 69 projets avec un montant d’investissement qui dépasse 4 milliards de DH dont cinq avec un coût qui dépasse les 200 millions de DH chacun. Cette performance constitue une augmentation de 233% par rapport à 2007. Ces projets permettront la création de 8.541 nouveaux emplois, souligne-t-on.
D’autre part, les indicateurs révélés par le bilan d’activité de l’année 2008 démontrent l’intérêt certain des investisseurs pour le tourisme. Ce secteur connaîtra 31 projets avec un montant d’investissement supérieur à 2,1 milliards de DH avec en perspective la création de plus de 1.360 nouveaux emplois stables.
Effectivement, cette tendance ne peut que renforcer la position de la région d’Oued Eddahab-Lagouira dans ce secteur devenu priorité nationale, est-il précisé. Parmi les grands projets touristiques, il y a lieu de citer notamment l’aménagement et le développement de la nouvelle zone touristique intégrée NZTI «Garet Fartet». Cette dernière est située à près de 45 km de la ville de Dakhla. Il est question de la création de 5.000 lits dont 200 hôteliers avec golf sur une superficie totale de 200 hectares extensibles.
En termes d’atouts, la région regorge de grandes potentialités dans le secteur touristique (tourisme balnéaire, culturel, découverte, pêche et sports nautiques). La situation géographique et la lagune de Dakhla enchantent les visiteurs. Particulièrement, les férus de sports de glisse. Dakhla, faut-il le rappeler, est une ville de vent par excellence et l’ensoleillement y est garanti durant toute l’année. Selon le Centre de développement des énergies renouvelables (CDER), la région de Oued Eddahab-Lagouira est parmi les régions les plus ventées et par conséquent favorable à l’installation de parcs éoliens pour la production de l’électricité pour la préservation de l’environnement.
Dans ce sens, le CRI a reçu 2 dossiers d’investissement pour la mise en place d’un parc éolien avec un montant d’investissement qui dépasse un milliard de DH. D’autres projets dans le même domaine sont en phase d’étude, est-il annoncé.

De notre correspondant,
Mohamed RAMDANI
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 13 Icon_minitimeVen 10 Avr 2009 - 19:42

il n'y a pas que le Gaz qui soit prométeur au Maroc

Citation :
Mines. Des Canadiens en or

Maya Gold & Silver Incorporation, société canadienne d’exploitation minière basée à Montréal, vient d’annoncer l’acquisition de 60 % de la mine d’or Aït Bouhaddou, sise à 60 km au sud de Marrakech. Ces parts ont été acquises auprès de la Société d’exploration géologique des métaux (SEGM). Le montant de la transaction est de 1,25 million de dollars (près de 10 millions de dirhams). Les Canadiens ont également annoncé, dans un communiqué de presse en date du mardi 31 mars, leur intention d’augmenter leur participation dans cette exploitation minière à 70%, dans un délai d’un an. Maya prévoit en outre un investissement de 3,8 millions de dollars sur le site (30 millions de dirhams) en modernisation des infrastructures de la mine. Cette dernière dispose de quatre filons, en surface et en profondeur, jugés très porteurs par les Canadiens. De récents travaux d’exploration ont fait état de l’existence de gisements de diamants, non encore exploités. F.G.

Tel quel
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 13 Icon_minitimeMer 15 Avr 2009 - 15:52

Citation :
Le CSCA autorise la commercialisation au Maroc du bouquet « Canal+ »

L’autorisation est accordée pour une période d’un an, renouvelable deux fois

Le Conseil Supérieur de la Communication Audiovisuelle (CSCA) a décidé d'accorder à la société « Canal Overseas Maroc » l'autorisation de commercialiser sur le territoire marocain le service de communication audiovisuelle à accès conditionnel, désigné par le nom commercial « bouquet Canal + ».

Selon un communiqué publié mardi 14 avril, la décision a été prise lors de la plénière du Conseil, tenue le 23 mars.
Accordée pour une période d'une année, renouvelable deux fois, cette autorisation porte sur un bouquet composé de différentes chaînes télévisuelles internationales et détermine de manière précise les conditions d'exportation du bouquet, précise le communiqué.

http://www.lavieeco.com/actualites/1144-le-csca-autorise-la-commercialisation-au-maroc-du-bouquet-%C2%A0canal%C2%A0.html

Citation :

Canal + au Maroc: La télé marocaine en danger ?

Publié le 15.04.2009

La commercialisation du bouquet Canal Plus au Maroc est imminente. «Le feu vert pourrait être donné aujourd'hui à l'occasion de la réunion hebdomadaire des sages de la Haca», précise une source au sein de cette autorité de régulation. L'arrivée d'un géant de la taille de Canal Plus risque certainement de chahuter un paysage audiovisuel en perpétuelle quête d'une véritable identité à même de le réconcilier avec le public marocain.

Canal + au Maroc: La télé marocaine en danger ? L'arrivée du bouquet français est loin de faciliter cette quête. Economiquement, cette implantation est tout sauf une bonne nouvelle pour la SNRT. La qualité des programmes de l'opérateur français devra donner davantage de raisons aux annonceurs marocains de diffuser des spots publicitaires sur le bouquet français. C'est une option tout à fait prévisible. Les spots vantant des produits marocains en dialecte national sont désormais une constante dans les chaînes satellitaires étrangères.

Ainsi, 14 grands annonceurs nationaux diffusent leur pub sur des télévisions étrangères regardées par 60% des téléspectateurs marocains. La Haca a-t-elle pris en considération cette donne avant d'entamer les négociations avec le groupe français ? Idem pour le Conseil supérieur de la communication audiovisuelle.

En février dernier, le CSCA, en s'appuyant sur une étude menée justement par les services de la Haca, s'est montré très préoccupé par le risque qui plane sur la stabilité du marché publicitaire marocain en accordant de nouvelles licences de télévision dans l'attente d'une meilleure visibilité sur les équilibres du secteur. L'admission, précise un communiqué du CSCA, de tout nouveau projet de télévision nationale présente actuellement «un risque important de déséquilibre pour le secteur, pouvant manifestement compromettre l'équilibre des opérateurs audiovisuels publics et privés existants à court terme, et leur viabilité, à moyen terme».

Presque deux mois après ce refus, la Haca est sur le point de bénir la venue d'un géant de la taille de Canal Plus. Une venue qui pourrait grignoter des parts de marché considérables pour les chaînes du pôle de la SNRT. Un argument battu en brèche avec cette entrée de Canal Plus.

Kamal Lahlou, un ancien soumissionnaire à l'appel d'offre lancé par le CSCA pour une chaîne de télévision, sans résultat, assure que cette entrée «va davantage fragiliser le marché marocain et va tuer le bouquet de Maroc Telecom», précisant que «les sommes générées par les abonnements à Canal Plus seront rapatriées en devises à l'étranger, alors que le pays traverse une conjoncture économique difficile». Etonné, il dit «ne pas comprendre les raisons des responsables d'accorder la prochaine commercialisation du bouquet Canal Plus au Maroc».

M. Lahlou a soulevé dans ses propos que «la mondialisation tous azimuts est à bout de souffle» rappelant au passage que «4000 titres de la presse écrite étrangère se vendent au Maroc».

Outre le volet économique, la Haca aura-t-elle les coudées assez larges pour contrôler les programmes de Canal Plus ? Certes, le régulateur a négocié la non-diffusion de programmes erotiques mais que dire alors du reste de la programmation ?

L'opérateur français -selon cet extrait des clauses de l'autorisation accordée en 2006 à Maroc Telecom pour la commercialisation de sa télé ADSL- sera-t-il tenu de «ne pas porter préjudice aux valeurs du Royaume du Maroc telles que définies par la Constitution, notamment celles relatives à la monarchie, à l'islam et à l'intégrité territoriale du royaume» ? Du côté de la Haca, c'est le silence radio. Ahmed Ghazali est inaccessible.

L'exception culturelle existe: Le Maroc, connais pas !

Lors des négociations devant donner naissance à l'Organisation mondiale du commerce (OMC), la France a mis sur la table des tractations un nouveau concept : l'exception culturelle, son cheval de bataille lors des réunions de l'Uruguay round de 1994. Un principe auquel la France s'est solidement accrochée dans sa guerre contre les productions cinématographiques et télévisuelles américaines, qualifiées par Paris de réelle menace pour la culture française.

Le régulateur français a exigé des chaînes françaises de réserver un quota de leur temps d'antenne à des programmes exclusivement en langue française. Il n'a pas omis les radios émettant dans l'Hexagone en leur imposant un taux de 40% de programmation d'oeuvres créées ou interprétées par des francophones, dont 20% de nouveaux talents, durant les heures d'écoute significatives.

Pour atteindre ses objectifs, la France n'a pas lésiné sur les moyens, comme la conclusion d'un accord donnant naissance à l'OMC. Elle a gagné son pari et le régulateur français veille de très près sur sa concrétisation. Au Maroc, l'exception culturelle n'a pas droit de cité. Le paysage audiovisuel national est ouvert à toutes les initiatives, sans pratiquement aucune restriction.

Mohamed Jaabrouk
Source: Le Soir Echos
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 13 Icon_minitimeMer 15 Avr 2009 - 23:14

la carte canal+ est déjà sur le marché pour 6 et 12 mois.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 13 Icon_minitimeJeu 16 Avr 2009 - 23:50

Citation :
Le Canada et le Maroc pensent à renforcer leur relation commerciale

April 16, 2009

OTTAWA, ONTARIO--(Marketwire - 16 avril 2009) - Les gouvernements du Canada et du Royaume du Maroc ont eu des discussions sur les domaines de partenariat possibles afin de renforcer la relation commerciale de longue date entre les deux pays. Le ministre de l'Agriculture Gerry Ritz a rencontré le ministre de l'Agriculture Aziz Akhenouch et le ministre du Commerce extérieur Abdellatif Mazouz à Rabat, au Maroc, dans le but de discuter de possibilités pour la négociation d'un accord de libre-échange qui serait avantageux pour les deux pays.

"Le Royaume du Maroc est engagé dans un processus de libéralisation maîtrisée de son commerce, a déclaré le ministre Ritz. Un accord de libre-échange, avantageux pour les deux pays, présente des opportunités fantastiques pour le peuple marocain et le peuple canadien. Les réunions que nous avons eues avec le ministre Akhenouch et ministre Mazouz sont le type de conversations nécessaires pour faire avancer les choses vers des relations commerciales complètes et réciproques."

Les échanges découlant des relations commerciales entre le Canada et le Maroc se sont chiffrés à 450 millions de dollars en 2008. Les produits agricoles y ont contribué en majeure partie, pour un total de 330 millions de dollars.

"La relation entre le Canada et le Maroc, forte et de longue date, nous offre une assise solide sur laquelle bâtir afin d'échanger des technologies, rapprocher les réglementations dans des domaines particuliers et stimuler le commerce et l'investissement, a affirmé le ministre Ritz. Que les ménages fassent leurs achats à Calgary ou Casablanca, une relation commerciale plus étroite permettra d'assurer que les produits de haute qualité, marocains comme canadiens, sont disponibles à longueur d'année."

Le Canada et le Maroc continuent d'apprécier la relation constructive qu'ils entretiennent depuis déjà longtemps. Les 100 000 Maroco-Canadiens forment la plus grande communauté nord-africaine du Canada. En tant que membres en bonne et due forme de la Francophonie, les deux pays partagent des liens culturels profonds. Des centaines de jeunes Marocains viennent chaque année au Canada pour étudier dans les universités d'un peu partout au pays.

http://www.marketwire.com/press-release/Agriculture-Et-Agroalimentaire-Canada-975814.html
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 13 Icon_minitimeVen 17 Avr 2009 - 17:17

Citation :
Hard discount : Les ambitions du turc BIM au Maroc

· 10 points de vente à Casablanca pour commencer

· Un business model qui table sur de petites marges/volume



La grande distribution accueille une nouvelle enseigne. Le hard discounter turc BIM vient en effet de s’installer au Maroc. Les 10 points de vente ouverts samedi dernier à Casablanca ont connu une forte affluence, attractivité des prix oblige! Au-delà des faibles marges bénéficiaires, le géant turc fait de la chasse aux coûts son credo. «Notre objectif est d’offrir des produits de qualité avec des prix avantageux. C’est aussi le seul moyen pour se positionner dans un marché fortement concurrentiel», indique un gérant de magasin avec beaucoup de réserve. Le concept à tout pour séduire: Primo, des produits moins chers et donc accessibles, des marques propres, dont les coûts négligeables de la publicité ne sont pas, dit-on, répercutés sur les prix. Secundo, des magasins de petite surface (200 m2 environ) avec un agencement sobre qui dispense de charges fixes supplémentaires. De même, l’enseigne turque ne commercialise pas plusieurs marques d’une même catégorie de produit. Pour la même gamme, BIM commande de grandes quantités. L’effet volume fait obtenir des prix usine compétitifs. Cependant, l’éventail de choix reste très limité. Dans le même registre, l’opérateur turc a commencé par ouvrir ses premiers magasins dans des quartiers résidentiels moyen standing: Belvédère, Bourgogne, Palmier… La proximité de la classe moyenne semble être le maître mot de l’enseigne. «Les loyers élevés se répercutent inévitablement sur les prix de vente des produits. Raison pour laquelle nous optons pour des implantations essentiellement dans des avenues secondaires», poursuit le gérant. Résultat: des prix moins chers par rapport au concept classique de la grande et moyenne distribution. En revanche, les dirigeants restent discrets sur les prochaines ouvertures et leur emplacement ainsi que les montants d’investissement. Pour son implantation au Maroc, l’enseigne turque s’est offerte les services d’un cabinet spécialisé pour former son staff et sélectionner les sites. Du directeur général au responsable d’achats, BIM a constitué un bataillon 100% local. Des ingénieurs, diplômés de grandes écoles de commerce et des cadres de formation supérieure qui ont bénéficié d’un stage de perfectionnement en Turquie. Forte de quelque 2.340 magasins en Turquie, l’enseigne initie sa première opération à l’international par son implantation au Maroc. Mieux encore, le réseau devra être étoffé dans les prochains mois en dépit d’une conjoncture internationale des plus difficiles.

Tarik HARI

L'économiste


Dernière édition par Cobrath le Ven 17 Avr 2009 - 17:44, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 13 Icon_minitimeVen 17 Avr 2009 - 17:21

met tjs les citations Exclamation
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 13 Icon_minitimeVen 17 Avr 2009 - 18:40

Citation :
Au-delà des faibles marges bénéficiaires, le géant turc fait de la
chasse aux coûts son credo. «Notre objectif est d’offrir des produits
de qualité avec des prix avantageux. C’est aussi le seul moyen pour se
positionner dans un marché fortement concurrentiel»,

Ils peuvent quand même afficher les prix sur leurs produits, puisque c'est gênant de ramener a chaque fois un produit a la caisse pour demander son prix , et le personnel est déborder et un peu perdu, je me pose des questions sur leur formation scratch

Et j'ai pas du tout aimer leur magasin, aucune valeur ajouter, et je vois pas ou est le "hard discount" puisque les prix sont les mêmes qu'ailleurs,moi qui croyez de voir a un petit Lydle devant chez moi , c'est rater.


Dernière édition par big boss le Ven 17 Avr 2009 - 19:04, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 13 Icon_minitimeVen 17 Avr 2009 - 18:56

Attention avec les turcs,ils vendent toujours les produits perimes ou presque.Un jour ils ont flodes le marches USA avec des produits a dates perimes ou presque.Ici on ne joue pas avec la sante.ils etaient mis dehors et la plupart de leur produits ont ete interdits. Toujours verifies les date d'expirations des produits turcs et normalements les aroubans. c'est une loi internationale d'exportation.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 13 Icon_minitimeLun 20 Avr 2009 - 5:42

Citation :
Les opérations par carte bancaire en hausse de 29% au Maroc
19-04-2009
Les opérations par cartes bancaires au Maroc ont atteint 101,4
milliards de DH en 2008, soit une hausse de 29,5% par rapport à 2007.
Les banques marocaines ont émis 5,1 millions de cartes dont 4
millions de cartes de paiement et de retrait. Les cartes marocaines
représentent 110,2 millions d’opérations pour 88,2 milliards de DH.
Quant aux cartes étrangères, elles totalisent 8,6 millions d’opérations pour un montant de 13,2 milliards de DH.
http://www.lesafriques.com/maroc/les-operations-par-carte-bancaire-en-hausse-de-29-au-maroc.html?Itemid=67?articleid=15336
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 13 Icon_minitimeLun 20 Avr 2009 - 5:45

Citation :
La Guinée Equatoriale confie la gestion exclusive de ses ports à l'Agence spéciale de Tanger-Med
La Guinée Equatoriale a décidé de confier la gestion exclusive de ses
ports, plus particulièrement les grands ports de Bata et de Malabo, à
l'Agence spéciale Tanger-Méditerranée (TMSA), qui dispose de
l'expertise nécessaire en la matière, confirmée au niveau du grand
projet de Tanger-Med.
L'accord conclu au port même de Malabo fixe les modalités de
participation de l'agence spéciale Tanger-Med à la gestion des ports de
Guinée équatoriale, avec pour objectif de permettre à Malabo d'assurer
une gestion moderne et efficace de ses infrastructures portuaires et de
se positionner comme un acteur logistique clé dans le transport
maritime sur la façade atlantique de l'Afrique centrale.
Accédant aux voeux de la Guinée équatoriale de voir le Maroc
étroitement associé à cette ambition, le Royaume a décidé de mettre à
la disposition des autorités guinéennes l'expertise et le savoir-faire
acquis par les professionnels marocains notamment ceux de la TMSA au
niveau du grand projet de Tanger-Med.
http://www.map.ma/fr/sections/activites_roi/la_guinee_equatorial/view
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 13 Icon_minitimeLun 20 Avr 2009 - 22:19

Réponse du berger à la bergère Twisted Evil

Citation :

Air sénégal:La RAM contre-attaque par un ultimatum de 48h
Le feuilleton Air Sénégal International (ASI) vient de prendre une nouvelle tournure. Le Conseil d’administration marathon de 7 heures tenu vendredi dernier à Dakar n’a pas permis de sortir du processus qui va probablement conduire cette compagnie au dépôt de bilan, voire à la faillite.
La situation d’Air Sénégal est jugée gravissime. Faute de solution dans les 48 heures (comprenez, si aucune suite n’est donnée aux propositions faites par la RAM le 3 mars 2009 au gouvernement sénégalais), il en sera fini d’Air Sénégal International. Ce point sonne comme un nouvel ultimatum. Selon le Conseil d’administration d’Air Sénégal International, «le protocole d’accord proposé par RAM constitue la seule mesure offrant encore une chance d’assurer la survie de la compagnie et la sauvegarde des emplois». C’est l’unique base de discussion dans les 48 heures, sinon, il sera trop tard vu l’extrême urgence de la situation. En parallèle, RAM lance une contre-attaque après son assignation en justice par le gouvernement sénégalais. Aussi, sa filiale sénégalaise (ASI) va demander, par voie judiciaire, de lever le voile sur les résultats relevés, avec citation à comparaître des cabinets ayant réalisé l’analyse, afin de pouvoir prendre connaissance de leurs remarques et conclusions. A la RAM, l’on s’étonne que les résultats de cet audit n’ont jamais été communiqués, ni à Air Sénégal International ni à Royal Air Maroc, ce qui rend légitime des interrogations sur les raisons de cette opacité. De plus, la publication de cet examen détaillé de la situation d’Air Sénégal International faciliterait aujourd’hui la mission de l’expert judiciaire mandaté par la justice sénégalaise. Il est aussi rappelé que si la compagnie sénégalaise est au bord de la faillite, c’est aussi à cause des impayés que la direction a détaillés lors du conseil de vendredi dernier. Pour partie, il s’agit de dettes contractées par les autorités sénégalaises auprès d’Air Sénégal International et qui n’ont, à ce jour, pas été honorées. Le gouvernement sénégalais avait validé le principe de la mise en œuvre du dispositif de compensation des dettes et créances entre Air Sénégal International et l’Etat du Sénégal, intégrant les dettes concernant les redevances aéroportuaires.
La direction d’Air Sénégal International envisageait de tout mettre en œuvre en vue de recouvrer les créances dues: les affrètements pour le compte de l’Etat du Sénégal pour un montant de 2,5 millions d’euros; les excédents de TVA perçus par l’Etat du Sénégal pour 1,5 million d’euros et le préjudice subi par ASI du fait de son éviction abusive de l’opération pèlerinage.
L'economiste.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 13 Icon_minitimeMar 21 Avr 2009 - 20:09

Citation :
La récolte céréalière atteint un chiffre record de 102 millions de quintaux

La récolte céréalière a atteint au cours de la campagne agricole 2008-2009 le chiffre record de 102 millions de quintaux, a annoncé mardi le ministre de l’Agriculture et de la Pêche maritime, M. Aziz Akhannouch.

“C’est une récolte record dans les annales de la production agricole”, a estimé le ministre, qui s’exprimait à l’ouverture des deuxièmes Assises nationales de l’Agriculture, ouvertes mardi à Meknès.

Les investissements dans le secteur agricole, générés dans le cadre du Plan Maroc Vert, lancé depuis un an, s’élèvent à 12 milliards de DH (2008-2009), a par ailleurs souligné M. Akhannouch.

Ces performances ont été rendues possibles grâce à une forte pluviométrie, en hausse de 69 pour cent par rapport à la normale, a-t-il ajouté.

Elles vont se traduire par des retombées positives sur l’amélioration du PIB, qui va connaître une augmentation substantielle. Le taux de croissance du PIB, selon les prévisions, devrait s’établir autour de 6 pour cent. La part du secteur agricole au PIB se situe autour de 15 à 20 pour cent, rappelle-t-on

MAP

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 13 Icon_minitimeMar 21 Avr 2009 - 23:07

Viper a écrit:
Citation :
La récolte céréalière atteint un chiffre record de 102 millions de quintaux

La récolte céréalière a atteint au cours de la campagne agricole 2008-2009 le chiffre record de 102 millions de quintaux, a annoncé mardi le ministre de l’Agriculture et de la Pêche maritime, M. Aziz Akhannouch.

“C’est une récolte record dans les annales de la production agricole”, a estimé le ministre, qui s’exprimait à l’ouverture des deuxièmes Assises nationales de l’Agriculture, ouvertes mardi à Meknès.

Les investissements dans le secteur agricole, générés dans le cadre du Plan Maroc Vert, lancé depuis un an, s’élèvent à 12 milliards de DH (2008-2009), a par ailleurs souligné M. Akhannouch.

Ces performances ont été rendues possibles grâce à une forte pluviométrie, en hausse de 69 pour cent par rapport à la normale, a-t-il ajouté.

Elles vont se traduire par des retombées positives sur l’amélioration du PIB, qui va connaître une augmentation substantielle. Le taux de croissance du PIB, selon les prévisions, devrait s’établir autour de 6 pour cent. La part du secteur agricole au PIB se situe autour de 15 à 20 pour cent, rappelle-t-on

MAP
Comment sa ce fait étant donné qu'il y eut des innodations ?
et que l'on disait que la récoilte serait mauvaise pour 2009 ?
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 13 Icon_minitimeMar 21 Avr 2009 - 23:13

Toutes le terres cultivables n'ont pas été innondés si?
Le Maroc possede un peu plus de 9 million d'hectare de terre cultivable dont 1,3 millions irrigué. Sa represente la surface de la belgique.
Sachant qu'il a plu abondament, les 8,7 millions d'hectares auront un rendement bien superieur aux années ou il à moins plu. D'ou les 102 millions de quintaux qui sont en effet un rendement exeptionelle
C'est aussi simple que sa...
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 13 Icon_minitimeMar 21 Avr 2009 - 23:19

ajoute à celà que les terre innondées ont été réexploitées dans d'autre cultures. donc elles ne sont pas restées improductives.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 13 Icon_minitimeMar 21 Avr 2009 - 23:39

Tbarkallah Économie marocaine - Page 13 687127
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 13 Icon_minitimeMer 22 Avr 2009 - 3:57

Citation :

S2M en algerie
http://www.lexpressiondz.com/article/2/2009-04-21/62865.html

Citation :

Centrale Laitière lance la plus grande ferme laitière d’Afrique
http://www.lavieeco.com/economie/13484-centrale-laitiere-lance-la-plus-grande-ferme-laitiere-dafrique.html
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 13 Icon_minitimeMer 22 Avr 2009 - 4:00

TMSA décroche la gestion des ports en Guinée équatoriale
Citation :
· Immobilier, finance, transport… des marchés à prendre

· Une future CDG prochainement créée à Malabo

· La diplomatie, c’est faire des affaires aussi

Lorsque diplomatie et affaires se rejoignent, la politique a un autre goût!
L’Agence spéciale Tanger-Méditerranée (TMSA) vient de décrocher samedi dernier la gestion exclusive des ports de la Guinée équatoriale, dont celui de Malabo et Bata.
Ce petit Etat d’Afrique centrale, d’à peine 28.000 km2, compte 500.000 d’habitants, a un balcon sur l’océan Atlantique. Coincé entre le Cameroun et le Gabon, sa petite taille en fait aussi un gros fournisseur de ressource énergétique, pétrole, gaz naturel et bois principalement.
En ces temps de crise, ce type de profile économique ne laisse pas indifférent. Chinois, Brésiliens, Russes, Français… s’activent déjà dans la prospection pétrolière, BTP, télécom… A son tour, Rabat a signé le 18 avril trois conventions à Malabo. Transport, finance, immobilier, industrie, santé… Ces accords viennent dans la foulée de la visite royale achevée jeudi dernier.
D’après le contrat de concession portuaire, TMSA devra «assurer la gestion des ports pour le compte de l’Etat et de l’Agence d’exploitation des ports».
A part l’assistance technique, le volet promotion et commercialisation sera également pris en charge. Ce contrat implique aussi l’encaissement des redevances et autres taxes portuaires…
Il ouvrirait, éventuellement, une voie royale à TMSA, dans le capital de l’Agence équato-guinéenne des ports. Il serait judicieux de la verrouiller juridiquement afin de ne pas réitérer un Air Sénégal bis (voir p. 54).
D’autant plus qu’un autre deal est dans le pipe. Un mémorandum de coopération financière a été signé. Marocains et Equato-Guinéens envisagent de créer une caisse de dépôt. Et serait d’après des sources officielles, «conçue et structurée selon le modèle de la CDG. Cette coopération financière pourrait s’étendre en créant d’autres fonds liés à l’immobilier, au tourisme et la filière bois. Des projets sont déjà identifiés: travaux d’aménagement de la corniche de Malabo, de l’île de Corsicon et le développement de la ville de Kogo.
Le troisième accord signé par les ministères des Affaires étrangères respectifs des deux Etats porte sur plusieurs secteurs: industrie, transport, éducation, santé, assainissement, télécommunications, agriculture, énergie, mines… Une prochaine réunion de la commission mixte de coopération sera marquée par la signature d’autres accords.
Autant dire que ce sont de nouveaux marchés d’expansion. Du moins pour les entreprises marocaines déjà présentes dans des pays africains. C’est le cas par exemple de Maroc Telecom, Attijariwafa bank ou encore le Groupe FinanceCom… D’autres opérateurs, plus discrets, s’activent déjà en Guinée équatoriale. La plus en vue est Somagec, qui a d’ailleurs bâti le port de Malabo. Elle ne se contente pas du BTP. Une compagnie du même groupe, quant à elle, exporte des camions made in China.
Ce nouvel «Eldorado», ne l’oublions pas, est mené d’une main de fer par un ex-lieutenant colonel. Teodoro Obiang Nguema Mbasogo dirige la Guinée équatoriale depuis août 1979. Même si le FMI prévoit un taux de croissance du PIB de 5% en moyenne entre 2005-2010, l’espérance de vie ne dépasse pas les 42 ans. Malgré 3.230 dollars par PNB/hab, éducation et santé sont à la traîne. Le climat des affaires demeure par ailleurs difficile.

F. F.
http://www.leconomiste.com/article.html?a=92694
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 13 Icon_minitimeMer 22 Avr 2009 - 4:00

Classement Forbes des plus grandes entreprises au monde

Citation :
Trois marocaines dans le "Top 2000"

Elles sont 42 entreprises à figurer au classement Forbes des 2000 plus grandes entreprises au monde. Dans ce petit groupe arabe, l’Arabie Saoudite (15), les Emirats Arabes Unis (13) et le Koweit (9) se taillent la part du lion. Loin derrière arrivent l’Egypte (4), le Maroc –seul pays du Maghreb à y compter des représentants –dans l’ordre, Attijariwafa bank (976ème), BMCE-Banque Marocaine (1429ème) et ONA Group (1913ème)-, parmi la crème des entreprises à l’échelle de la planète.

L’entreprise arabe la mieux classée est Saudi Basic Industries (86ème). La plus mal lotie est jordanienne –Arab Potash (1964ème, industrie chimique).

L’Arabie Saoudite occupe également une place prépondérante au sein du «TOP 20» arabe, avec neuf entreprises : outre Saudi Basic Industries (1ère et 86ème dans le monde), Saudi Telecommnications (2ème, 276ème), Ali Rajhi Bank (5ème, 559ème), Saudi Electricity (6ème, 626ème), Samba Financial Group (7ème, 738ème), Riyad Bank (11ème, 730ème), Banque Saudi Fransi (13ème, 758ème), Saudi British Bank (14ème, 758ème), et Arab National Bank (18è, 836ème).

Deuxième de ce «Top 20», Emirates Telecommunications (4ème, 502ème), Emirates Bank Group (8ème, 638ème), National Bank of Abu Dhabi (16ème, 802ème), Mashreq Bank (17ème, 824ème), et First Gulf Bank (20ème, 928ème).

Parmi cette élite arabe, les banques et autres établissements financiers sont les plus nombreux (13), soit deux tiers du total. D’ailleurs, malgré la crise financière, les banques dominent également à l’échelle globale avec 307 sur un total de 2.000 entreprises, suivies par le secteur des hydrocarbures (126).

Au plan africain, l’Afrique du Sud, n°1, avec 17 entreprises au sein du gotha mondial, distance très largement l’Egypte (3), le Nigeria (3) et le Liberia (1).

L’entreprise la plus grande au monde est américaine –General Electric-, ainsi que 22 sur les 100 premières. Derrière le leader US, arrivent Royal Dutch Shell (Pays-Bas), Toyota Motor (Japon), Exxon/Mobil (USA), BP (Royaume-Uni), HSBC Holdings (Royaume-Uni), AT&T (USA), Wal-Mart Stores (USA), Bano Santandar (Espagne), et Chevron (USA).

Au total, les Etats-Unis comptent le plus grand nombre d’entreprises à ce classement, mais celui-ci est en baisse à 551 entreprises –soit 200 de moins qu’en 2004, année où Forbes avait publié son premier classement.

Les 2.000 entreprises les plus grandes –venant de 62 pays- totalisent un revenu de 32 trillions de dollars, 1,6 trillion de bénéfices, 125 trillions de dollars d’actifs et une valeur évaluée à 20 trillions.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 13 Icon_minitimeMer 22 Avr 2009 - 4:04

cheers
Asian carmakers in talks on Morocco plants

Citation :
Reuters, Tuesday April 21 2009

* Morocco negotiates Asian car projects
* Discussing plants of around 200,000 capacity

CASABLANCA, April 21 (Reuters) - Asian carmakers are in talks with the Moroccan government to set up plants with a capacity that could exceed 200,000 cars a year, a local car industry group said on Tuesday.


French carmaker Renault is already planning a plant on that scale, and Adil Bennani, the chairman of Givet, which groups importers of cars and other vehicles from outside the European Union, said the Asian makers could equal or top that.
"Carmakers from Japan and other Asian countries are in talks with the authorities here to set up factories with capacities similar to Renault's or bigger than that," said Bennani. He said the ongoing negotiations involved top managers from unnamed Asian car manufacturers and Moroccan government officials, but he declined to give further details, including whether Rabat authorities were negotiating with several Asian carmakers at the same time with the aim of reaching deals on more than one factory.
"The negotiations were under way and they are shrouded in secrecy because of fierce competition from another North African country which seeks to lure such projects," Bennani told a news conference.
He did not name the competing country.
But Bennani said at least one of the Asian carmakers was negotiating to set up a plant to export cars to North and Sub-Saharan Africa.
"This company has an industrial project with a regional vision involving North Africa and other areas in Africa, including the Sub Sahara region," he added.
Government officials at industry and trade ministries were not immediately available for comment.
The Rabat government wants to make Morocco into a hub for the car industry, as it maximises its free trade agreements with the European Union and United States and several Arab countries. Last year, Renault signed a deal with Morocco to build a new factory that would be able to produce up to 200,000 cars a year from 2010, and eventually up to 400,000 a year.
The planned investments in manufacturing capacity were estimated at 600 million euros, with a first phase of 350 million euros.
Further specific investment of 200-400 million euros would be made according to the type of vehicles produced.
Renault already has a major presence in Morocco, where it produces the low-cost Logan car.
Its plant in Morocco will manufacture cheaper cars for developing markets under the Renault/Dacia brand and small utility vehicles under the Nissan brand, with 90 percent of the plant output for export.
Morocco is confident that the global economic downturn will not derail the Renault project, though ministers have suggested it might be delayed.
The number of cars sold in the country's domestic market is expected to triple to about 3 million by 2012 on the back of economic growth and a rising middle class in the main cities, according to estimates by Givet.
(Reporting by Lamine Ghanmi, editing by Will Waterman)
http://www.guardian.co.uk/business/feedarticle/8466148
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 13 Icon_minitimeMer 22 Avr 2009 - 4:07

Bon boulot amine Économie marocaine - Page 13 Icon_sal
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 13 Icon_minitimeMer 22 Avr 2009 - 16:00

Citation :
Le Maroc investit 12 milliards de dirhams dans l'agriculture 2009-04-22

RABAT, 21 avril (Xinhua) -- Le ministre marocain de l'Agriculture et de la Pêche maritime, Aziz Akhannouch a affirmé mardi que les investissements dans le secteur agricole du Maroc ont réalisé un saut qualitatif pour atteindre 12 milliards de dirhams (1,42 milliard de dollars), selon une information de l'agence MAP.

Les investissements étrangers représentent une part importante dans ce montant global ce qui dénote l'écho favorable du "Plan Maroc vert" sur le plan international, a ajouté le ministre, qui s'exprimait à l'ouverture des deuxièmes Assises nationales de l'Agriculture, ouvertes mardi à Meknès, au nord du Maroc.

M. Akhannouch a indiqué que des projets de grande envergure ont été lancés dans toute les chaînes de production par des investisseurs marocains et étrangers, ayant concerné, entre autres, les filières des légumes, de l'agrumiculture, l'oliveraie et l'élevage.

Le ministre a également rappelé le lancement d'importants projets à travers les différentes régions du Royaume dans le cadre du "Plan Maroc Vert", mis en oeuvre selon une dynamique positive et appropriée.

Source : Xinhua
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