Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC
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 Économie marocaine

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 23 Icon_minitimeMer 7 Jan - 17:15

Rappel du premier message :

8 milions Very Happy tbarkallah ou sla 3la n'bi.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 23 Icon_minitimeDim 9 Aoû - 12:03

Citation :

Port Tanger Med : Naissance d'un colosse dans le Détroit (El Pais)

Madrid, 09-08-09 - Le nouveau Port Tanger Med est en train de se convertir en leader dans la région Méditerranéenne et en Afrique, affirme dimanche le journal Espagnol "El Pais" dans son édition électronique, soulignant le succès de cette gigantesque infrastructure portuaire du Nord du Maroc.

Dans un article consacré au complexe portuaire Tanger Med I et Tanger Med II, sous le titre "Naissance d'un Colosse au sud du Détroit", le journal affirme que la nouvelle infrastructure portuaire, lancée à l'initiative de SM le Roi Mohammed VI, a rompu le monopole du trafic de conteneurs dans le Détroit de Gibraltar détenu jusqu'à un temps récent par le port d'Algésiras.

En 2008, après une année complète de son entrée en fonctionnement, le nouveau port de Tanger a réussi à brasser le chiffre éloquent d'un million de conteneurs et son objectif est de multiplier ses activités par trois.

"Tanger Med est déjà un succès. Il a même dépassé le port de Marseille en termes de trafic de conteneurs et une fois son agrandissement achevé, il est probable qu'il le sera encore davantage", affirme El Pais qui rappelle le lancement par SM le Roi Mohammed VI, la mi-juin dernier, des travaux d'extension de Tanger Med II du complexe portuaire.

Une fois achevés les travaux d'extension de cette gigantesque infrastructure portuaire, le port Tanger Med II sera en mesure d'assurer, en 2014, le trafic de pas moins de cinq millions de conteneurs par an et les deux composantes du complexe portuaire (Tanger Med I et Tanger Med II) pourraient brasser les 8 millions de conteneurs annuellement, ce qui permettra au complexe de "se convertir en leader de la région Méditerranéenne et en Afrique", assure le journal.

Citant Said El Hadi président de l'Agence Spéciale Tanger Med, le journal indique, d'autre part, qu'il existe une grande marge pour la croissance des deux ports Algésiras et Tanger Med, soulignant que les deux infrastructures portuaires marocaine et espagnole vont pouvoir mouvoir, dans une décade, un trafic de 16 millions de conteneurs, un chiffre qui n'est dépassé que par certains géants asiatiques.

Partageant la même confiance, le président de l'Autorité Portuaire de la Bahia Algésiras, Manuel Moron, lui aussi cité par El Pais, affirme que les ports de Tanger Med et Algésiras sont "complémentaires". "Ensemble nous devons commercialiser la marque +Détroit de Gibraltar", assure-t-il.

Selon El Pais, l'énorme complexe portuaire est l'un des éléments phares qui sont en train de transformer le Nord-Est du Maroc, relevant la création dans cette même région d'une grande plate-forme industrielle et logistique dont le principal noyau aura été l'installation d'une usine du constructeur automobile Renault pour la production de 400.000 véhicules annuellement. Le journal rapporte également qu'une nouvelle ville est en train d'être édifiée entre Tanger et Tétouan pour accueillir les milliers de travailleurs qui vont s'installer dans cette zone. "Baptisée en janvier dernier par le Souverain Marocain, +Chrafate+ qui signifie +beauté+, la nouvelle cité devra concentrer, dans dix ans, quelque 150.000 habitants".

Le succès de Tanger Med a incité le Maroc à rééditer l'expérience avec la construction, à une trentaine de km à l'est de Nador à l'autre point de la côte méditerranéenne, d'un nouveau port Nador West Med, dont les travaux vont s'achever en 2015 et qui sera spécialisé dans le trafic d'hydrocarbures, conclut le Journal.

http://www.map.ma/fr/sections/accueil/port_tanger_med___na/view
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 23 Icon_minitimeMar 11 Aoû - 5:25

Leo Africanus a écrit:
Le post qui suit celui ci c'est la traduction resume'e faite par la map de ce meme article.
Citation :

Nace un coloso al sur del Estrecho

Mohamed VI impulsa el puerto de Tánger para convertirlo en líder del Mediterráneo

Las Columnas de Hércules, como se llamaba en tiempos de los romanos al peñón de Gibraltar y al monte Jbel Musa, en la costa africana, hace tiempo que ya no son los mojones anunciadores del Estrecho para los navegantes. Para la marina mercante, las nuevas columnas son más bien el puerto de Algeciras, en plena expansión, y el nuevo de Tánger Med I que crece aún más rápidamente.

Tánger Med I ha roto, por lo pronto, el monopolio del tráfico de contenedores en el Estrecho que ostentaba Algeciras que ha perdido, de paso, el liderazgo del que alardeaba en el Mediterráneo. En 2008, su primer año completo de funcionamiento, el puerto marroquí ha movido un millón de contenedores, un 30% de los que absorbe su rival andaluza, y su objetivo es triplicar esa cifra.

Cuando el rey Mohamed VI anunció en 2002 la construcción del nuevo puerto y de su área industrial, quedó claro que los costes salariales serían inferiores a los de sus competidores andaluces. Said Elhadi, presidente de la Agencia Especial de Tánger Med que regenta la zona, reconoce que el salario de un operario marroquí "equivale a la cuarta parte de un español".

"Aquí ofrecemos también un ambiente más sereno", prosigue Elhadi. "No existe un estatuto del estibador ni hay asalariados del puerto", añade. "Cada operador contrata a sus trabajadores". "Nuestra fiscalidad es también más atractiva", concluye enumerando las excelencias de Tánger Med I.

Pero el puerto tiene aún más ventajas. Étienne Rocher, director general en Tánger de Maersk , la multinacional danesa que domina el transporte marítimo, titubea un poco antes de evocarlas. "Aquí se es más eficiente" que enfrente, confiesa. Su empresa gestiona la primera de las terminales de Tánger Med I y otra en Algeciras. Rehúsa dar más detalles, pero otras fuentes del sector indican que la productividad horaria supera hasta en un 10% a Algeciras.

La seguridad laboral rebasa también a la de su rival español. "Sí, tenemos menos accidentes laborales", señala Rocher. "En Algeciras hay hábitos adquiridos desde hace décadas que es difícil erradicar", asegura. "Aquí hemos empezando de cero". "Por eso hemos impuesto normas drásticas". "Está, por ejemplo, prohibido desplazarse a pie" por los muelles.

Tánger Med es ya un éxito -acaba de superar a Marsella en tráfico de contenedores- y cuando esté acabada su ampliación es probable que lo sea aún más. A mediados de junio Mohamed VI lanzó los trabajos de extensión del puerto bautizado Tánger Med II. Cuando esté terminado, en 2014, podrá engullir al año cinco millones de contenedores. Entre ambos rebasarán los ocho millones convirtiéndose, probablemente, en líder en el Mediterráneo y en África.

El enorme complejo portuario en construcción es sólo una de las iniciativas que están transformando el noroeste de Marruecos tan marginado por el difunto rey Hassan II. Tierra adentro se está erigiendo una gran plataforma industrial y logística cuyo botón de muestra es la fábrica que Renault va a erigir en Melloussa -Nissan ha suspendido su inversión - para producir hasta 400.000 vehículos anuales.

Una ciudad nueva va a ser levantada entre Tánger y Tetuán, y es posible que también un aeropuerto, para alojar a los miles de trabajadores que se instalarán en la zona. Mohamed VI la bautizó en enero Chrafate (Belleza) y de aquí a diez años está previsto que albergue a 150.000 personas.

Con su gran zona franca www.tangerfreezone.com junto al actual aeropuerto Tánger es ya hoy en día la región más industrializada de Marruecos después de la de Casablanca. Si los españoles están prácticamente ausentes del puerto -sólo operan los remolcadores de Boluda- sí están presentes con 90 empresas en la zona franca. Son los más numerosos después de los franceses. También hay algunas estadounidenses como Delphi, fabricante de cables para automóviles, que cerró en Cádiz para deslocalizar en Tánger.

Said Elhadi intenta apaciguar los temores que suscita en España el "superpuerto", como lo describe el diputado popular gaditano José Ignacio Landaluce. "La cuarta parte del transporte marítimo mundial transita por el Estrecho, pero sólo un 6% de los cargueros que surcan nuestras aguas utilizan nuestros puertos, marroquíes y españoles, mientras que en elEstrecho de Malaca atraca el 27%", explica. Por eso Singapur está a la cabeza de la clasificación mundial del tráfico de contenedores.

"Está claro que hay margen para crecer sin hacernos la guerra", prosigue Elhadi. "Si todo va bien, dentro de una década entre Tánger Med y Algeciras moveremos 16 millones de contenedores" una cifra sólo superada por algunos de los gigantes portuarios asiáticos.

"Si la tarta crece cada uno tendrá una mayor porción", asegura Manuel Morón, presidente de la Autoridad Portuaria de la Bahía de Algeciras, secundando los argumentos de Elhadi. "Somos complementarios", insiste. "Juntos tenemos que comercializar la marca Estrecho de Gibraltar".

Más allá de la mano tendida, Algeciras se ha movilizado para hacer frente al desafío. A principios de 2008 adjudicó a la surcoreana Hanjin una extensión del puerto, la llamada Isla Verde Exterior, que empezará a operar en marzo próximo, prevé Morón. "Habrá otra ampliación en 2012 para duplicar nuestra actual capacidad", anuncia.

Frente a Tánger, "Algeciras tiene la ventaja de estar en Europa", recuerda Morón. De ahí que la conexión ferroviaria para mercancías con el resto de la Península sea clave. A finales de junio la Comisión de Fomento del Congreso de los Diputados instó al Gobierno a impulsar el desarrollo del puerto algecireño y a potenciar las infraestructuras ferroviarias. Fomento licitó el miércoles la mejora de uno de los tramos, el de Ronda a Gaucín, de la línea Algeciras-Madrid.

Con 13 trenes semanales a Madrid, Zaragoza y Barcelona, el transporte ferroviario de mercancías desde Algeciras es hoy en día secundario. El grueso de su actividad consiste en el trasbordo de contenedores de buques transoceánicos a otros menores que los reparten después por puertos europeos y africanos.

Ceuta , en cambio, difícilmente puede reaccionar ante la competencia tangerina. Su puerto mercante es marginal, pero no así el de pasajeros. Hasta ahora absorbía casi la mitad del tráfico que Tánger canaliza de inmigrantes marroquíes en Europa que regresan a su país de vacaciones. Esos viajeros prefrían Ceuta para evitar los atascos que se formaban en verano en el viejo puerto de Tánger.

El traslado, en julio, del tráfico de camiones a Tánger Med ya ha despejado el puerto antiguo tangerino que ahora sólo recibe transbordadores procedentes de Algeciras y, en menor medida, de Tarifa. Quizá por eso, en los primeros 45 días de la Operación Paso del Estrecho , que empezó el 15 de junio, los embarques de la Península a Ceuta han caído un 12% con relación a 2008.

Dentro de unos meses serán también los buques de Algeciras, atestados de pasajeros y coches, los que atracarán en el nuevo puerto marroquí. A sus puertas arranca una autopista y, en breve, un tren que llevan hasta Fez o Marraquech. "La salida será fluida", predice Elhadi. Ceuta perderá así su principal atractivo a ojos de los inmigrantes.

El éxito, aún incipiente, de Tánger Med ha incitado a Mohamed VI a repetir la experiencia, a menor escala, a 30 kilómetros al este de Nador, en la otra punta de la costa mediterránea marroquí, frente a Almería y junto a Melilla. El rey anunció hace un mes la construcción en la bahía de Betoya de Nador West Med que estará acabado en 2015. Se especializará, sobre todo, en hidrocarburos. El monarca potencia de nuevo una zona, esta vez el Rif, ninguneada por su padre.

Al conocer el proyecto, Juan José Imbroda , del PP, presidente de Melilla, no dudó en afirmar que su ciudad será así "menos necesaria". "Marruecos piensa lo mismo que se piensa desde la ciudad autónoma: hay que aprovechar el crecimiento del transporte marítimo en estas costas", señaló Daniel Conesa, portavoz del Ejecutivo local, que reivindica una ampliación del puerto de Melilla. La oposición de Coalición por Melilla (musulmanes) y socialista se resisten a ello.


http://www.elpais.com/articulo/economia/Nace/coloso/sur/Estrecho/elpepueconeg/20090809elpnegeco_1/Tes

Ceuta, cependant, ne peut réagir à la concurrence tangeroise. Son port
est marginale, mais pas pour les passagers. Jusqu'à présent, ils représentaient
près de la moitié du trafic des voies de Tanger. les immigrés marocains en
Europe qui reviennent dans leur pays en vacances. Ceuta etait preferée par ces
voyageurs afin d'éviter les embouteillages qui se forment en été dans le
vieux port de Tanger.

Le transfert, en Juillet, de la circulation des camions de Tanger Med
a déjà autorisé le vieux port, qui ne reçoit que les traversées de ferry de
Algésiras, et dans une moindre mesure, à partir de Tarifa. Peut-être
que la raison pour laquelle, dans les 45 premiers jours de l'opération
Etape détroit, qui a débuté le 15 Juin, les expéditions de Ceuta en
Espagne ont chuté de 12% par rapport à 2008.

Dans quelques mois, sera également à Algeciras navire, bondé de
passagers de voitures, qui a accosté au nouveau port marocain. À ses
portes et démarre une autoroute, en bref, un train transportant jusqu'à
Fès ou Marrakech. "Le résultat sera bon", prédit Elhadi. Ceuta a perdu
son principal attrait aux yeux des immigrants.

Le succès, encore à ses débuts, de Tanger Med a invité Mohamed VI
à répéter l'expérience sur une plus petite échelle, 30 kilomètres à
l'est de Nador, de l'autre côté de la côte méditerranéenne du Maroc
face et le long de Almería à Melilla. Le roi a annoncé il ya un mois
dans la construction de Betoya Bay West Med Nador être achevé en 2015.
Se spécialisera principalement sur le pétrole. Puissance du monarque
d'un domaine nouveau, cette fois, le Rif, aucune de son père.

Après l'apprentissage du projet, Juan José Imbroda, PP, président
de Melilla, n'ont pas hésité à dire que sa ville est donc "moins
nécessaire." «Le Maroc se sent de la même manière que nous pensons de
façon indépendante de la ville: nous devons profiter de la croissance
du transport maritime sur les côtes», a déclaré Daniel Conesa, les
porte-parole de l'exécutif, qui demande une extension du port de
Melilla. L'opposition Coalition pour Melilla (musulmans) et les
socialistes y résister.


Traduction Googlistique
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 23 Icon_minitimeLun 17 Aoû - 13:00

Citation :
AEROPORTS : Un budget d’investissement de MAD 11,5 Md pour 2008/2012


Fait : Révision du plan d’investissement.
Analyse : Dans le cadre de son plan stratégique 2008-2012, l’OFFICE NATIONAL DES AEROPORTS -ONDA- devrait mobiliser une enveloppe budgétaire de MAD 11,5 Md, dont plus de MAD 2,7 Md durant l’année en cours, pour le développement et la modernisation des aéroports. Parmi les projets retenus dans le cadre de ce plan, citons :

  • L’ouverture d’un troisième terminal à Marrakech d’un coût de M MAD 900 prévue pour 2012 ;
  • Et, l’extension du terminal de l’aéroport de Rabat de 1,75 millions de passagers par an contre 700 000 actuellement
L’objectif visé à l’échéance du plan est de dépasser le cap des 22 millions de passagers par an contre un trafic de 14 millions de passagers actuellement.
Conclusion
: Maillon important du développement touristique, l’ONDA poursuit son engagement pour la modernisation et le renforcement des capacités aéroportuaires du pays.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 23 Icon_minitimeLun 17 Aoû - 13:03

Citation :
ONCF : Future desserte ferroviaire pour l’usine de RENAULT


Fait : Lancement d’un appel d’offres pour la construction d’une desserte ferroviaire sur le prochain site de RENAULT.
Analyse : L’OFFICE NATIONAL DES CHEMINS DE FER –ONCF- vient de lancer un appel d’offres relatif à la construction d’une desserte ferroviaire devant relier le futur site de production de RENAULT aussi bien à Tanger qu’au port TangerMed. Cet investissement rentre dans le cadre des engagements contractés par l’Etat marocain pour doter cette installation stratégique de toutes les infrastructures nécessaires dont celles relatives aux transports. L’ouverture des plis est prévue pour le 9 septembre prochain.
Implanté à quelques kilomètres au sud de TangerMed et relié par autoroute et par voie ferrée, le complexe industriel RENAULT-TangerMed devrait compter une unité d’assemblage d’une capacité annuelle de 400 000 véhicules à terme. Prévue à l’origine pour 2010, la mise en service de cette usine devrait s’effectuer début 2012 pour une capacité initiale de 170 000 unités par an.

Conclusion : Le démarrage de l’activité de l’usine de RENAULT devrait permettre àl’ONCF de renforcer son trafic notamment de marchandises, ce qui devrait lui permettre d’améliorer ses niveaux de revenus et probablement compenser la baisse attendue du trafic des phosphates.

BMCE Capital Bourse
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 23 Icon_minitimeLun 17 Aoû - 13:13

Citation :
Le Maroc , 3eme destination des investissements étrangers directs en Afrique

Le Maroc a été classé troisième meilleure destination des investissements étrangers directs en Afrique pour 2009-2010, derrière l'Afrique du sud et l'Egypte, selon un étude publiée par le FDI Intelligence, relevant du groupe britannique de presse The Financial Times.

L'étude souligne que le Maroc a réalisé de bons résultats dans plusieurs catégories dont celles des infrastructures, de la stratégie en matière d'investissements étrangers directs et du potentiel économique.
Ces résultats ont permis au Maroc de se classer troisième au classement général, ajoute l'étude, intitulée "Africain countries of the future 2009-2010".

Elaborée par un panel d'experts indépendants sur la base de données couvrant 59 pays africains, l'étude analyse la situation dans ces pays prenant en compte les résultats dans des catégories comme le potentiel économique, les ressources humaines, la qualité de vie, les infrastructures, l'ouverture économique et la stratégie des investissements.

FDI Intelligence est une division spécialisée du Financial Times LTD qui vise à fournir aux investisseurs des données indépendantes afin de les aider à prendre des décisions au sujet des investissements étrangers directes.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 23 Icon_minitimeLun 17 Aoû - 15:41

L'Antidote a écrit:
Citation :
Le Maroc , 3eme destination des investissements étrangers directs en Afrique

Le Maroc a été classé troisième meilleure destination des investissements étrangers directs en Afrique pour 2009-2010, derrière l'Afrique du sud et l'Egypte, selon un étude publiée par le FDI Intelligence, relevant du groupe britannique de presse The Financial Times.

L'étude souligne que le Maroc a réalisé de bons résultats dans plusieurs catégories dont celles des infrastructures, de la stratégie en matière d'investissements étrangers directs et du potentiel économique.
Ces résultats ont permis au Maroc de se classer troisième au classement général, ajoute l'étude, intitulée "Africain countries of the future 2009-2010".

Elaborée par un panel d'experts indépendants sur la base de données couvrant 59 pays africains, l'étude analyse la situation dans ces pays prenant en compte les résultats dans des catégories comme le potentiel économique, les ressources humaines, la qualité de vie, les infrastructures, l'ouverture économique et la stratégie des investissements.

FDI Intelligence est une division spécialisée du Financial Times LTD qui vise à fournir aux investisseurs des données indépendantes afin de les aider à prendre des décisions au sujet des investissements étrangers directes.

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alors on a dépasser les tunisiens cheers

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MessageSujet: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 23 Icon_minitimeLun 17 Aoû - 15:59

Bien sur qu'on peut depasser la tunisie ( respect pour les tunisiens), c'est une question de temps et de soufle non que potentiels bien sur.

de toute facon bonne nouvelle thanks.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 23 Icon_minitimeLun 17 Aoû - 18:23

L'égypte et l'afrique du sud ne perdent rien pour attendre ... C'est juste une question de temps
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 23 Icon_minitimeMar 18 Aoû - 14:33

Citation :
MOCI: Classement des pays résistants à la crise : Maroc 12e, Tunisie 22e, Egypte 29e

Selon le Moniteur du commerce international, la Tunisie résiste bien à la crise

18/08/2009


D'après une analyse effectuée par le Moniteur du commerce international (MOCI), qui reprend les prévisions de croissance pour 2010 du FMI, la Tunisie est citée parmi de nombreux pays méditerranéens qui repartiront plus forts en 2010.
Aux côtés des grands pays émergents, les relais de croissance se situent notamment en Afrique et au Proche-Orient. Tel est le constat dressé par le Moniteur du commerce international (MOCI) à partir des prévisions du Fonds monétaire international (FMI) pour 2010. Ces prévisions publiées dans l’édition d’avril 2009 des « Perspectives de l’économie mondiale » et revues à la hausse dans une mise à jour datant du 8 juillet 2009, tablent sur une croissance mondiale de 2,5% en 2010.
Le MOCI analyse ces données et établit la liste des 40 pays qui repartiront plus forts en 2010 avec un taux de croissance supérieur à 1,5% en 2010, et supérieur d’un point par rapport à 2009. Parmi eux figurent 6 pays méditerranéens : la Jordanie (+4% en 2010), le Liban (+4%), l’Algérie (+3,91%), la Libye (+2,79%), Chypre (+2,10%) et la Turquie (+1,5%).
La Méditerranée est également bien représentée dans la liste des pays qui résistent le mieux à la crise (pas de récession en 2009 et un taux de croissance positif en 2010). Le Maroc occupe ainsi la 13ème place, la Tunisie se classe 22ème, l’Egypte 29ème et la Syrie 31ème.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 23 Icon_minitimeMer 19 Aoû - 19:07

Citation :
Bâtiment et travaux publics
Le léger mieux des ventes de ciment
Le secteur du bâtiment et des travaux publics demeure une activité porteuse, au vu de la persistance d'une demande non satisfaite en termes de logements neufs et la continuité des programmes d'infrastructure de base et des projets touristiques. Les projections pour le court terme s'inscrivent dans une optique de reprise progressive du rythme de croissance. Parmi des indicateurs qui renseignent sur l'éclaircie que connaît le secteur, celui des écoulements du ciment. Certains pronostics tablent sur une amélioration au niveau des ventes du ciment (1,5% en glissement trimestriel). D'ailleurs, bien des signes avant-coureurs qui se sont profilés confortent cette tendance.

Et pour preuve, au terme des sept premiers mois de l'année en cours, les écoulements de ciment se sont établis à 8.849.836 tonnes, en augmentation de 0,94% par rapport à la même période en 2008. Sur le seul mois de juillet, les ventes du secteur ont porté sur 1.320.036 tonnes, en accroissement de 1% comparativement à juillet 2008. Durant ce mois, les écoulements en vrac se sont renforcés de 2 points à 23% au détriment des ventes en sacs dont la part passe de 77% à 75%. Par gamme de produits, ceux utilisés dans les ouvrages d'art tels que les autoroutes et ceux servant dans les structures portantes et les dalles ont affiché une progression respective de 21% et de 3,5%. En revanche, les produits destinés à la fabrication des mortiers et du béton non armés ont enregistré une baisse de 6%, en raison vraisemblablement du ralentissement du secteur de l'immobilier.

Par région, les plus fortes baisses ont affecté le Sud, l'Ouest et le Sud Centre tandis que les plus importantes hausses ont été enregistrées à l'Oriental et au Centre. Le redressement des ventes de ciment semble être redevable principalement à l'impulsion gouvernementale accordée aux infrastructures tandis que le tassement de l'immobilier se confirme. A rappeler en effet que les cimentiers ont récemment signé avec le ministre de l'Habitat, de l'Urbanisme et de l'Aménagement de l'espace, le ministre de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles technologies et le président de Directoire d'Al Omrane, une convention de partenariat relatif à la réalisation du programme spécial de logement social à faible VIT (Valeur immobilière totale) à 140.000 DH. Cet accord s'inscrit dans le cadre de la politique sociale de résorption de l'habitat insalubre et de la promotion du logement social.

A cet effet, rappelons que le ministère de l'Habitat a confié à Al Omrane la réalisation du projet baptisé VIT 140.000, destiné à la production sur une période de cinq ans de 130.000 logements à 140 000 DH. Dans ce sillage, les cimentiers s'engagent à faire bénéficier les promoteurs de ce programme de prix de ciment préférentiels, grâce à des ristournes calculées sur le prix de ciment ramené à janvier 2007 (annulant de ce fait les augmentations de prix intervenues depuis).
Cette initiative qui vise à réduire le coût de revient des unités programmées devrait donner un nouveau souffle au segment du logement social, notamment après l'abolition de la carotte fiscale qui lui était accordée.

Cela étant, il faut signaler que le secteur pris dans sa globalité risque de connaître une certaine inflexion, la concentration des fêtes religieuses au second semestre pouvant affecter l'orientation du marché en fin d'année. Qui plus est, la reprise du rythme de croissance du secteur reste confrontée aux aléas liés à un essoufflement plus rapide que prévu de l'activité.
Les effets de la récession économique internationale pourraient s'amplifier, engendrant le repli de la demande extérieure et intérieure adressées au secteur.
Déjà, les investissements directs étrangers adressés au secteur de l'immobilier ont connu une forte baisse (-32,9%, en glissement annuel, au premier trimestre 2009), ce qui laisse augurer une réduction notable des activités de construction du logement haut standing.

Quoique la part de ce dernier dans le parc du logement soit relativement moins importante (estimée à près de 5%), il n'en demeure pas moins que son marasme pourrait affecter significativement le rythme d'activité.
Pour 2010, et selon le budget exploratoire établi par le HCP, le secteur du bâtiment connaîtrait un retour au dynamisme suite aux nouvelles mesures prises pour contrecarrer les effets de la crise économique mondiale. Il s'agit de deux conventions ayant pour objectif la réduction du déficit en logements et la relance de l'offre dans le moyen standing.

La première convention prévoit la mobilisation du foncier public pour permettre la réalisation de 200.000 logements dont un tiers sera consacré à l'habitat à faible coût (140.000 DH) et le reste réparti, à part égale, entre l'habitat social et l'habitat destiné à la classe moyenne. La deuxième concerne le fonds de garantie baptisé «Damane Assakane», doté d'un budget d'un milliard de dirhams, et qui sera élargi au profit de la classe moyenne et des salariés du privé. Parallèlement, les Travaux Publics devraient poursuivre leur évolution ascendante, en liaison avec la consolidation de l'investissement public. Il convient de noter, dans ce cadre, que tous les grands projets d'infrastructures,
notamment, les autoroutes Marrakech-Agadir et Fes-Oujda, le port Tanger Med et les barrages n'ont pas été affectés par la crise financière internationale.

Un rôle de levier conforté

Une croissance trimestrielle de la valeur ajoutée de 1,6% est estimée pour le deuxième trimestre de l'année en cours. Les travaux publics, favorisés par une politique budgétaire expansive mise en œuvre par l'Etat en 2009, continueraient de constituer le levier de la croissance du secteur secondaire dans cet environnement marqué par le repli de la demande extérieure.

Selon les réalisations de l'année 2008 et les données de conjoncture pour le premier trimestre 2009, le secteur du bâtiment se situe, aujourd'hui, dans une phase de ralentissement par rapport à son dynamisme observé durant le premier semestre 2008.
Ce secteur est affecté, à la fois, par la baisse de la demande intérieure pour l'immobilier, en raison de la hausse des prix en logements, et également par le recul des investissements directs étrangers au Maroc.
Source:lematin.ma

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 23 Icon_minitimeJeu 20 Aoû - 4:55

Simplement, Nous n'avons pas de banques d'investissements qui investissent massivement dans des produits financiers pourris européens et/ou américains, cela nous a évité les effets pervers de la titrisation que l'on connais.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 23 Icon_minitimeJeu 20 Aoû - 13:30

Citation :
Ryanair pense à déplacer son potentiel de développement vers le Maroc et l'Italie

La compagnie aérienne irlandaise Ryanair, l'une des plus importantes compagnies Low cost d'Europe, fortement présente en Espagne, pourrait déplacer son potentiel de développement en Espagne vers le Maroc et l'Italie, en raison des taxes aéroportuaires élevées exigées par les autorités espagnoles, a annoncé jeudi le président de Ryanair, Michael O´Leary.

"Le potentiel de développement de Ryanair pourrait être déplacé vers l'Italie et le Maroc, au lieu de l'Espagne.


Si les taxes aéroportuaires exigées par le gouvernement espagnol des compagnies aériennes ne sont pas baissées à hauteur de 80%", a indiqué le président de Ryanair lors d'une conférence de presse dans la capitale ibérique.

Il a également averti que sa compagnie pourrait revoir les nouvelles liaisons aériennes lancées cette semaine avec l'archipel Canarien si l'exemption des taxes dans les aéroports canariens n'était pas maintenue au-delà de 2010, date de l'expiration de la mesure.

Le Président de Ryanair a tenu toutefois à démentir certaines "rumeurs" faisant état de la disposition de la compagnie irlandaise à "réduire drastiquement ses opérations en Espagne, si aucune baisse des taxes aéroportuaires n'étaient entreprises, comme l'avait entrepris la compagnie au Royaume Uni et en Irlande en raisons des taxes +suicidaires+" de leurs aéroports".

Pourtant, a-t-il dit, la compagnie Low Cost pourrait surseoir à l'ouverture de nouvelles liaisons depuis Barcelone (Nord Est de l'Espagne) si aucune mesure visant la réduction desdites taxes n'étaient prises.

Considérée comme l'une des plus importantes compagnies à bas prix d'Europe, Ryanair avait annoncé, fin juillet dernier, un bénéfice net part du groupe de 123 millions d'euros sur avril, mai et juin dernier, au lieu d'une perte de 90,5 millions d'euros un an plus tôt, se montrant toutefois "très prudente dans ses perspectives" en raison des répercussions du prix du carburant.

MAP

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 23 Icon_minitimeVen 21 Aoû - 18:00

Citation :
L'été n'a pas de relancer le marché des voitures neuves au Maroc

Bien que les professionnels du secteur ont exprimé l'espoir d'augmenter les ventes de voitures neuves pendant les vacances d'été et Voyage le connu et l'achat de voitures, mais les dernières statistiques du marché des voitures neuves au cours du mois de Juillet, qui ont démenti toutes les prévisions optimistes que le secteur ne sera pas affectée par les répercussions mondiales de la crise financière et économique.
Les ventes de voitures neuves connu en 2009 et jusqu'au mois de Juillet dernier, un bateau Ankgada 8,6 pour cent, qui s'élevaient à un total de 58 mille et 251 unités, selon les dernières statistiques de l'importateur de voiture au Maroc (Ievam), cette baisse est due à une baisse des ventes de voitures importées de plus de 13 pour cent, même si c'est toujours le fabricant sud-coréen «Kia Motors» est le premier niveau de ce produit tel qu'il est vendu 4563 voitures, loin de rivaliser avec le fabricant français «doit», qui a réalisé des ventes dans la catégorie du deuxième niveau de l'importation des voitures d'environ 4239 unités, alors l'entreprise «Renault» dans la troisième année de vendre 4.080 unités.
Malgré le niveau élevé de chacun des deux »Kia» et de la Corée »doit» en français, toutefois, les ventes ont reculé de 10,6 pour cent par rapport à sept mois de l'année dernière, alors que l'entreprise «Renault» légère baisse ne dépasse pas 1 pour cent, et il semble que Malgré le succès des pays asiatiques importateurs de voitures qui appelaient à la réduction des droits de douane d'égalité avec leurs homologues européens qui importent des voitures, à réduire l'impôt à cinq points, à partir de Janvier, alors que le ratio proposé de 32,5 pour cent à 27,5 pour cent, mais cela ne se reflète pas sur les ventes au bout de 7 mois application de la réduction de la douane.
Le marché des ventes de voitures au Maroc au cours du mois de Juillet seul arrière de 7,7 pour cent par rapport Pulioz 2008, a été vendu environ 9.326 voitures au cours du dernier mois, y compris les 6.382 voitures sont importées, soit environ les deux tiers des voitures vendues au cours du mois de Juillet dernier les voitures sont importées.
Sur un sujet connexe, sont censés connaître la loi de finances pour l'année à venir, les derniers développements liés à la réduction de la taxe sur les voitures importées des pays de l'UE, où le ratio sera ramené à partir de Mars 2010 à 7,7 au lieu de 11,8 pour cent actuellement, afin d'accéder à la dernière exemption de droits de douane d'ici l'an 2012, les véhicules importés de l'extérieur de l'Union européenne ont encore beaucoup à atteindre la finale d'exemption dans le sens d'autres voitures européennes, est susceptible d'atteindre 17,5 pour cent dans la loi de finances 2012.
Il convient de noter que le débat a émergé sur les droits de douane sur les voitures importées de l'extérieur de l'Union européenne au cours de la discussion de la loi de finances de 2009, comme pour les importateurs de voitures sud-coréen, japonais, chinois et indien d'équité dans le paiement des droits de douane sur les importations, et la forme de la création de «l'Association des importateurs d'automobiles afin de l'équité dans la tarification »de la pression constante sur le gouvernement pour définir des prix équitables et à assurer la justice dans le choix des consommateurs.
source: traduit d'almassae du 21/08/2009

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 23 Icon_minitimeMar 25 Aoû - 15:57

Citation :
Maroc: Le commerce en ligne a généré 28 MDH de chiffre d’affaires en 6 mois

Cela correspond à 80% du chiffre d’affaires réalisé au cours de l’année 2008.
Une quarantaine de sites marchands actuellement, 100 d’ici la fin de l’année.

Depuis le début de l’année, la toile marocaine a connu une nouvelle avancée dans le domaine du e-commerce, un secteur prometteur avec plus de quarante sites marchands proposant actuellement le paiement en ligne. Pour ce 1e semestre, le chiffre d’affaires du e-commerce s’élève en effet à 28 MDH, tous paiements confondus, soit 80% des 35 MDH par lesquels s’était soldée toute l’année 2008. Maroc Télécommerce, intermédiaire entre les banques et les sites marchands, assurant la sécurité du paiement en ligne, prévoit que le chiffre d’affaires du secteur atteigne 80 MDH d’ici à la fin de l’année. Une belle évolution quand on sait que les premières transactions payées avec une carte marocaine n’ont été autorisées qu’en novembre 2007.

3 000 DH pour intégrer le site marchand sur la plateforme de Maroc Télécommecre
Mais cet emballement a une explication. Les projets mis en place en 2008, comme le télépaiement de factures de téléphone, ou, plus récemment, celui de plusieurs impôts portent leurs fruits en 2009. «Les services lancés, ou ceux qui sont en cours de lancement, sont innovants et rencontrent un intérêt avéré auprès de la clientèle marocaine», confirme Samira Gourroum, Directrice Technologie et Business Développement à Maroc Télécommerce.

Il est certain que des sites marchands à fort potentiel comme AirArabia, Jet4You, IAM ou Lydec permettront de gonfler le résultat de 2009. D’autres grands projets sont en cours de préparation et devraient être annoncés d’ici quelques semaines. Pour Samira Gourroum, «ils permettent d’affirmer que les perspectives sont prometteuses pour le paiement en ligne au Maroc». Des secteurs comme le voyage et l’artisanat sont amenés à connaître une nouvelle vie sur le web, notamment à l’international.

Néanmoins, chez Maroc Télécommerce, on se veut prudent. 2009 semble être une étape importante pour le e-commerce mais c’est 2010 qui marquera un vrai décollage. «La vulgarisation auprès des commerces pour l’enrichissement du contenu et l’implémentation qui s’en suit demande du temps», poursuit Mme Gourroum.
A noter que les frais d’intégration d’un site marchand sur la plateforme Maroc Télécommerce coûtent entre 1 000 et 3 000 DH.

Anne-Sophie MARTIN
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 23 Icon_minitimeMar 25 Aoû - 16:05

grâce à des sites comme microchoix et courses.ma le maroc aura un beau avenir dans le e-commerce puisque plus d'un marocain sur cinq est un internaute

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 23 Icon_minitimeMar 25 Aoû - 16:09

L'Antidote a écrit:
Citation :
Maroc: Le commerce en ligne a généré 28 MDH de chiffre d’affaires en 6 mois

Cela correspond à 80% du chiffre d’affaires réalisé au cours de l’année 2008.
Une quarantaine de sites marchands actuellement, 100 d’ici la fin de l’année.

[size=12]Depuis le début de l’année, la toile marocaine a connu une nouvelle avancée dans le domaine du e-commerce, un secteur prometteur avec plus de quarante sites marchands proposant actuellement le paiement en ligne. Pour ce 1e semestre, le chiffre d’affaires du e-commerce s’élève en effet à 28 MDH, tous paiements confondus, soit 80% des 35 MDH par lesquels s’était soldée toute l’année 2008. Maroc Télécommerce, intermédiaire entre les banques et les sites marchands, assurant la sécurité du paiement en ligne, prévoit que le chiffre d’affaires du secteur atteigne 80 MDH d’ici à la fin de l’année. Une belle évolution quand on sait que les premières transactions payées avec une carte marocaine n’ont été autorisées qu’en novembre 2007.

3 000 DH pour intégrer le site marchand sur la plateforme de Maroc Télécommecre
Mais cet emballement a une explication. Les projets mis en place en 2008, comme le télépaiement de factures de téléphone, ou, plus récemment, celui de plusieurs impôts portent leurs fruits en 2009. «Les services lancés, ou ceux qui sont en cours de lancement, sont innovants et rencontrent un intérêt avéré auprès de la clientèle marocaine», confirme Samira Gourroum, Directrice Technologie et Business Développement à Maroc Télécommerce.

Il est certain que des sites marchands à fort potentiel comme AirArabia, Jet4You, IAM ou Lydec permettront de gonfler le résultat de 2009. D’autres grands projets sont en cours de préparation et devraient être annoncés d’ici quelques semaines. Pour Samira Gourroum, «ils permettent d’affirmer que les perspectives sont prometteuses pour le paiement en ligne au Maroc». Des secteurs comme le voyage et l’artisanat sont amenés à connaître une nouvelle vie sur le web, notamment à l’international.

Néanmoins, chez Maroc Télécommerce, on se veut prudent. 2009 semble être une étape importante pour le e-commerce mais c’est 2010 qui marquera un vrai décollage. «La vulgarisation auprès des commerces pour l’enrichissement du contenu et l’implémentation qui s’en suit demande du temps», poursuit Mme Gourroum.
A noter que les frais d’intégration d’un site marchand sur la plateforme Maroc Télécommerce coûtent entre 1 000 et 3 000 DH.

Anne-Sophie MARTIN
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la commerce en ligne est trés pratique surtout pour les gens qui travaillent mais comme méme ce chiffre ne correspond pas au rang du maroc nous somme un peuple trés consomateur et nous avons nos propres tradition

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 23 Icon_minitimeMer 26 Aoû - 6:02

Économie marocaine - Page 23 Maroctouriseme
Citation :
Les nouveaux chiffres du tourisme au Maroc
Avec près de 3.150.000 visiteurs depuis janvier, la hausse au Maroc de la fréquentation touristique se confirme, mais pas pour tout le monde.
Plus 12 % durant les 6 premiers mois de l’année, mais le nombre de nuitées enregistrées dans les hôtels, sont en revanche en baisse, moins 4 % sur la même période. Baisse particulièrement marquée à Marrakech, Agadir et Ouarzazate.

Deux explications à cela ; selon l’observatoire du tourisme, l’émergence d’autres types de logement qui viennent concurrencer les hôtels, tels que les gîtes ruraux, maisons d’hôtes et résidences touristiques. Et puis la baisse des tarifs aériens consécutifs à l’ouverture du ciel marocain, baisse qui favorise un tourisme de proximité sur des séjours plus courts, tels que des week-ends.

D’autant plus que les européens restent de très loin les plus nombreux à venir au Maroc, français en tête avec près d’1 million de visiteurs depuis le début de l’année, suivis des espagnols, britanniques, italiens et belges.
Source: Maghrebinfo

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 23 Icon_minitimeMer 26 Aoû - 6:16

YukineKo a écrit:
Économie marocaine - Page 23 Maroctouriseme
Citation :
Les nouveaux chiffres du tourisme au Maroc
Avec près de 3.150.000 visiteurs depuis janvier, la hausse au Maroc de la fréquentation touristique se confirme, mais pas pour tout le monde.
Plus 12 % durant les 6 premiers mois de l’année, mais le nombre de nuitées enregistrées dans les hôtels, sont en revanche en baisse, moins 4 % sur la même période. Baisse particulièrement marquée à Marrakech, Agadir et Ouarzazate.

Deux explications à cela ; selon l’observatoire du tourisme, l’émergence d’autres types de logement qui viennent concurrencer les hôtels, tels que les gîtes ruraux, maisons d’hôtes et résidences touristiques. Et puis la baisse des tarifs aériens consécutifs à l’ouverture du ciel marocain, baisse qui favorise un tourisme de proximité sur des séjours plus courts, tels que des week-ends.

D’autant plus que les européens restent de très loin les plus nombreux à venir au Maroc, français en tête avec près d’1 million de visiteurs depuis le début de l’année, suivis des espagnols, britanniques, italiens et belges.
Source: Maghrebinfo
en méme temps, il y a une légére baisse des revenus de tourisme et cela est due à la crise, c'est vrai qu'il y a des touristes mais ils ne dépencent pas comme avant.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 23 Icon_minitimeMer 26 Aoû - 6:23

eh oui c'est la crise fremo le touriste ne va plus aux hotels il préfère louer plutot que d'aller dans un hotel et si la crise continue nos 10millions de touriste en alentour de 2010 ne vont pas être là Rolling Eyes

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 23 Icon_minitimeMer 26 Aoû - 6:28

YukineKo a écrit:
eh oui c'est la crise fremo le touriste ne va plus aux hotels il préfère louer plutot que d'aller dans un hotel et si la crise continue nos 10millions de touriste en alentour de 2010 ne vont pas être là Rolling Eyes
ben oui déja le ministre du tourisme la déclaré à la presse nationale" on ne peut atteindre nos objectifs au délais prévus.."

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 23 Icon_minitimeMer 26 Aoû - 6:45

exactement, louer pour etre tranquile, ne pas se faire confisquer une bouteille d'eau a l'entrée de l'hotel, pour les celibataire faire venir qui vous savez....surtout quand on est marocain et qu'on doit prendre 2 chambre, une pour soi et une pour sa copine.

et ca arrange tt le monde:
les proprietaires louent cher, par exemple petit appart f2 a agadir pour une journée: 600 dh, quand il n'y a pas de contrat c'est tout benef, le credit est vite remboursé, bien des europeens qui ont un pied a terre au maroc le font quand ils ne sont pas la via les agences immobilieres.

les grands perdants sont les hotels qui finissent bon gré malgré par se reconvertir en residences touristiques.

a la campagne les gites ont le vent en poupe, surtout depuis que l'etat a goudronner pas mal de pistes rurales, il n'est pas rare de voir des 4X4 ou des voitures immatriculés a l'etranger devant, ca fait vivre le village et les visiteurs sont respectueux de l'environement autant que des habitants.

sinon 10 milions c'est en comptant les mre, les etrangers au maroc sans cartes de sejour qui repartent tout les 3 mois et revienennt une semaine apres pour 3 autres mois de sejour....
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 23 Icon_minitimeMer 26 Aoû - 6:57

j'ai remarqué aussi cela OBSERVATEUR les touristes s'intéresse de plus en plus aux compagnes les petits villages au rif pour y faire un belle petite villa moderne et bien équipé les gites sa commence à voir le jour dans plusieurs villages au royaume
les touristes veulent changer d'environement non pas venir de paris pour rester à casa ou rabat. ils cherchent la nature la beauté des paysages

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 23 Icon_minitimeMer 26 Aoû - 7:10

YukineKo a écrit:
j'ai remarqué aussi cela OBSERVATEUR les touristes s'intéresse de plus en plus aux compagnes les petits villages au rif pour y faire un belle petite villa moderne et bien équipé les gites sa commence à voir le jour dans plusieurs villages au royaume
les touristes veulent changer d'environement non pas venir de paris pour rester à casa ou rabat. ils cherchent la nature la beauté des paysages

lol!

cAmpagne, cOmpagne ca veut dire rafi9a Économie marocaine - Page 23 874160

et la nourriture aussi joue un grand role
un touriste a l'hotel on lui sert un osso bucco , il veut des tajines et du thé a la menthe avec des cornes de gazelles pas des mille feuilles !!!

comme si on n'avait pas de gastronomie, l'architecture aussi des hotels, on croirait ceux d'europe.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 23 Icon_minitimeMer 26 Aoû - 7:23

voila tu as bien saisi même si avec l'erreur que je viens de commettre Laughing dans un hotel il va pas pouvoir vivre à des jours à la marocaine dans la Campagne il va entre un ferrouj à 6h du matin non pas à l'hotel dans un hotel c'est climatisé il a marre des climatiseur en europe les touristes veulent changer mais le genre de touriste que le maroc ne profite rien d'eux c'est ceux qui ont des voiture à caravane Laughing

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 23 Icon_minitimeMer 26 Aoû - 11:45

Citation :
Six pôles portuaires à l'horizon 2030


Plusieurs ports verront leur vocation marchande se transformer en vocation touristique

Les stratégies de développement sectorielles auront un impact certain sur le volume du trafic portuaire. C'est ce qui a poussé le gouvernement à envisager des shémas de développement des ports afin de permettre à ces derniers d'être en mesure d'accompagner les mutations économiques que connaît le Maroc. Selon le ministère de l'Equipement et du Transport, six pôles portuaires devraient émerger d'ici à 2030. Un premier pôle est envisagé à Nador.



La position stratégique de l'Oriental aidant, un centre logistique majeur pour l'exploitation des agrumes y verrait le jour. Il est possible aussi de voir se développer la desserte passagers, dans le cadre de l'amélioration des communications avec les autres régions du Maroc, soit en
complémentarité soit en concurrence avec le port de Tanger.

Le deuxième pôle portuaire concerne Tanger justement et aura trois vocations principales. Le développement industriel de la zone de Tanger, le développement de la logistique offshore à destination de l'Europe et le développement du transbordement de conteneurs au croisement des lignes est-ouest et nord-sud.
Pour ce qui est du port de Tanger-ville, il connaîtra un fort développement dans les services en raison du transfert des trafics commerciaux et de la rénovation urbaine en cours. Il pourrait également devenir un véritable hub de croisière. La proximité de Tanger de l'Espagne devrait lui permettre de conserver des liaisons rapides (navires passagers à grande vitesse).

Kénitra-Larache est le troisième pôle portuaire envisagé. Selon les prévisions du ministère de tutelle, le port de Kénitra serait logiquement le point d'exportation des produits agricoles du Gharb. Mais sa nature fluviale sera une lourde contrainte. Pour la surmonter, et compte tenu de l'obsolescence des infrastructures et superstructures du port commercial actuel et de son enclavement dans la ville, le port de commerce sera récupéré par la ville pour une valorisation urbaine et touristique. Il serait tout aussi possible d'abandonner la vocation commerciale de Mehdia et d'aménager un véritable port de pêche correspondant à son usage actuel, mais dans des conditions de sécurité et de travail adaptées aux attentes des pêcheurs.

S'agissant du pôle portuaire Casablanca-Mohammedia, vu la saturation des axes routiers et ferroviaires et l'insuffisance des capacités de stockage (céréales et conteneurs) des options seront proposées en cohérence avec les études en cours, explique-t-on auprès du ministère du Transport. Mais l'intégration urbaine en cours de l'interface ville-port maintiendra la complexité d'accès au port par voie terrestre, ce qui devrait orienter davantage Casablanca comme port généraliste à haute valeur ajoutée. La décision de relocalisation des installations OCP sur Jorf s'inscrit dans cette optique. Dans le même sens, le terminal minéralier et des exports de petits minerais pourrait être re-localisé sur un autre pôle portuaire. (Kanitra-Larache ou Jorf Lasfar-Safi).

Pour ce qui du port de Mohammedia, il est envisageable de localiser les installations de réception des navires à l'abri de la digue principale et libérer le port ancien pour conforter le rôle balnéaire et port de plaisance de la ville.
Le pôle portuaire Jorf Lasfar-Safi, est appelé quant à lui à devenir un centre industriel majeur avec la réception/exportation des grands vracs industriels et énergétique, des intrants et des produits finis. Des zones industrielles lourdes sont en développement à l'arrière de ces ports justifiant des extensions importantes des capacités portuaires, dont un nouveau port à Safi.

Par ailleurs, la perspective de la mise en service de l'autoroute et de la voie ferrée entre Marrakech et Agadir devraient conforter la vocation régionale du port d'Agadir en lui ouvrant un hinterland (l'arrière-pays continental d'un port) beaucoup plus large, en complémentarité avec Casablanca. Pour ce faire, il est envisageable de déplacer les structures de réparation navale vers un autre site et de donner au port actuel une vocation purement touristique. Cette option serait accompagnée par la création d'un nouveau port de commerce.

Le dernier pôle portuaire projeté est celui du sud. A Laâyoune, le rôle joué par le port dans l'exportation des phosphates et dans d'approvisionnement de l'économie de la ville devrait être renforcé. Concernant Dakhla, elle pourrait voir se développer des flux d'exportation des produits et des approvisionnement (intrants industriels et population) assurés aujourd'hui totalement par voie terrestre.


Chaîne logistique

Le gouvernement veut doter le secteur portuaire d'un plan directeur 2010-2030. L'objectif est de développer et moderniser les ports de manière à pouvoir accompagner les mutations économiques que connaît le pays.
Les résultats de l'analyse de la demande portuaire et des projections du trafic font ressortir que le trafic commercial serait multiplié par 3 à 3,6 en 2030. Il serait entre 220 et 264 millions de tonnes en 2030 au lieu de 70 millions de tonnes en 2008.

Le plan directeur portuaire national se veut donc une réponse aux besoins évolutifs de l'économie marocaine et des investisseurs nationaux et étrangers.
Le plan procède également de la volonté de mettre à niveau toute la chaîne logistique sur laquelle le Maroc mise beaucoup pour renforcer sa compétitivité et dont les ports constituent un des principaux maillons.


lematin
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