Économie marocaine

Rappel du premier message :

8 milions tbarkallah ou sla 3la n'bi.

faute d frappe pr "La" relation.
sinon il faut arreter de dire n importe quoi sur les accidents d train, et je le dis clairement ceux qui se font ecraser comme des citrons sur les rails le meritent ( a l exception des pannes de voiture sur les rails la c est dieu qui t aime pas)
y a au CHU avicenne exactement a HER aux UCP un gamin d 13 ans ampute des deux membres inferieurs ( c est pas du tout beau a voir c'ete du kefta mechwya a l admission) l enfant originaire de kser kbir s croyait plus rapide que le train, maintenant il sait que c est faux et il va l regretter toute sa vie.

fin du HS

dr.docleo a écrit:

faute d frappe pr "La" relation.
sinon il faut arreter de dire n importe quoi sur les accidents d train, et je le dis clairement ceux qui se font ecraser comme des citrons sur les rails le meritent ( a l exception des pannes de voiture sur les rails la c est dieu qui t aime pas)
y a au CHU avicenne exactement a HER aux UCP un gamin d 13 ans ampute des deux membres inferieurs ( c est pas du tout beau a voir c'ete du kefta mechwya a l admission) l enfant originaire de kser kbir s croyait plus rapide que le train, maintenant il sait que c est faux et il va l regretter toute sa vie.

fin du HS

les passage a niveau inexistant a certain endroit sont aussi a mettre en cause dans les accidents

mais bref, ces PRIMA2 ont leur place au maroc pour repondre au besoins croissant du transport de fret et de passager (avec ce qui ce fait dans le nord etc... )

Les regrets d'un enfant ne changera rien pour les autres !
mais au moins avant de mettre en service les prima II j'espere qu'ils songeront a se probleme !!
si le transport de fret heurte un gosse ils arrivera quand!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
mais pas à l'heure

une société a une mémoire comme le corps c est en se brisant les "os" qu'on va apprendre!
et je suis sur que le village d ou vient le gosse a bien retenu la leçon!
sinon pour Mr alloudi, pour les passages a niveau ou surveillé tu as deux contres exemples, y a celui d nassim (casa) passage surveillé mais ou y a des accidents de temps en temps qui n'acceptent , dans la logique, qu'une seule explication, que vraiment ils le méritent c est pas 1 min qui va te faire perdre du temps alors qu'on perd des heures au café ou a papoter. et le pire certains demande des indemnités

et le dernier exemple c est le passage a niveau près de avicenne (rabat), si tu habites rabat tu sauras qu'une minorité de gens qui emprunte le passage alors que la majorités ....!

quand certains apprendront a utiliser leur système nerveux la y aura pas ce genre d accident, sinon ils vont continuer a s'écraser comme des moches sur le pare-brise, et s est souhaitable vu l'ignorance, ca sera un bon outil pour l éradiquer. mais j'espère que ca soit efficace comme nous l a toujours démontré le train contrairement a d autre moyen de suicide parce que on veut pas d infirmes ni de retardes mentaux

NB: je parle pas ici d accident d enfant en bas age ni de ceux qui naissent infirme ou arriéré mental (trisomique 21 ....) dans ces cas c'est une tragédie pour les autres cas ce n'est qu'une statistique.

cordialement.

sinon pour le TGV c est prévu une ligne rabat ouajda!? je l ai vu sur jeune afrique

Une bonne nouvelle, c'est toujours plaisant de récolter une partie des fruits semer plusieurs années avant..

Citation :

Au premier semestre 2009 Rabat draine 3 milliards DH d'investissement



Rabat se positionne comme pôle de services



· Ils représentent 70% des investissements agréés par le CRI

· Les grands projets sont prévus à Salé

LA capitale du Royaume est en train de se transformer en pôle économique spécialisé dans les services. Cette mutation observée durant ces dernières années est confirmée par les données du rapport du premier semestre 2009 publié par le Centre régional d’investissement (CRI) de Rabat. Sur 55 dossiers, 36 ont reçu l’accord du centre pour un montant global de plus de 3 milliards de DH. Un résultat en baisse par rapport à la même période de l’année précédente. Selon le rapport, ces projets devraient générer à terme environ 2.000 emplois stables dans la région. Le secteur des services s’accapare la grande part des investissements avec plus de 2 milliards de DH, ce qui représente 71% du montant global. Le gros lot sera destiné à la ville de Salé qui abritera la nouvelle université international de Rabat. La réalisation de ce projet nécessitera la mobilisation d’une enveloppe d’environ 1,3 milliard de DH. A rappeler que la construction de cet établissement est prévue sur un terrain de 20 ha situé sur le site de Technopolis à Salé (cf.www.leconomiste.com).
Pour la capitale, on retient deux importants projets pour un coût d’investissement de 60 millions de DH chacun et la création de plus de 200 postes d’emploi pour les deux. Il s’agit de la réalisation d’un centre d’affaires en plein centre de Rabat et la construction d’un immeuble de plateaux de bureaux en R+3 au niveau de l’avenue Mehdi Ben Barka.
Pour sa part, le secteur du BTP a drainé un investissement global de 570 millions de DH. Il sera destiné à la réalisation à Sidi Yahia, dans la région de Témara, sur un terrain de 56 ha, d’un vaste projet résidentiel qui porte sur la construction de 200 villas avec un certain nombre d’équipements structurants (centre commercial, mosquée, crèche…). A ne pas oublier, non plus, la région de Khémisset qui est concernée par 25 projets relevant du secteur de l’énergie et des mines pour un investissement de 180 millions de DH.
Toujours sur le chapitre des investissements, il faut noter qu’en cette période de crise internationale, la majorité des projets agréés par le CRI sera financée par des capitaux nationaux.
Au niveau de la création d’entreprises, les services occupent également la première position. Ils représentent 69% du total des entreprises et sociétés créées au cours du premier semestre 2009 dont le nombre dépasse les 2.900 unités. Le BTP et le commerce viennent après avec des parts respectives de 17 et 9%. Le nombre des entreprises créées par des personnes physiques s’élève à 1.255 unités. Notons par ailleurs qu’une partie du rapport du CRI a été consacrée au bilan de l’opération Moukawalati. Le nombre des entreprises opérationnelles est en dessous des ambitions affichées lors du lancement de ce programme, fin 2006. Pour le moment, le nombre d’entreprises qui ont démarré avoisine les 110 unités. Ce qui a permis la création de près de 320 postes d’emploi. Pour le premier semestre 2009, le nombre des projets acceptés par le Comité régional de sélection est de 113 sur les 153 déposés. C’est le guichet de la Chambre de commerce, d’industrie et des services de Rabat qui vient en tête avec une part de 66%. En outre, 25 demandes de crédit ont été déposées auprès des banques dont 8 ont reçu un accord favorable. A noter aussi que dans le cadre du programme Moukawalati, on constate que les services drainent 67% de l’investissement et créent 56% des emplois. Ils sont suivis par l’enseignement et les secteurs du textile et de l’agriculture.
Les responsables ambitionnent de réaliser des résultats meilleurs dans le cadre du nouveau plan de relance 2009-2012. A cet effet, 9 nouveaux guichets Moukawalati ont été ouverts au niveau de la région et seront opérationnels à partir de septembre prochain. Actuellement, les différentes provinces de la région sont dotées de 16 guichets dont certains se trouvent au sein des établissements d’enseignement supérieur.

Nour Eddine EL AISSI

dr.docleo a écrit:

une société a une mémoire comme le corps c est en se brisant les "os" qu'on va apprendre!
et je suis sur que le village d ou vient le gosse a bien retenu la leçon!
sinon pour Mr alloudi, pour les passages a niveau ou surveillé tu as deux contres exemples, y a celui d nassim (casa) passage surveillé mais ou y a des accidents de temps en temps qui n'acceptent , dans la logique, qu'une seule explication, que vraiment ils le méritent c est pas 1 min qui va te faire perdre du temps alors qu'on perd des heures au café ou a papoter. et le pire certains demande des indemnités

et le dernier exemple c est le passage a niveau près de avicenne (rabat), si tu habites rabat tu sauras qu'une minorité de gens qui emprunte le passage alors que la majorités ....!

quand certains apprendront a utiliser leur système nerveux la y aura pas ce genre d accident, sinon ils vont continuer a s'écraser comme des moches sur le pare-brise, et s est souhaitable vu l'ignorance, ca sera un bon outil pour l éradiquer. mais j'espère que ca soit efficace comme nous l a toujours démontré le train contrairement a d autre moyen de suicide parce que on veut pas d infirmes ni de retardes mentaux

NB: je parle pas ici d accident d enfant en bas age ni de ceux qui naissent infirme ou arriéré mental (trisomique 21 ....) dans ces cas c'est une tragédie pour les autres cas ce n'est qu'une statistique.

cordialement.

sinon pour le TGV c est prévu une ligne rabat ouajda!? je l ai vu sur jeune afrique

il ,n est pas besoin d etre attardé mentale pour avoire un accident (de train de voiture etc etc)

un moment d innattention et hop ...meme monsieur intelligent peu se retrouver comme une mouche sur le pare brise (pour reprendre ton expression .

et quoi qu on en dise, les signalisation les passage a niveau ,eclairages, surveillance...bref tout les equipements qui permettent de renforcer (pas garantir a 100% car aucun systeme ne le permet) donc je disait tout un equipement qui permet de RENFORCER la securité au abort des voie ferré (pour les automobiliste et les pietons) diminue les risque d d accidents.

un peu de respect pour les victimes...ils y en a bien d en le lot qui ne sont ni bete ni le meritent un telle accident

FIN HS

Alloudi +1.
Pour un "docteur" je trouve que tu manque cruellement de respect au victime, et je ressens comme une jouissance chez toi à décrire leur mutilation. D'ailleurs dans le code de déontologie médicale, ton comportement pourrait faire l'objet de poursuite :

Citation :

Art. 4 al 1 : "Le secret professionnel, institué dans l'intérêt des malades, s'impose à tout médecin dans les conditions établies par la loi"

Citation :

Le secret médical s'applique à tous les professionnels de la santé : médecins, internes, externes, étudiants en médecine, psychologues, infirmiers, aides soignants

Merci.

Younes

Alloudi a bien raison ils faut renforcer les moyens de securitè et pour les villages ils faut construire des mur comme ceux present dans les banlieux par ou le train passe ( meme si y en as qui les sautes )
c'est peut-etre couteux pour couvrir tous les chemins mais sa evitera d'autre perte humaines et materiels!!

Citation :

Grand Casablanca : 7 milliards de DH d’investissements au cours du premier semestre

Les BTP arrivent en tête avec un montant de 3 milliards de dirhams suivis par les IMME avec 2,5 milliards.
Le nombre de projets est en très légère hausse par rapport à 2008.
Les 88% du montant des investissements sont engagés par les opérateurs locaux.

La crise ne semble pas trop affecter les investissements à Casablanca. En témoignent les dernières statistiques du Centre régional d’investissement (CRI) que La Vie éco a eu en première. Ces derniers, concrétisés par 66 projets d’investissement traités et agréés par le CRI, affichent au terme du premier semestre 2009 un montant global de 7 milliards de DH contre 7,4 milliards durant la même période de 2008, soit un recul de 5,7%.

Les secteurs les plus courus sont par ordre d’importance les bâtiments et travaux publics (BTP) avec 3 milliards, suivis des industries métallurgiques mécaniques et électriques (IMME) avec 2,5 milliards. Plus loin, viennent les services et le tourisme avec respectivement 730 et 700 MDH. Le montant moyen des investissements par projet reste élevé : en moyenne 106 MDH.


La prédominance du secteur des BTP s’est réalisée à travers 46 projets. Les services sont concernés par onze projets et les industries par sept. Donne importante : sur ces 7 milliards de DH, 6,2 milliards sont déboursés par des investisseurs nationaux qui ont courageusement pallié la défection des investisseurs étrangers dans certains secteurs. On l’a vu dans le secteur du tourisme, ce sont les investisseurs nationaux institutionnels et privés qui ont permis de sauver en partie le Plan Azur.
Contrairement au volume des investissements, le nombre de créations d’entreprises (entreprises juridiquement créées en nom pas intentions de création) est passé de 3 100 à 3 125 d’une année à l’autre.

Toujours est-il que si on remonte plus loin dans le temps, on remarque que le nombre de créations d’entreprises est en hausse continue, sachant que pour le premier semestre 2005, il s’était établi à tout juste 1 650 entreprises.
Reste maintenant à connaître le nombre de projets qui ont pu dépasser le stade de la création administrative. On sait en revanche que la forme juridique la plus demandée demeure la personne morale qui représente 2 870 entreprises sur les 3125 créées contre 255 qui ont opté pour la personne physique, ce qui peut être un critère d’appréciation de l’importance des projets.

Délai moyen de création : 3,9 jours au lieu de 5,3 en 2008

En se basant sur les programmes d’investissement agréés, l’ensemble des projets devait générer 4 637 emplois dont 2 867 dans le seul secteur immobilier, 1057 emplois dans les industries et 380 dans le secteur du tourisme. Par ailleurs, le délai de création se réduit d’année en année. Durant ce premier semestre de 2009, il est en moyenne de 3,9 jours contre 5,3 au premier semestre 2008 et 8,5 jours pour la même période de 2005.

Focus :220 MDH dans un projet industriel

http://www.lavieeco.com/economie/aff...ge?encadre=633

Présent au Maroc depuis 1989 à travers sa filiale Babcock Wanson, dans le domaine des chaudières industrielles, le groupe Constructions industrielles de la Méditerranée (CNIM) a décidé de passer à la vitesse supérieure. Il a choisi la préfecture de Sidi Bernoussi, à Casablanca (la première usine est à Aïn Sebaâ), comme base pour sa future usine de production d’ensembles clés en main à fort contenu technologique, notamment sur des niches de marché dans les domaines de l’environnement, de l’aéronautique et du nucléaire, de l’énergie.

La convention entre l’Etat et le groupe a été signée lors du dernier salon du Bourget. Le projet sera réalisé sur un terrain de 13 hectares. Il s’agit d’un investissement de 220 MDH qui contribuera à créer 200 emplois dans un premier temps avec la production de chaudières et d’équipements thermiques destinés au marché national et à l’exportation vers les pays maghrébins et l’Afrique francophone.

A terme, le site industriel passera à la production de produits métalliques à forte valeur ajoutée pour les industries nucléaire et aéronautique. Il réalisera aussi des composants pour les centrales thermiques solaires. Le groupe CNIM est présent dans 23 pays et compte un effectif de 3500 personnes. Son chiffre d’affaires a atteint, en 2008, 678 millions d’euros avec un carnet de commandes pour cette même année qui se monte à 924 millions d’euros.

lavieeco

Younes a écrit:

Alloudi +1.
Pour un "docteur" je trouve que tu manque cruellement de respect au victime, et je ressens comme une jouissance chez toi à décrire leur mutilation. D'ailleurs dans le code de déontologie médicale, ton comportement pourrait faire l'objet de poursuite :

Citation :

Art. 4 al 1 : "Le secret professionnel, institué dans l'intérêt des malades, s'impose à tout médecin dans les conditions établies par la loi"

Citation :

Le secret médical s'applique à tous les professionnels de la santé : médecins, internes, externes, étudiants en médecine, psychologues, infirmiers, aides soignants

Merci.

explique moi ou j ai pas respecte la déontologie?!. si tu parles du cas, il ete cite dans un journal aussi (cote fait divers pas drame) le fait de parler de son etat actuel ca c est autres choses.

pour les accidents moi je sais ce qu'un accident regrettable on reçoit plusieurs cas par jour.
mais malheureusement nous les marocains on aime pas endosser la responsabilité, bus mcha 3lia! ta7 lkas. il faut appeler un chat un chat.
je suis pas la pour pleurer sur les bêtises des autres, je traite. eux ils doivent assumer et la société doit apprendre.
pour Mr alloudi, le Mr c'ete par courtoisie et pas par méchanceté. et si je fais comme eux bien sur que j mériterai d'être écraser comme une mouche.
il faut être pragmatique le Maroc en a besoin, pas de place pour les sentiments. je croyais que vous etiez des militaires! y a pas d place des sentiments pour le militaire, sinon pq parler d arme qui tue et mutule...

je te donne raison,qui risque gros et met sa vie en jeux ne dois pas se plaindre du destin

Pas de sentiment donc toi t'es genre voire son pote crevè et t'avance
en+ si on met du materiel pour garantir la securitè des gens et celle du train c'est bien mais faut aussi mettre en oeuvre des compagnes pour combattre se fleo !!
c'est dans l'interet de L'oncf et aussi des citoyens donc je me demande pourquoi condamne tu ces gens qui on laisser leur peau sous un train par accident ou par inconscience !!!!!?

Blackhawk a écrit:

c'est dans l'interet de L'oncf et aussi des citoyens donc je me demande
pourquoi condamne tu ces gens qui on laisser leur peau sous un train
par accident ou par inconscience

c est par insouciance pas inconscience

Bah reveille toi mon ami nous ne somme pas en cas de guerre

en second je te rapelle que c'est qui meurt et surtout les enfants d'entre eux sont mort a cause de leur inconscience , leur parents ne les ont pas mis en garde contre un danger pareille !!
tu est marocain et je pense que tu as deja frequentè un quartier populaire et je pense que tu as eux affaire à des gosses de ses quartiers !!
bref tu dois savoir ce que vivent ses gens et non pas les condamnès !!!!!
je respect ton point de vu mais je defend le mien

je comprend ton point de vue docteur

quand tu vois des gens inconscient c est vrai que sa peu mettre hors de sois

mais le gens son inconscient et partout dans le monde c est comme cela .
si tu ne mais pas la securité et la surveillance, c est l hecatombe et pour le train c est retard casse etc etc

les systeme de securité (surveillance barrieres ,passerelle etc ) c est dans l interet et des inconscient et du chemin de fer pour son bon fonctionnement car un accident et malheureux pour les victime et nuit au bon fonctionnement du reseau ).

bref parler de l inconscience pour argumenter contre le manque de securité n arrange rien

et ne pas compatir au sort des victimes car inconsciente n arrange rien n ont plus

la securité et justement la pour eviter les drames par inconscience .


un exemple

un automobiliste qui arrive a un chemein de fer avec barriere de securité baissé au passage du train sera plus dissuadé a s arreter que s il arrive a un chemin de fer sans barriere.

et encore une fois pour les victimes..., tout le monde un jour ou l autre peu etre inconscient selon la
situation toi y compris ou un de tes proche...(préssé, enervé, distret ...) et tu fait un geste inconscient
et hop le drame.

Alloudi a écrit:

et quoi qu on en dise, les signalisation les passage a niveau ,eclairages, surveillance...bref tout les equipements qui permettent de renforcer (pas garantir a 100% car aucun systeme ne le permet) donc je disait tout un equipement qui permet de RENFORCER la securité au abort des voie ferré (pour les automobiliste et les pietons) diminue les risque d d accidents.

Blackhawk a écrit:

Younes

Alloudi a bien raison ils faut renforcer les moyens de securitè et pour les villages ils faut construire des mur comme ceux present dans les banlieux par ou le train passe ( meme si y en as qui les sautes )
c'est peut-etre couteux pour couvrir tous les chemins mais sa evitera d'autre perte humaines et materiels!!

Messieurs c'est une erreur de croire que la sécurité passe par le matériel, les équipements sont là uniquement pour nous assister.
La sécurité passe en avant tout par le comportement de chacun, dans le cadre de formation à l'utilisation de système de contrôle et de sureté complexe ( gestion de l'info en temps réel !) le formateur n'arrête pas de vous marteler " vous êtes garant de votre sécurité et celle des autres, respecté les procédures car le système n'est pas infaillible !"

Les statistiques sont claire entre 80% et 90% des accidents sont d'origines humaines

Ce "je m'enfoutisme" des marocains m'exapère aussi, et je comprend dr.docleo lorsqu'il dit que l'apprentissage doit se faire dans le sang...

Il faut que les marocains comprennent qu'il faut respecté les règles !
on ne peut pas faire ce qu'on veut quand on veut ...

Yakuza a écrit:

je te donne raison,qui risque gros et met sa vie en jeux ne dois pas se plaindre du destin

Quand on joue avec le feu, on sait qu'on a des chance de se brûler...

dr.docleo a écrit:

c est par insouciance pas inconscience

Il est bien là problème ...


/HS

Citation :

Exportations historiques de phosphates au Maroc en juillet

L’OCP a réalisé de très belles prouesses au mois de juillet qui augurent peut-être d’un retour de l’embellie des phosphates. En effet, le groupe a exporté, pour ce seul mois, près de 267.000 tonnes d’acide phosphorique et 128.000 tonnes d’engrais TSP (engrais phosphaté fabriqué sur le site de Safi). Pour les deux indicateurs, il s’agit d’un record historique. A l’issue de la réorganisation déployée par Mustapha Terrab, ses équipes avaient déjà promis de faire jouer les synergies entre production, transformation et commercial. Le pari semble porter ses fruits.

L'economiste
__________________

Citation :

· Des villas à 25 millions de DH!

Sur les 67 villas au programme de la première tranche du projet Mazagan Beach Resort, 57 ont déjà trouvé acquéreur. Les prix de commercialisation sont compris entre 9 millions et 25 millions de DH. La totalité sera livrée en septembre 2010. Le business plan du projet sur 10 ans devrait être profitable à partir de la 3e année d’exploitation!

http://www.leconomiste.com/

marques a écrit:

Citation :

· Des villas à 25 millions de DH!

Sur les 67 villas au programme de la première tranche du projet Mazagan Beach Resort, 57 ont déjà trouvé acquéreur. Les prix de commercialisation sont compris entre 9 millions et 25 millions de DH. La totalité sera livrée en septembre 2010. Le business plan du projet sur 10 ans devrait être profitable à partir de la 3e année d’exploitation!

http://www.leconomiste.com/

j'ai vu le site aujourd'hui, c'est grand et ça cré bcp d'emploi permanent et provisoires dans les deux villes Jdida et Azzemour, mais franchement moi je fais partie d'une minorité qui regrette le très belle foret qui existait là avant le début du chatier, c'était une forêt très dense et très belle , c'est dommage! ça sert à qoi d'avoir des mégaprojets touristique si le maroc sera dépourvu de forets d'ici 2025! la même erreur sera commise à Nador mais à plus grande échelle, ALLAH ihdhom 3lina

Quand ils se retrouveront avec des bancs de sables qui s'infiltrent dans les villes, sans fôrets pour leur faire barrière, ils comprendront leurs erreurs Raptor

la plus grosse perte c'est la faune perdue! souvent ces foret bien que très petits ils abritent des animeaux (oiseaux, rapace, rongeurs...) perdu à tout jamais à cause de la déforestation.

Citation :

Karim Ghellab: «Une vaste zone intercontinentale d’Europe et d’Afrique»

07-08-2009

Karim Ghellab, ministre de l’Equipement et du Transport, dévoile les grands axes de développement des infrastructures marocaines, qui préfigurent celles de l’Afrique de l’Ouest et du Nord.

Les Afriques : Quel bilan de l’open sky avec l’UE et de la libéralisation de l’aérien ?

Karim Ghellab : La libéralisation du secteur du transport aérien au Maroc et l’accord de l’open sky avec l’UE constituent des références internationales. Les résultats enregistrés marquent effectivement une révolution du ciel marocain. En effet, le trafic aérien international a augmenté d’une manière très importante entre 2003 et 2007 (+18% en moyenne) et les fréquences hebdomadaires ont connu une progression de +142%. La grande part de cette progression (+91%) revient au low cost, qui a permis de développer des offres packagées, de booster la capacité et de stimuler la concurrence des compagnies classiques. Ces dernières ont réagi par des baisses de coûts, l’augmentation des lignes, le recentrage sur le hub de Casablanca et la création de filiales low cost.

En 2008, et en dépit d’une conjoncture défavorable pour le développement du secteur du transport aérien au niveau mondial, le Maroc a enregistré une augmentation du trafic international de 8,5%.

Grâce à la mise en œuvre de cette politique, le secteur aérien a connu également un saut qualitatif marqué par plusieurs évolutions. Sur le plan des opérateurs : 29 nouvelles compagnies étrangères sont entrées dans le ciel marocain. Sur le plan de l’offre : la desserte internationale est de 1030 vols par semaine à fin 2008, contre 560 vols par semaine en 2003, avec plus de destinations étrangères reliées directement. Sur le plan du marché : le trafic aérien international n’a cessé d’augmenter au cours des dernières années avec des taux de croissance en totale rupture avec le passé. L’année 2008 a enregistré un trafic total international de 11 millions de passagers, contre 5,2 millions seulement en 2003. Enfin, sur le plan des tarifs, des baisses significatives ont été enregistrées avec le grand nombre de nouveaux entrants, entraînant ainsi une plus grande concurrence.

En pleine crise économique, le Maroc reste l’un des rares pays à enregistrer une croissance de son trafic international (+2% à fin mai 2009 pour le Maroc, -7,6% au niveau mondial et -9,6% pour l’Europe) et la poursuite de la création de nouvelles lignes aériennes avec 105 fréq/sem créées durant la saison d’été 2009.

LA : Quel est l’état d’avancement du projet de liaison fixe entre le Maroc et l’Espagne et le montage retenu pour le financement ?

KG : Placé dans son contexte économique international, le projet intéresse en réalité une vaste zone intercontinentale d’Europe et d’Afrique, dans laquelle les grands axes de transport terrestre sont en pleine expansion. Le projet de liaison fixe du détroit de Gibraltar aura un effet positif sur l’économie marocaine et valorisera davantage les réseaux de transport terrestre marocains. Mais n’oublions pas que ce projet constitue aussi un maillon essentiel dans le schéma directeur du réseau terrestre de transport euro-africain, et plus particulièrement ouest-méditerranéen, et ce dans l’optique d’une intégration économique régionale. Le Maroc et l’Espagne, qui aspirent à jouer pleinement leur rôle comme plate-forme tournante des échanges entre l’Europe et l’Afrique, défendent en permanence ce projet et lui donnent une forte impulsion, car une fois achevé, il contribuera à une meilleure intégration de la zone à l’économie mondiale. Des études d’évaluation globale du projet sont engagées et se trouvent en phase d’achèvement. Un rapport global des résultats sera élaboré dans l’année.

LA : Où en est-on avec le projet de ligne TGV entre Tanger et Agadir ?

KG : Cet axe s’inscrit dans le cadre du schéma directeur des lignes pour Trains à grande vitesse, qui prévoit la construction d’un réseau, de 1500 km environ, de lignes à grande vitesse à réaliser progressivement à l’horizon 2035. Ce réseau comporte deux grandes liaisons ferroviaires. Une ligne « Atlantique », partant de Tanger et passant par Rabat, Casablanca, Marrakech et Essaouira pour desservir Agadir, revêtant une importance capitale pour le développement socio économique et le rayonnement régional ; Une ligne « maghrébine » Casablanca-Rabat-Oujda et qui se prolongera jusqu’à Alger, Tunis et Tripoli dans le cadre du futur réseau à grande vitesse maghrébin, constituant ainsi une étape importante dans le processus d’intégration des réseaux euro-méditerranéens des transports initié au titre de la politique européenne de voisinage.

La réalisation de l’axe Tanger-Agadir se fera par phases. Le premier tronçon consistant en la ligne Casa-Tanger a fait l’objet d’un protocole d’accord entre les gouvernements marocain et français, signé à Marrakech, en date du 22 octobre 2007, sous la présidence de Sa Majesté le roi et du président de la République française. Il s’agit d’un partenariat stratégique liant les deux pays et ayant pour fondement une coopération technologique, économique et financière portant sur la conception, la construction, l’exploitation et l’entretien de la ligne en question.

Conformément aux dispositions du protocole d’accord, un comité de suivi a été institué par les autorités de la République française et du Royaume du Maroc pour assurer le suivi global du projet de la ligne de train à grande vitesse entre Tanger et Casablanca, et veiller au respect des engagements arrêtés dans ledit protocole et à sa réalisation dans des conditions optimales et compétitives. Depuis, plusieurs étapes ont été franchies pour la mise en place des cadres institutionnels et organisationnels du projet en vue de lancer les travaux en fin de l’année 2009. Le financement de ces projets sera sous forme de prêts auprès de bailleurs de fonds nationaux et internationaux et des fonds propres de l’Etat marocain.

LA : La route Casablanca-Dakar est opérationnelle. Pourquoi tarde-t-on à voir la mise en place de compagnies mixtes de transport entre les trois pays concernés (Mauritanie, Sénégal et Maroc) ?

KG : Certes l’infrastructure routière existe, cependant la création de telles compagnies nécessite un cadre global de libéralisation et des échanges commerciaux plus conséquents entre ces trois pays. Cela requiert un minimum de similitude et de rapprochement de leurs systèmes de transport routier en matière de normes et de réglementations. Nous nous attelons à la finalisation d’un accord régissant le transport routier de marchandises avec la Mauritanie et visons sa signature dans les meilleurs délais possibles.

LA : Où en est la réforme de la chaîne logistique au Maroc dans ses segments transport maritime, transit portuaire, transport routier et multimodal ?

KG : La réforme de la chaîne logistique du Maroc a été conçue selon deux niveaux. Le premier concerne le développement de nouvelles capacités en matière d’infrastructures de transport et le renforcement du cadre institutionnel des différents modes de transport. Quant au second, il a trait à l’amélioration de la compétitivité logistique du royaume à travers une stratégie et un plan d’actions opérationnel et intégré. Le Maroc est en effet engagé dans une entreprise globale et volontaire de renforcement et de modernisation du maillage de ses infrastructures, à travers notamment un ambitieux programme autoroutier de 1800 km à l’horizon 2015, et l’édification sur le détroit de Gibraltar, à l’intersection des grandes routes maritimes, du complexe portuaire de Tanger-Méditerranée pour une capacité de 8,2 millions d’EVP.

Pour la période 2008-2012, le Maroc prévoit le renforcement de ses infrastructures de transport, à travers le lancement d’un ensemble de grands chantiers dont le volume d’investissements est estimé à 120 milliards de dirhams (11 milliards d’euros), soit le double de ce qui a été réalisé durant la période 2002-2007.

En parallèle, le Maroc a accéléré le rythme des réformes relatives au secteur des transports. La libéralisation du transport routier de marchandises a permis d’adapter et de restructurer ce secteur pour mieux répondre aux attentes des usagers et à la demande accrue en moyens de transport des différents opérateurs économiques devenus de plus en plus exigeants.

S’agissant du secteur portuaire, une réforme a été mise en œuvre depuis 2005 visant la clarification des rôles et missions (régaliennes, commerciales et de régulation), la consécration de l’unicité de l’opérateur pour les opérations de chargement et de déchargement des navires, et l’instauration de la concurrence au sein et entre les ports du pays. Outre cette réforme, le paysage portuaire connaîtra la mise en place d’un guichet unique informatisé reliant l’ensemble des intervenants dans l’enceinte portuaire (administrations et opérateurs), qui est de nature à améliorer l’efficacité du transit portuaire.

Aussi, a été complètement opérée la libéralisation du transport maritime à travers la suppression des contraintes imposées aux armateurs opérant sur les lignes régulières.

Par ailleurs, la mise en service du nouveau port de Tanger Med, avec sa vocation de hub de transbordement, devrait accélérer l’essor du transport maritime en offrant la possibilité de recevoir des navires de grande portée.

En accompagnement au développement des infrastructures du transport et des réformes engagées, le Maroc est engagé actuellement dans un processus de développement du secteur de la logistique pour en faire un levier d’amélioration de la compétitivité de son économie en général, et des exportations en particulier.

Basée sur un partenariat fort et efficace, public-privé, la refonte du secteur de la logistique vise la mise en œuvre d’une nouvelle stratégie qui s’articule autour de quatre axes essentiels. Premièrement, la nécessité d’optimiser la gestion des flux de marchandises à travers la définition et la mise en œuvre d’un schéma national de plates-formes logistiques. Deuxièmement, l’émergence d’opérateurs marocains intégrés en matière de services logistiques, notamment à travers la qualification des opérateurs dans le secteur du transport routier de marchandises. Troisièmement, la création en partenariat avec le secteur privé d’outils de suivi et de veille sur le niveau d’efficacité des services logistiques (observatoire de la compétitivité logistique). Et quatrièmement, la formation dans les métiers du transport et de la logistique.

A.W.

lesafriques.com

Le post qui suit celui ci c'est la traduction resume'e faite par la map de ce meme article.

Citation :

Nace un coloso al sur del Estrecho

Mohamed VI impulsa el puerto de Tánger para convertirlo en líder del Mediterráneo

Las Columnas de Hércules, como se llamaba en tiempos de los romanos al peñón de Gibraltar y al monte Jbel Musa, en la costa africana, hace tiempo que ya no son los mojones anunciadores del Estrecho para los navegantes. Para la marina mercante, las nuevas columnas son más bien el puerto de Algeciras, en plena expansión, y el nuevo de Tánger Med I que crece aún más rápidamente.

Tánger Med I ha roto, por lo pronto, el monopolio del tráfico de contenedores en el Estrecho que ostentaba Algeciras que ha perdido, de paso, el liderazgo del que alardeaba en el Mediterráneo. En 2008, su primer año completo de funcionamiento, el puerto marroquí ha movido un millón de contenedores, un 30% de los que absorbe su rival andaluza, y su objetivo es triplicar esa cifra.

Cuando el rey Mohamed VI anunció en 2002 la construcción del nuevo puerto y de su área industrial, quedó claro que los costes salariales serían inferiores a los de sus competidores andaluces. Said Elhadi, presidente de la Agencia Especial de Tánger Med que regenta la zona, reconoce que el salario de un operario marroquí "equivale a la cuarta parte de un español".

"Aquí ofrecemos también un ambiente más sereno", prosigue Elhadi. "No existe un estatuto del estibador ni hay asalariados del puerto", añade. "Cada operador contrata a sus trabajadores". "Nuestra fiscalidad es también más atractiva", concluye enumerando las excelencias de Tánger Med I.

Pero el puerto tiene aún más ventajas. Étienne Rocher, director general en Tánger de Maersk , la multinacional danesa que domina el transporte marítimo, titubea un poco antes de evocarlas. "Aquí se es más eficiente" que enfrente, confiesa. Su empresa gestiona la primera de las terminales de Tánger Med I y otra en Algeciras. Rehúsa dar más detalles, pero otras fuentes del sector indican que la productividad horaria supera hasta en un 10% a Algeciras.

La seguridad laboral rebasa también a la de su rival español. "Sí, tenemos menos accidentes laborales", señala Rocher. "En Algeciras hay hábitos adquiridos desde hace décadas que es difícil erradicar", asegura. "Aquí hemos empezando de cero". "Por eso hemos impuesto normas drásticas". "Está, por ejemplo, prohibido desplazarse a pie" por los muelles.

Tánger Med es ya un éxito -acaba de superar a Marsella en tráfico de contenedores- y cuando esté acabada su ampliación es probable que lo sea aún más. A mediados de junio Mohamed VI lanzó los trabajos de extensión del puerto bautizado Tánger Med II. Cuando esté terminado, en 2014, podrá engullir al año cinco millones de contenedores. Entre ambos rebasarán los ocho millones convirtiéndose, probablemente, en líder en el Mediterráneo y en África.

El enorme complejo portuario en construcción es sólo una de las iniciativas que están transformando el noroeste de Marruecos tan marginado por el difunto rey Hassan II. Tierra adentro se está erigiendo una gran plataforma industrial y logística cuyo botón de muestra es la fábrica que Renault va a erigir en Melloussa -Nissan ha suspendido su inversión - para producir hasta 400.000 vehículos anuales.

Una ciudad nueva va a ser levantada entre Tánger y Tetuán, y es posible que también un aeropuerto, para alojar a los miles de trabajadores que se instalarán en la zona. Mohamed VI la bautizó en enero Chrafate (Belleza) y de aquí a diez años está previsto que albergue a 150.000 personas.

Con su gran zona franca www.tangerfreezone.com junto al actual aeropuerto Tánger es ya hoy en día la región más industrializada de Marruecos después de la de Casablanca. Si los españoles están prácticamente ausentes del puerto -sólo operan los remolcadores de Boluda- sí están presentes con 90 empresas en la zona franca. Son los más numerosos después de los franceses. También hay algunas estadounidenses como Delphi, fabricante de cables para automóviles, que cerró en Cádiz para deslocalizar en Tánger.

Said Elhadi intenta apaciguar los temores que suscita en España el "superpuerto", como lo describe el diputado popular gaditano José Ignacio Landaluce. "La cuarta parte del transporte marítimo mundial transita por el Estrecho, pero sólo un 6% de los cargueros que surcan nuestras aguas utilizan nuestros puertos, marroquíes y españoles, mientras que en elEstrecho de Malaca atraca el 27%", explica. Por eso Singapur está a la cabeza de la clasificación mundial del tráfico de contenedores.

"Está claro que hay margen para crecer sin hacernos la guerra", prosigue Elhadi. "Si todo va bien, dentro de una década entre Tánger Med y Algeciras moveremos 16 millones de contenedores" una cifra sólo superada por algunos de los gigantes portuarios asiáticos.

"Si la tarta crece cada uno tendrá una mayor porción", asegura Manuel Morón, presidente de la Autoridad Portuaria de la Bahía de Algeciras, secundando los argumentos de Elhadi. "Somos complementarios", insiste. "Juntos tenemos que comercializar la marca Estrecho de Gibraltar".

Más allá de la mano tendida, Algeciras se ha movilizado para hacer frente al desafío. A principios de 2008 adjudicó a la surcoreana Hanjin una extensión del puerto, la llamada Isla Verde Exterior, que empezará a operar en marzo próximo, prevé Morón. "Habrá otra ampliación en 2012 para duplicar nuestra actual capacidad", anuncia.

Frente a Tánger, "Algeciras tiene la ventaja de estar en Europa", recuerda Morón. De ahí que la conexión ferroviaria para mercancías con el resto de la Península sea clave. A finales de junio la Comisión de Fomento del Congreso de los Diputados instó al Gobierno a impulsar el desarrollo del puerto algecireño y a potenciar las infraestructuras ferroviarias. Fomento licitó el miércoles la mejora de uno de los tramos, el de Ronda a Gaucín, de la línea Algeciras-Madrid.

Con 13 trenes semanales a Madrid, Zaragoza y Barcelona, el transporte ferroviario de mercancías desde Algeciras es hoy en día secundario. El grueso de su actividad consiste en el trasbordo de contenedores de buques transoceánicos a otros menores que los reparten después por puertos europeos y africanos.

Ceuta , en cambio, difícilmente puede reaccionar ante la competencia tangerina. Su puerto mercante es marginal, pero no así el de pasajeros. Hasta ahora absorbía casi la mitad del tráfico que Tánger canaliza de inmigrantes marroquíes en Europa que regresan a su país de vacaciones. Esos viajeros prefrían Ceuta para evitar los atascos que se formaban en verano en el viejo puerto de Tánger.

El traslado, en julio, del tráfico de camiones a Tánger Med ya ha despejado el puerto antiguo tangerino que ahora sólo recibe transbordadores procedentes de Algeciras y, en menor medida, de Tarifa. Quizá por eso, en los primeros 45 días de la Operación Paso del Estrecho , que empezó el 15 de junio, los embarques de la Península a Ceuta han caído un 12% con relación a 2008.

Dentro de unos meses serán también los buques de Algeciras, atestados de pasajeros y coches, los que atracarán en el nuevo puerto marroquí. A sus puertas arranca una autopista y, en breve, un tren que llevan hasta Fez o Marraquech. "La salida será fluida", predice Elhadi. Ceuta perderá así su principal atractivo a ojos de los inmigrantes.

El éxito, aún incipiente, de Tánger Med ha incitado a Mohamed VI a repetir la experiencia, a menor escala, a 30 kilómetros al este de Nador, en la otra punta de la costa mediterránea marroquí, frente a Almería y junto a Melilla. El rey anunció hace un mes la construcción en la bahía de Betoya de Nador West Med que estará acabado en 2015. Se especializará, sobre todo, en hidrocarburos. El monarca potencia de nuevo una zona, esta vez el Rif, ninguneada por su padre.

Al conocer el proyecto, Juan José Imbroda , del PP, presidente de Melilla, no dudó en afirmar que su ciudad será así "menos necesaria". "Marruecos piensa lo mismo que se piensa desde la ciudad autónoma: hay que aprovechar el crecimiento del transporte marítimo en estas costas", señaló Daniel Conesa, portavoz del Ejecutivo local, que reivindica una ampliación del puerto de Melilla. La oposición de Coalición por Melilla (musulmanes) y socialista se resisten a ello.

http://www.elpais.com/articulo/economia/Nace/coloso/sur/Estrecho/elpepueconeg/20090809elpnegeco_1/Tes