Économie marocaine

Rappel du premier message :

8 milions tbarkallah ou sla 3la n'bi.

une petit obsérvation !!

- Wana : 100% des part apartiennent à l'ONA
- Méditel : 50% au groupe BMCE et 50% à la CDG
- Maroc tel : 70 % avivendi 30 % 0 l'état !!!

Maroc télécom est le moins marocain des opérateur téléphonique marocain !!!!!!!

bansheequader a écrit:

une petit obsérvation !!

- Wana : 100% des part apartiennent à l'ONA
- Méditel : 50% au groupe BMCE et 50% à la CDG
- Maroc tel : 70 % avivendi 30 % 0 l'état !!!

Maroc télécom est le moins marocain des opérateur téléphonique marocain !!!!!!!

Normale puisque étatique à la base puis privatisé ensuite. Il faut avouer tout de même que l'expertise vivendi dans la gestion et le management a été déterminante dans l'envolé de Maroc Telecom

c'est sur, mais ils ont tout de même fait une super affaire avec MT, c'est aujourd'hui leur filiale la plus rentable !!!!

bansheequader a écrit:

c'est sur, mais ils ont tout de même fait une super affaire avec MT, c'est aujourd'hui leur filiale la plus rentable !!!!

Tout à fait, et ils ont tout fait pour.
Sans Vivendi on ne sera jamais arriver la ou on est dans les télécomunication. Regarde simplement le développement de MT à l'international

Mais bon le jour ou l'Etat sera plus riche, rien ne lui empêche de re-nationaliser MT

va falloir que l'état devienne trés trés riche alors !!!

Citation :

Renault Douai: une ligne de production démontée et transférée au Maroc

(AFP)

DOUAI, Nord — Une des trois lignes de production de l'usine Renault de Douai devrait être démontée d'ici fin 2009 pour être transférée dans une autre usine du groupe automobile, située au Maroc, a annoncé mardi le syndicat Sud.

"La ligne 18 d'emboutissage, qui fabrique notamment des capots et des portes d'automobile, a été mise à l'arrêt et devrait être démontée d'ici la fin de l'année, sans doute pour être transférée dans la nouvelle usine Renault de Tanger", a indiqué Lionel Lerèche, secrétaire du syndicat Sud de Renault Douai.

La direction confirme le démontage programmé de cette ligne mais affirme qu'aucune décision n'a encore été prise quant au lieu de son transfert.

"Cette ligne sera effectivement réaffectée dans une autre usine Renault. Mais la décision du lieu de transfert n'a pas encore été prise. Ca peut être Tanger, mais ça peut aussi être ailleurs", a expliqué la porte-parole du groupe de l'usine de Douai.

"L'usine comptait il y a deux ans, quatre lignes d'emboutissage, et maintenant il n'en reste plus que deux. Avec la ligne 18, qui était la deuxième plus importante de l'usine, c'est 30% du potentiel de fabrication de Renault Douai qui s'en va, et forcément chez les salariés, c'est l'inquiétude qui domine", signale M. Lerèche.

La direction de l'usine assure, elle, que le démontage de cette ligne "obsolète (..) fait partie du mouvement naturel de matériel qui se produit régulièrement dans la vie d'une usine".

"Ce démontage n'aura aucune conséquence, ni sur les capacités de production de l'usine, ni sur l'emploi. Les salariés qui travaillaient sur la ligne 18 seront tous réaffectés soit aux autres lignes, soit à d'autres postes", affirme-t-on chez Renault.

Pour le député PCF du Nord, Jean-Jacques Candelier, avec ce démontage, "c'est bien la pérennité et l'autonomie du site" qui sont remis en question. "Les vieux briscards vous le diront: +quand on veut démonter une usine, on commence par démonter les presses, car il s'agit de l'investissement le plus important", souligne le député.

La direction de l'usine rappelle que Renault vient d'investir 250 millions d'euros à Douai pour la construction de la Renault Scenic.

http://www.google.com/hostednews/afp...h4N6THtmYgIPxg

bansheequader a écrit:

une petit obsérvation !!

- Wana : 100% des part apartiennent à l'ONA
- Méditel : 50% au groupe BMCE et 50% à la CDG
- Maroc tel : 70 % avivendi 30 % l'état !!!

Maroc télécom est le moins marocain des opérateur téléphonique marocain !!!!!!!

53%

GT pas sur du chiffre 53% c'est mieux que 70.

Citation :

Classement des pays africains sur l'attractivité des IDE pour 2009-2010

Afrique du Sud, Egypte et Maroc, meilleures destinations en Afrique

Une étude menée par le FDI Intelligence,
une division spécialisée du groupe britannique de presse "Financial
Times LTD", classe l'Afrique du Sud, l'Egypte et le Maroc meilleures
destinations pour l'Investissement étranger direct (IED) sur le
continent africain pour l'exercice 2009- 2010.En effet, la dernière
édition du classement de cet organisme sacre l'Egypte et le Maroc
respectivement comme les 2ème et 3ème destinations les plus attractives
pour les IDE en Afrique derrière l'Afrique du Sud qui occupe la 1re
marche du podium pour la 3ème année consécutive. Le rapport, intitulé
les pays d'Afrique de l'avenir 2009-2010 "African countries of the
future 2009-2010", a été élaboré par un panel d'experts indépendants
sur la base de données couvrant 59 pays africains. Cette étude, analyse
en effet, la situation dans ces pays prenant en compte les résultats
dans des catégories comme le potentiel économique, les ressources
humaines, la qualité de vie, les infrastructures, l'ouverture
économique et la stratégie des investissements. Sur les 59 nations
africaines qui ont été passées en revue, souligne le rapport, seule 18
ont accepté de fournir des informations détaillées sur leurs stratégies
et instruments respectifs de promotion de l'investissement. Les données
quantitatives ont été regroupées en 6 catégories, à savoir, potentiel
économique, ressources humaines, coûts, qualité de vie, infrastructures
et environnement des affaires favorable. Une 7ème catégorie portant sur
les outils de promotion de l'investissement étranger, a été directement
évaluée par le jury indépendant. Au delà du classement général, il est
intéressant d'observer que l'Afrique du Sud, précise l'étude, domine
les catégories du potentiel économique, des infrastructures et de la
qualité de l'environnement des affaires. En ce qui concerne l'Egypte,
celle-ci est bien positionnée dans la plupart des catégories, et arrive
ainsi 1 ère en matière de ressources humaines. Par ailleurs, l'étude
souligne que le Maroc a réalisé de bons résultats dans plusieurs
catégories dont celles des infrastructures, de la stratégie en matière
de promotion d'investissements étrangers directs et du potentiel
économique. Il est à noter que le jury a en effet considéré que l'Ile
Maurice, le Rwanda et le Maroc était les 3 meilleurs pays africains en
la matière. Selon FDI Magazine, "le Rwanda, le Ghana et le Malawi
occupent les 3 meilleures places en Afrique pour ce qui est des coûts.
Les Seychelles quant à elles arrivent 1ères en matière de qualité de
vie." Le service de renseignements sur l'Investissement étranger direct
(IED) fournit des produits, des services et des outils commerciaux
permettant aux entreprises et organismes de développement économique de
prendre des décisions éclairées concernant les Investissements
étrangers directs.
H. M.

http://www.lemaghrebdz.com/lire.php?id=20284

Tres bonne nouvelle pour le Maroc. Les investisseur nationaux risquent leurs argent dans des companies locales. Ca montre du courage surtout quand on voit le montant de l'operation. Ca ouvre la porte pour d'autres investisseur marocains de faire de meme dans d'autres secteurs et donne confiance aux etrangers sur la solidite' de l'economie marocaine.

Citation :

"Medi Telecom" à 100 pc marocaine

Casablanca- La société "Médi Telecom" devient à 100 pc marocaine, après l'acquisition par la Caisse de Dépôt et de Gestion (CDG) et "FinanceCom" des parts des opérateurs espagnol et portugais, "Telefonica" et "Portugal Telecom", a-t-on annoncé mardi à Casablanca.

Les responsables de la CDG et de FinanceCom ont, lors d'une conférence de presse, indiqué que les deux Groupes ont conclu, lundi, un accord définitif relatif à l'acquisition de 64,36 pc du capital de Médi Telecom, représentant la totalité des participations de Telefonica et de Portugal Telecom dans la société.

Créée en avril 2000, Médi Telecom est devenue un opérateur de télécommunications de référence au Maroc, grâce notamment à la qualité de ses ressources humaines marocaines et à une expertise et un savoir-faire reconnus à l'international, a-t-on souligné.

L'opération porte sur 800 millions d'Euros, soit plus de 9 milliards de dirhams, ce qui donne une indication éloquente sur la valeur de Médi Telecom, moins de 10 années après sa création, a notamment précisé M. Othman Benjelloun, président du Groupe FinanceCom.

Aujourd'hui, Médi Telecom, ce sont 8,5 millions de clients, un chiffre d'affaires supérieur à 5 milliards de dirhams, un revenu net annuel dépassant 500 millions de dirhams, a-t-il rappelé, ajoutant qu'en moins de dix ans, la société a investi 25 milliards de dirhams et son plan d'investissement 2008-2011 prévoit 4 milliards de dirhams, autofinancés à 75 pc.

Outre ses 1000 salariés employés directs, Médi Telecom emploie, indirectement, 18.000 personnes, son réseau de distribution est composé de 7000 points de ventes, avec plus de 30.000 autres où l'offre de ses produits est disponible, a-t-il poursuivi, affirmant que sa part de marché a cru régulièrement et qu'elle a pris 3 points de pourcentage au cours de ces 6 derniers mois, pour atteindre 36,7 pc.

"Nous comptons attribuer à la société une dimension supplémentaire, celle de considérer des opportunités de partenariat et d'activités au-delà des frontières du Maroc, notamment en Afrique Subsaharienne", a-t-il dit.

A ce sujet, le Directeur général de la CDG, M. Anas Alami, a exprimé la volonté des deux Groupes à Âœuvrer pour le partenariat à l'international, notamment au niveau africain.

Après avoir exprimé "l'engagement" de son Groupe, dans cette nouvelle étape du développement de Méditel, M. Alami s'est déclaré convaincu que l'envergure et la collaboration des deux groupes profiteraient pleinement à la société.

Il a par ailleurs relevé que le marché des télécoms a connu ces dernières années un développement considérable qui recèle encore un potentiel extrêmement important.

Et de souligner que tous les développements qu'a connus récemment ce secteur auront pour effet d'améliorer la qualité du service pour les consommateurs, d'accroître la taille du marché et de créer de la valeur pour les différents acteurs qui le composent.

http://www.map.ma/fr/sections/accueil/medi_telecom_a_100/view

tous les changement economique amorcé aux maroc ces dernieres année me rapelle les conseil donnée dans le livre "Maroc, le prochain dragon" daté de 1993 !

livre qui analyse la situation economique du pays et les capacité avec ses atout etc etc !

les mesure economique de ces dernieres année me rapelle cerataines recommandation donnés dans ce livre pour que l economie marocaine "decolle"

-miser sur la proximité avec l europe (pour en faire un marché pour ecouler sa production)
-miser sur sa competitivité (main d oeuvre bon marché au porte de l europe)
-specialisation dans certain domaine (phosphate ;peches,textile )
-faciliter l entrée des IDE (reforme economiques/avantages etc)
-develloper le tourisme (concurencer en cela l espagne en terme de destination soleil bon marché...etc)
-ameliorer les infrastructure pour faire baisser les cout de transport
-faire baisser les tarif dans le domaine aerien
-faciliter l import/l export

etc etc

beaucoup de ces recommandation ont deja etait appliquer .

Hamdollilah !


http://books.google.fr/books?id=VPVNS-QSymIC&pg=PA71&lpg=PA71&dq=le+maroc+future+dragon&source=bl&ots=Mm2JbaN4zs&sig=5dMvmVSEPsYeyH7w1D21vtRtNpM&hl=fr&ei=0pWfSsGiBNrajQfyvYG8Dg&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=4#v=onepage&q=&f=false

Juste un commentaire rapide au sujet de Vivendi et de IAM. Ittisalat Al Maghrib n'a pas du tout beneficie d'une quelconque expertise. Vivendi n'a pas mis en place de plateforme commune d'achat, Vivendi a refuser le developement de la 3G (c'est WANA qui l'a fait) car l'investissement etait trop lourd pour eux. Vivendi a interdit a IAM de participer a la 2 licence en Algerie et en Tunisie.
Pour Vivendi, IAM est une Vache a lait (c'est un terme technique). Chaque annee, ils font remonter 80% du profit vers la maison mere et limitent au maximum les investissements en CAPEX.
Sans IAM, Vivendi est une entite morte (le poids de leurs dettes les aurait asphyxie depuis longtemps).
Ce que je suggere, c'est une operation financiere equivalente a ce qu'avait fait Majidi entre l'ONA et la SNI. En d'autre terme, IAM rachete Vivendi. Le groupe devient Marocain (siege social a Rabat) mais avec un actionariat multi-national. C'est tout a fait faisable car IAM n'est pas du tout endettee et il y aurait a gagne pour tout le monde (y compris SFR, Neuf etc...)

Leo Africanus a écrit:

Citation :

"Medi Telecom" à 100 pc marocaine

Casablanca- La société "Médi Telecom" devient à 100 pc marocaine, après l'acquisition par la Caisse de Dépôt et de Gestion (CDG) et "FinanceCom" des parts des opérateurs espagnol et portugais, "Telefonica" et "Portugal Telecom", a-t-on annoncé mardi à Casablanca.

Les responsables de la CDG et de FinanceCom ont, lors d'une conférence de presse, indiqué que les deux Groupes ont conclu, lundi, un accord définitif relatif à l'acquisition de 64,36 pc du capital de Médi Telecom, représentant la totalité des participations de Telefonica et de Portugal Telecom dans la société.

Créée en avril 2000, Médi Telecom est devenue un opérateur de télécommunications de référence au Maroc, grâce notamment à la qualité de ses ressources humaines marocaines et à une expertise et un savoir-faire reconnus à l'international, a-t-on souligné.

L'opération porte sur 800 millions d'Euros, soit plus de 9 milliards de dirhams, ce qui donne une indication éloquente sur la valeur de Médi Telecom, moins de 10 années après sa création, a notamment précisé M. Othman Benjelloun, président du Groupe FinanceCom.

Aujourd'hui, Médi Telecom, ce sont 8,5 millions de clients, un chiffre d'affaires supérieur à 5 milliards de dirhams, un revenu net annuel dépassant 500 millions de dirhams, a-t-il rappelé, ajoutant qu'en moins de dix ans, la société a investi 25 milliards de dirhams et son plan d'investissement 2008-2011 prévoit 4 milliards de dirhams, autofinancés à 75 pc.

Outre ses 1000 salariés employés directs, Médi Telecom emploie, indirectement, 18.000 personnes, son réseau de distribution est composé de 7000 points de ventes, avec plus de 30.000 autres où l'offre de ses produits est disponible, a-t-il poursuivi, affirmant que sa part de marché a cru régulièrement et qu'elle a pris 3 points de pourcentage au cours de ces 6 derniers mois, pour atteindre 36,7 pc.

"Nous comptons attribuer à la société une dimension supplémentaire, celle de considérer des opportunités de partenariat et d'activités au-delà des frontières du Maroc, notamment en Afrique Subsaharienne", a-t-il dit.

A ce sujet, le Directeur général de la CDG, M. Anas Alami, a exprimé la volonté des deux Groupes à Âœuvrer pour le partenariat à l'international, notamment au niveau africain.

Après avoir exprimé "l'engagement" de son Groupe, dans cette nouvelle étape du développement de Méditel, M. Alami s'est déclaré convaincu que l'envergure et la collaboration des deux groupes profiteraient pleinement à la société.

Il a par ailleurs relevé que le marché des télécoms a connu ces dernières années un développement considérable qui recèle encore un potentiel extrêmement important.

Et de souligner que tous les développements qu'a connus récemment ce secteur auront pour effet d'améliorer la qualité du service pour les consommateurs, d'accroître la taille du marché et de créer de la valeur pour les différents acteurs qui le composent.

[url=http://www.map.ma/fr/sections/accueil/medi_telecom_a_100/view

http://www.map.ma/fr/sections/accueil/medi_telecom_a_100/view[/quote[/url]]
La question qui se pose Léo, concernant cette acquisition, c'est ou vont-ils trouver les 800 millions d'Euros ? Actuellement, les reserves de change du Maroc fondent comme beurre au soleil, le pays importe plus qu'il n'exporte, les investissements étrangers sont en recul, crise oblige et les transferts de nos MRE ne peuvent que baisser pour la même raison. La CDG, qui est une sorte de fonds souverain marocain, ne peut obtenir de devises que de la banque centrale, qui en a à peine pour financer nos importations. Je vois mal Othman Benjeloun vendre les avoirs de Finance.com à l'étranger pour financer sa part de l'opération. Et même s'il le fait, il lui faudrait du temps pour ce faire. Et ce n'est pas avec ce que dégage Méditel comme bénéf par an qu'elle peut payer les échéances d'un crédit bancaire contracté à l'étranger.
Le Maroc est dans une situation critique sur le plan de ses avoirs en devises, aussi, je crois que cette acquisition qu'on nous présente comme un succés pour le capitalisme marocain n'est en fait qu'une simple opération de spéculation, conforme à la mentalité de nos riches, qui n'ont rien de nationalistes. Avec ses reserves de change en baisse et ses importations qui, elles, ne reculent pas, le Maroc ne va pas tarder à se trouver dans l'obligation de dévaluer le dirham. Et quand ça se fera, Othman Benjelloun va retirer un bénéf conséquent de la revente de ses parts dans Méditel à un groupe étranger. Dans l'interêt du Maroc, les parts vendues auraient mieux fait d'être achetées par le groupe qatariote QTel, ca nous aurait fait plus de devises dans les reserves de Bank Al Maghrib.

alors il faut obtenir la convertibilitée du dirhams aulieu qu'il soit devaluer, ce n'est pas ca qui empechera nos riches d'avoir des pieds a terre a neuilly via leurs comptes convertibles, comme ils ont deja fait depuis des decenies deja.

le fait que le dirham ne puisse pas etre convertible est une abheration.

il faut y songer serieusement, on peut pas avoir d'accord de libre echange avec les usa ni de statut avancé avec l'ue si on ne peut pas payer en dirhams au dela du maroc, on aurait du inclure cette clause vitale avant de signer ces accords. donnant donnant.

si on devalue le dirham, on va avoir encore plus d'etrangers dans notre pays genre apparts raflés par eux aulieu qu'ils profittent a la classe "moyenne" marocaine, ca augmentra notre sentiment d' "envahissement" et notre reget des europeens, ca ne profitera encore qu'a ceux qui ont des devises, aux mre et aux etrangers.

ce n'est pas la convertibilitée du dirham qui fera plus fuir nos capitaux d'ici.

Pas question de convertibilité dans un pays qui importe plus qu'il n'exporte, le faire serait courir droit vers le mur
Notre balance commercialee est structurellement déficitaire, ce qui équilibre la balance des paiements, ce sont les MRE et les
invetissements étrangers, outre les prêts et crédits obtenus. Imagine la disparition du contrôle des changes
Même notre balance commerciale va finir par devenir structurellement déficitaire. Et si nous n'avons plus de devises pour
acheter du blé à manger et du pétrole pour travailler, bonjour le FMI, les mesures d'ajustements structurelles et les émeutes
des plus démunis pour le pain. Abbas nous a laissé croire que tout allait pour le mieux, alors que nos reserves de change
étaient de fondre. Il a financé le court terme et la paix social en mettant gravement en péril le moyen et long terme

Samyadams a écrit:

La question qui se pose Léo, concernant cette acquisition, c'est ou vont-ils trouver les 800 millions d'Euros ? Actuellement, les reserves de change du Maroc fondent comme beurre au soleil, le pays importe plus qu'il n'exporte, les investissements étrangers sont en recul, crise oblige et les transferts de nos MRE ne peuvent que baisser pour la même raison. La CDG, qui est une sorte de fonds souverain marocain, ne peut obtenir de devises que de la banque centrale, qui en a à peine pour financer nos importations. Je vois mal Othman Benjeloun vendre les avoirs de Finance.com à l'étranger pour financer sa part de l'opération. Et même s'il le fait, il lui faudrait du temps pour ce faire. Et ce n'est pas avec ce que dégage Méditel comme bénéf par an qu'elle peut payer les échéances d'un crédit bancaire contracté à l'étranger.
Le Maroc est dans une situation critique sur le plan de ses avoirs en devises, aussi, je crois que cette acquisition qu'on nous présente comme un succés pour le capitalisme marocain n'est en fait qu'une simple opération de spéculation, conforme à la mentalité de nos riches, qui n'ont rien de nationalistes. Avec ses reserves de change en baisse et ses importations qui, elles, ne reculent pas, le Maroc ne va pas tarder à se trouver dans l'obligation de dévaluer le dirham. Et quand ça se fera, Othman Benjelloun va retirer un bénéf conséquent de la revente de ses parts dans Méditel à un groupe étranger. Dans l'interêt du Maroc, les parts vendues auraient mieux fait d'être achetées par le groupe qatariote QTel, ca nous aurait fait plus de devises dans les reserves de Bank Al Maghrib.

Samy l'operation est ferme'. Ils sont des operateurs economiques prive's et ils ont mit de l'argent sur la table. Telefonica et Portugal Telecom ont vendu et les marocains ont achete'. En tous cas si les qatariotes auraient achete' la banque Centrale Marocaine n'aurait vu un seul sou; ils auraient paye' a Madrid, Lisbonne ou Les Iles Caiman. Quand le Maroc decida d'ouvrir son marche' aux invesstisseur etrangers il accepta qu'au moment venu les "plusvalues" (on dit ca en Francais?)qu'ils obtiendraient au Maroc pourraient etre encaisse' a l'etranger. Je crois que c'est le cas dans cette operation.

Citation :

L’équipementier automobile Faurecia inaugure son nouveau site marocain




MAROC. Faurecia a inauguré début juin 2009 son nouveau site de production à Kenitra, à une cinquantaine de kilomètres au nord de Rabat.



L’équipementier automobile français, qui a investi 10 M€, y emploie déjà 300 personnes. Il vise 650 salariés à terme.



L’activité de Faurecia Equipements Automobiles Maroc (FEAM) est dédiée
à la coupe-couture de coiffes de sièges d’automobiles destinées à
l’exportation vers l’Europe.


A pleine cadence fin 2009, le site
devrait produire près de 200 000 coiffes de sièges par mois, pour les
modèles Renault Megane et Volkswagen Polo.

http://www.econostrum.info/L-equipementier-automobile-Faurecia-inaugure-son-nouveau-site-marocain_a1222.html

Citation :

Maroc: Plus de 5 millions de touristes à fin juillet !

· Les arrivées en augmentation de 6%

· Marrakech renoue avec les résultats positifs

· Les recettes, encore sur un trend baissier

Au moment où toutes les destinations touristiques sont en difficulté, le Maroc est parvenu à tirer son épingle du jeu durant le mois de juillet. En témoigne le volume des arrivées de touristes aux postes-frontières qui a augmenté de 6% au cours de ce mois.

Bien entendu, MRE inclus. Aux postes-frontières, les Marocains du monde ont enregistré une croissance de 7% durant le seul mois de juillet.
Forte de cette performance dans une conjoncture critique, la destination Maroc a enregistré plus de 5 millions de touristes à fin juillet. Du coup, certains observateurs n’excluent pas que le Maroc puisse atteindre les 9,5 millions de touristes, voire frôler les 10 millions vers fin 2009-début 2010.

Autre indicateur positif, les nuitées enregistrées dans les établissements classés qui ont connu une hausse de 4% par rapport au même mois de l’année dernière. Selon le ministère du Tourisme, «ces bonnes performances observées dans une période où tous les indices prévoyaient une baisse de l’activité s’expliquent par la conjugaison de plusieurs facteurs». D’abord, les premiers fruits de l’opération Cap 2009.

Enclenchée fin 2008, Cap 2009 a permis de booster les réservations par le lancement de plusieurs actions de promotion. Autre facteur déterminant: pour la 1re fois depuis des mois, Marrakech sort du rouge. En effet, la ville ocre a renoué avec les résultats positifs en enregistrant une hausse de 5% des nuitées en juillet dernier.

Pour le tourisme interne, l’opération Kounouz Biladi a surtout permis de booster les nuitées des nationaux qui séjournent de plus en plus dans des hôtels classés. Le total des nuitées des Marocains a dépassé les 550.000 le mois dernier -soit 120.000 nuitées de plus que juillet 2008 (+25%)-. Ainsi, les nuitées additionnelles des nationaux ont représenté 6% du total enregistré dans les établissements classés.

Seul bémol, les recettes. En dépit de l’augmentation des arrivées et des nuitées durant juillet, les recettes s’inscrivent encore à la baisse (-4% par rapport au même mois en 2008). Sur les 7 premiers mois de l’année, les recettes voyages ont baissé de 11,5% par rapport à la même période de l’an dernier.

Enfin, à fin juillet, le taux d’occupation moyen des chambres a connu une baisse de 4 points (42 contre 46% une année auparavant). Parallèlement, le nombre de chambres offertes a connu une évolution de 6%. Le taux d’occupation le plus élevé a été enregistré à Agadir (57%).


Les Espagnols en force à Saïdia

A peine lancée vers mi-juin dernier, la station pilote du plan Azur a affiché complet durant le mois de juillet. Les deux hôtels de Saïdia ont permis de générer plus de 45.000 nuitées durant ce mois. Ce qui représente 2,7% du total des nuitées enregistrées dans l’hébergement classé à l’échelle nationale. Près de 75% des nuitées de Saïdia sont réalisées par des Espagnols. Viennent en deuxième position les Italiens (23%), suivis des résidents (16%) et des Français (9%).

L'economiste

Source: www.observatoiredutourisme.ma :Tableau de Bord National 07-2009

Citation :

Deux-tiers des armes vendues au monde sont américaines.


Malgré la crise et un marché en baisse depuis 2005, Washington a signé l'an dernier pour 37,8 milliards de dollars de contrats d'armement, soit un quart de plus qu'en 2007.

C'est un rapport du Congrès américain qui le dit. Les Etats-Unis ont confirmé en 2008 leur statut de premier marchand d'armes du monde. En dépit de la crise économique, Washington a ainsi signé des contrats d'armements équivalents à 37,8 milliards de dollars l'an dernier, contre 25,4 en 2007. Le tout alors que sur le plan international le marché des ventes d'armes a reculé de 7,6% à 55,2 milliards de dollars. Il s'agit du chiffre le plus bas depuis 2005, selon l'étude.
Les contrats d'armements américains représentaient 68,4% en 2008, soit les deux tiers du marché mondial des armes. Cette orientation à la hausse «doit être attribuée non seulement à d'importantes nouvelles commandes au Proche-Orient et en Asie, mais également à la poursuite de contrats significatifs de service d'équipements et de maintenance avec un nombre importants de clients américains dans le monde», souligne l'étude réalisée par le Congressional research service (CRS), un département de recherche dépendant du Congrès américain.

L'Italie, au deuxième rang

Les principaux clients de Washington sont les Emirats arabes unis, le Maroc et Taiwan. Des accords ont aussi été signés avec l'Inde, l'Irak, l'Arabie saoudite, l'Egypte, la Corée du Sud ou le Brésil. Toujours selon cette étude, les Etats-Unis sont les plus gros fournisseurs des pays en développement. Ce seul marché représentait 42,2 milliards de dollars l'année dernière, en légère augmentation sur un an.
Selon l'étude, avec un montant de contrats d'armements équivalent à 3,7 milliards de dollars, l'Italie se place au deuxième rang en 2008, tandis que la Russie, avec des contrats estimés à 3,5 milliards de dollars - contre 10,8 milliards de dollars en 2007 - occupe la troisième place. Moscou conserve l'Inde et la Chine comme clients principaux dans les pays en développement mais s'intéresse de plus en plus aux pays d'Amérique centrale, le Venezuela en particulier. La France est troisième sur le seul critère des ventes d'armes aux pays en développement.


AFP

Citation :

Réalisation d'un outlet center à Casablanca

JET SAKANE : Réalisation du premier outlet center de Casablanca pour un investissement de MAD 1,5 Md

Fait : Projet de construction d’un outlet center à Casablanca pour une enveloppe globale de MAD 1,5 Md à horizon 2012

Analyse : Dans le cadre du plan Rawaj, le Groupe Jet Sakane a initié la réalisation d’un outlet center sur le terrain qui abritait l’ancienne usine de Goodyear sis à Aïn Sebaâ. L’assiette foncière de 22 hectares comprendra également un grand projet immobilier de 2.800 logements.

Inspiré du modèle de plateforme situé à la sortie des grandes agglomérations espagnoles, le nouveau outlet center de Casablanca sera composé d’un hypermarché et de magasins proposant des produits en deuxième démarque. L’investissement global de ce projet devrait représenter une enveloppe de MAD 1,5 Md et dont les travaux seront achevés à l’horizon 2012 ».

Conclusion : Actif aussi bien dans l’immobilier social que du standing, le Groupe Jet Sakane réalise un premier projet commercial de grande envergure, espérant tirer profit des retombées positives escomptées de la mise en oeuvre du plan Rawaj.


BMCE Capital Bourse

Citation :

Le Maroc occupe trois positions du Top 5 des destinations proches


Les bons plans au soleil du mois d'octobre


Les envies d'été indien se prolongent, les prix des destinations qui ont la côte.

08 SEPTEMBRE 2009




Selon le dernier baromètre des destinations MonNuage.fr-Relaxnews, paru lundi 7 septembre, le Maghreb s'impose comme la destination phare notamment avec le Maroc. En long-courrier, l'Amérique du nord, l'Asie, l'Océan Indien ou encore l'Afrique se partagent les faveurs des touristes.

Alors que l'hiver va doucement s'installer en Europe en octobre, les voyageurs recherchent la chaleur du Maghreb et de la Turquie. Le Maroc occupe trois positions du Top 5 des destinations proches, contre une pour la Turquie et la Tunisie.

En long-courrier, le classement reste quasiment inchangé par rapport à septembre. Seul Dakar parvient à éclipser Los Angeles du palmarès. "Octobre marque la fin de la saison des pluies au Sénégal, et le début de la saison sèche. C'est le début de la saison idéale pour s'y rendre, jusqu'en mars", explique MonNuage.fr. Autre avantage : les tarifs aériens sont stables depuis l'an dernier, à environ 500 euros l'aller-retour.

Au départ de Nice, le comparateur conseille de s'envoler vers Bangkok tandis qu'au départ de Paris, des destinations comme New York et Montréal se révèlent attractives avec, pour la seconde destination, plusieurs aller-retour à 320 euros.

Côté tarifs, le comparateur de voyages constate qu'avant les vacances de la Toussaint, fin octobre, les prix sont relativement bas mais qu'à l'inverse, ils explosent dès leur début. "Jusqu'à fin octobre les prix vont souvent du simple au double", prévient-il.

Top 5 des destinations proches pour le mois d'octobre:

Destination Meilleur prix aérien AR Moyenne des prix aériens AR:

Marrakech (Maroc) 144 euros 203 euros
Casablanca (Maroc) 146 euros 187 euros
Istanbul (Turquie) 167 euros 202 euros
Tunis (Tunisie) 237 euros 245 euros
Agadir (Maroc) 194 euros 247 euros

Top 5 des destinations lointaines pour le mois d'octobre:

Destination Meilleur prix aérien AR Moyenne des prix aériens AR:

New York (Etats-Unis) 369 euros 407 euros
Bangkok (Thaïlande) 420 euros 585 euros
La Réunion 703 euros 864 euros
Dakar (Sénégal) 500 euros 534 euros
Montréal (Canada) 321 euros 425 euros

Méthodologie : baromètre réalisé à partir de 23.142 recherches de vols aller-retour effectuées sur MonNuage.fr jusqu'en septembre 2009, au départ des principaux aéroports de France pour octobre 2009. 16 agences de voyages et 330 compagnies aériennes ont été interrogées pour cette étude.

Chaque mois, en partenariat avec MonNuage.fr, comparateur de voyages, Relaxnews publie le baromètre des destinations. Ce nouvel outil permet de découvrir les destinations les plus recherchées par les internautes pour un départ dans un mois à partir de la date de diffusion du baromètre. Il donne également les meilleurs tarifs aériens proposés pour ces destinations ainsi que la moyenne des prix sur le mois.


liberation . fr

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Rocade méditerranéenne

La liaison Al Hoceima-Jebha opérationnelle


· Coût du projet: 1,65 milliard de DH

· Une nouvelle route de 103 km

DERNIÈRE ligne droite pour la rocade méditerranéenne. L’avant-dernier tronçon reliant Ajdir (Al Hoceima) à Jebha vient d’être livré à la circulation. Il ne reste plus que quelque 120 km de route (Tétouan- Jebha) à construire pour achever l’ensemble du projet.
La liaison Al Hoceima-Jebha dont le coût de réalisation avoisine le 1,65 milliard de DH est, quant à elle, d’une longueur d’environ 103 km. Ainsi, 7 km sont à parcourir de Ajdir au centre-ville d’Al Hoceima. Avant l’achèvement des travaux de construction, aucune voie ne reliait les deux localités. Aujourd’hui, cette nouvelle route dessert successivement Jebha et Bouhanine avant de rejoindre Cala-Iris. Elle emprunte la RR 414 jusqu’à Ait Kamra sur 45 km, puis la RN 2 sur 10 km jusqu’à Imzouren et enfin la RR 610. Par ailleurs, et compte tenu du caractère très accidenté de la topographie et de la nature géotechnique vulnérable du terrain, le tronçon Al Hoceima- Jebha s’éloigne de quelques kilomètres de la côte méditerranéenne.
A noter que les travaux sur cette section ont été lancés en juin 2004 et devaient être bouclés, en principe, en 2008. Force est de constater, donc, que le projet a enregistré un retard d’une année. Un contrat établi avec des sociétés étrangères pour la réalisation de la liaison a été d’ailleurs résilié. «La liquidation du marché, le lancement d’un autre appel d’offres et la sélection d’un nouveau constructeur nécessitent tous des procédures administratives qui prennent souvent beaucoup de temps», indique-t-on auprès de la direction régionale de l’Equipement d’Al Hoceima. Pour le financement de ce projet, le ministère de l’Equipement et du Transport a dû verser environ 310 millions de DH (19%) pour achever les travaux déjà entamés par les entreprises étrangères. Quelque 1,34 milliard de DH (81%) étant un don de l’UE.
S’agissant de la liaison Jebha-Tétouan, les travaux sont lancés depuis 2008 et devraient être achevés en 2012, selon le planning arrêté par le ministère de l’Equipement et du Transport. «Cette dernière ligne droite du projet de la rocade nécessite une enveloppe budgétaire d’environ 2,3 milliards de DH», précise un responsable de la direction régionale de l’Equipement d’Al Hoceima. Et d’ajouter: «Les contributions sont du ministère et de l’Agence japonaise de coopération internationale (Jica)». La route Jebha-Tétouan emprunte un terrain plat au départ de Tétouan pour aborder très rapidement les reliefs montagneux. Elle traverse des zones instables caractérisées par des glissements de talus, sapements de la plate-forme par la mer et éboulements. Les travaux consistent à améliorer les caractéristiques géométriques de la route existante en adoptant un nouveau tracé pour certains tronçons, renforcer et élargir la chaussée pour présenter un profil en travers de 7 mètres. Pour rappel, la rocade méditerranéenne (507 km), reliant les villes de Tanger et Saïdia, permettra de réduire le temps de trajet de 11 à 7 heures.

Bouchra SABIB

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Maroc : neuf millions de touristes en 2009


De janvier à juillet de cette année, le Maroc a enregistré une hausse de 8% des arrivées touristiques avec près de 5 millions de visiteurs.



En maintenant cette tendance, le Royaume, qui s’applique depuis plusieurs années au programme "Vision 2010", devrait dépasser les 9 millions de touristes en 2009.
Le plan "Vision 2010" est un programme dédié au développement du tourisme au Maroc. Grâce à ce plan, le Royaume devrait dépassé le cap des 10 millions de touristes en 2010. Le tourisme, qui représente 10% du PIB, est la première source de revenu du Maroc. En 2008, les recettes touristiques s’étaient élevées à 5,2 milliards d’euros.

bladi.ne



Plan Vert: 20 grands projets déjà validés au Maroc
Plan Vert: 20 grands projets déjà validés · Pour un montant de 8 milliards de DH

· Le Maroc veut investir les bio-carburants


TOUT le dispositif de la mise en œuvre du Plan Maroc Vert est opérationnel. A commencer par l’Agence de développement agricole (ADA) dont la mission est de piloter cette stratégie.

Pour rappel, son mode opératoire s’articule autour d’un portefeuille de plus de 1.500 projets portant sur une enveloppe d’investissement d’environ 147 milliards de DH à réaliser sur 10 ans. (cf.www. leconomiste.com. Edition du lundi 13 avril).

Le tout devrait bénéficier à 1,4 million d’agriculteurs avec en plus la création de 1,5 million d’emplois supplémentaires.

Voila pour l’enjeu. Quid alors du bilan des actions menées jusqu’à présent?
Lancement d’études de projets structurants, mobilisation des financements et mise en œuvre des projets d’agrégation proposés par les investisseurs, tels ont été les principaux chantiers.
Au chapitre des études, il y a lieu de signaler l’ambitieuse stratégie du Maroc pour l’énergie verte.

«Face aux défis énergétiques auxquels fait face le Maroc, pays net importateur, le Plan Maroc Vert a prévu en effet une étude stratégique sur les possibilités de production des agro- carburants», indique Ahmed Hajjaji, directeur général de l’ADA.
De même qu’une étude spécifique aux régions du Gharb, Tanger, Al Hoceima, Taza et Taounate a été lancée.

C’est que ces régions connaissent, en plus de la pauvreté, la prolifération de la culture du cannabis. Les produits du terroir ont aussi retenu une attention toute particulière et font d’ores et déjà l’objet d’une étude stratégique.
Il s’agit de l’huile d’argan, le safran de Taliouine, les pommes de Middelt et Imilchil, la rose à parfum de Dadès, les dattes du Draâ ainsi que d’autres produits.


L’objectif est de labelliser ces produits par des signes de qualité distinctifs comme les indications géographiques protégées ou les appellations d’origine contrôlée.
L’étude concerne aussi l’introduction et la protection de certaines spécialités innovantes comme les sous-produits des dattes, figues et cactus.

Le financement et la mobilisation des capitaux constituent l’autre volet des activités de l’Agence.

Banques, institutions financières internationales, organismes de la coopération étrangère et investisseurs ont été ainsi approchés. Et les résultats sont concluants, se félicite Hajjaji. Ainsi, au terme de 2 réunions du comité d’investissement que préside le ministre de l’Agriculture, 20 projets relevant de l’agriculture à haute valeur ajoutée (pilier I) ont été validés pour un montant de 8 milliards de DH. Il en est aussi de 32 projets de l’agriculture solidaire.


En somme, constate Hajjaji, toutes les mesures d’accompagnement prévues par les contrats-programmes sont en phase d’aboutir ou d’être mises en chantier. Et c’est énorme comme travail dans la mesure où l’ADA est investie de toute action liée au développement de l’agriculture. Elle est même habilitée à proposer au gouvernement tout programme ciblant le développement de l’agriculture solidaire. Se rangent dans ce cadre, les incitations et subventions prévues par le code des investissements.

Mieux encore, l’organisme de pilotage du Plan Vert a également pour mission de promouvoir l’offre marocaine d’investissement à travers l’organisation de manifestations à l’international.
De manière générale, elle est appelée à mener toute action de nature à favoriser les partenariats.

D’ailleurs, c’est l’approche contractuelle qui est adoptée par l’Agence. A titre d’exemple, la direction de l’ingénierie des projets en assure le montage depuis le lancement des appels d’offres jusqu’à la mise en œuvre, en passant par le démarchage des bailleurs de fonds. Le tout, bien évidemment pour le compte des investisseurs et promoteurs des projets.

En attendant, elle compte mener une large campagne de communication pour vulgariser le concept d’agrégation aussi bien au niveau national que régional. Ce mécanisme, faut-il le rappeler, constitue l’épine dorsale du pilier II du Plan Maroc Vert. Mais il n’en demeure pas moins le plus fragile, tant il se base sur la mobilisation des terres collectives. Domaine, hautement sensible.




Rôle de l’ADA

LA loi 42-08, promulguée par dahir du 18 février 2009, fait de l’Agence de développement agricole (ADA) une force d’études et de propositions dans les divers domaines liés au développement et la promotion du secteur agricole dans son ensemble.

Elle est ainsi chargée de proposer au gouvernement «les plans d’action relatifs au soutien des filières agricoles à haute valeur ajoutée». Pour accomplir cette mission, l’Agence doit identifier et mobiliser le foncier nécessaire à l’extension des périmètres agricoles.
C’est à la direction de l’agrégation qu’incombe la tâche. «Bien évidemment sous l’autorité de la direction générale», précise l’arrêté fixant l’organisation de l’Agence.

Autre mission, déterminante, a trait à «la valorisation agricole via la mise en place de nouveaux systèmes d’irrigation, d’équipement des exploitations, de conditionnement et de commercialisation.

A. G.

leconomiste

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Maroc déterminé à faire de 2010 l'année de la réformede la loi organique des finance

Rabat, 12/09/09 - Le ministre de l'Economie et des Finances, M. Salaheddine Mezouar a souligné, samedi à Rabat, la détermination du gouvernement à faire de 2010 l'année de la réforme de la loi organique de finances.

S'exprimant à l'ouverture du 3-ème colloque international sur "Les finances publiques au Maroc et en France : enjeux et réponses face à la crise", M. Mezouar a indiqué que cette loi organique devra consacrer la performance dans la gestion des deniers publics et la programmation des dépenses ainsi que le développement de l'audit des politiques publiques.
"Notre obligation face à ce contexte est non seulement de gérer les effets de la crise dans de bonnes conditions mais aussi et surtout d'engager de nouvelles réformes tant structurelles que sectorielles pour préparer le Royaume à l'après crise", a affirmé M. Mezouar lors de ce colloque initié par le ministère de l'Economie et des finances en partenariat avec la Fondation internationale de finances publiques (Fondafip) et le Groupement européen de recherches en finances publiques.
A cette occasion, le ministre a mis en relief les principales orientations du gouvernement qui travaille actuellement dans le contexte notamment de la préparation de la prochaine loi de finances, citant à cet égard l'ouverture de l'économie nationale et sa plus grande intégration à l'économie mondiale, le rôle moteur de l'initiative privée et l'institutionnalisation du partenariat public-privé.
Le caractère exceptionnel de la crise a suscité des réactions exceptionnelles notamment des plans de relance d'une dimension inégalée et des ruptures inimaginables avec les disciplines budgétaires, monétaires et financières, a souligné M. Mezouar.
Le budget 2009 a été résolument inscrit dans une logique de soutien de la croissance à travers la promotion de la demande intérieure, l'encouragement des exportations et l'accompagnement des PME, a-t-il dit, ajoutant que la dynamisation de la demande intérieure a porté aussi bien sur le soutien de la consommation que sur la relance de l'investissement public.
Le gouvernement a tenu également à associer le secteur privé aux travaux du comité de veille stratégique, institué pour l'occasion, dans le but de définir les indicateurs pertinents permettant d'assurer le suivi de la conjoncture, a-t-il ajouté.
C'est dans ce cadre, poursuit M. Mezouar, que de nombreuses mesures ont été prises en vue de préserver des conditions de financement favorables pour l'entreprise, encourager les entreprises à prospecter de nouveaux marchés et de préserver l'emploi dans les secteurs affectés.
Pour sa part, le directeur général des Impôts, M. Noureddine Bensouda, a souligné l'importance des débats qui vont se dérouler pendant le colloque et qui vont essayer de répondre sur la question "comment sortir renforcés de cette crise ?", ajoutant que la crise actuelle se trouve tout à la fois financière, économique, sociale et de confiance.
De son côté, le président de la Fondafip (France), M. Michel Bouvier a mis l'accent sur la nécessité de créer un réseau de réflexion collective et un nouveau cadre d'analyse, en tenant compte des caractéristiques de la crise actuelle qui la distinguent de la crise de 1929.
Au programme de cette manifestation, marquée par la présence d'éminentes personnalités représentant le gouvernement, le parlement, l'administration publique et le monde des entreprises et de l'université, figurent trois tables rondes portant sur "L'impact de la crise sur les finances publiques", "Les instruments financiers et fiscaux de la relance" et "Les instruments budgétaires de la relance".

L'Antidote a écrit:

Citation :

Maroc déterminé à faire de 2010 l'année de la réformede la loi organique des finance

Rabat, 12/09/09 - Le ministre de l'Economie et des Finances, M. Salaheddine Mezouar a souligné, samedi à Rabat, la détermination du gouvernement à faire de 2010 l'année de la réforme de la loi organique de finances.

S'exprimant à l'ouverture du 3-ème colloque international sur "Les finances publiques au Maroc et en France : enjeux et réponses face à la crise", M. Mezouar a indiqué que cette loi organique devra consacrer la performance dans la gestion des deniers publics et la programmation des dépenses ainsi que le développement de l'audit des politiques publiques.
"Notre obligation face à ce contexte est non seulement de gérer les effets de la crise dans de bonnes conditions mais aussi et surtout d'engager de nouvelles réformes tant structurelles que sectorielles pour préparer le Royaume à l'après crise", a affirmé M. Mezouar lors de ce colloque initié par le ministère de l'Economie et des finances en partenariat avec la Fondation internationale de finances publiques (Fondafip) et le Groupement européen de recherches en finances publiques.
A cette occasion, le ministre a mis en relief les principales orientations du gouvernement qui travaille actuellement dans le contexte notamment de la préparation de la prochaine loi de finances, citant à cet égard l'ouverture de l'économie nationale et sa plus grande intégration à l'économie mondiale, le rôle moteur de l'initiative privée et l'institutionnalisation du partenariat public-privé.
Le caractère exceptionnel de la crise a suscité des réactions exceptionnelles notamment des plans de relance d'une dimension inégalée et des ruptures inimaginables avec les disciplines budgétaires, monétaires et financières, a souligné M. Mezouar.
Le budget 2009 a été résolument inscrit dans une logique de soutien de la croissance à travers la promotion de la demande intérieure, l'encouragement des exportations et l'accompagnement des PME, a-t-il dit, ajoutant que la dynamisation de la demande intérieure a porté aussi bien sur le soutien de la consommation que sur la relance de l'investissement public.
Le gouvernement a tenu également à associer le secteur privé aux travaux du comité de veille stratégique, institué pour l'occasion, dans le but de définir les indicateurs pertinents permettant d'assurer le suivi de la conjoncture, a-t-il ajouté.
C'est dans ce cadre, poursuit M. Mezouar, que de nombreuses mesures ont été prises en vue de préserver des conditions de financement favorables pour l'entreprise, encourager les entreprises à prospecter de nouveaux marchés et de préserver l'emploi dans les secteurs affectés.
Pour sa part, le directeur général des Impôts, M. Noureddine Bensouda, a souligné l'importance des débats qui vont se dérouler pendant le colloque et qui vont essayer de répondre sur la question "comment sortir renforcés de cette crise ?", ajoutant que la crise actuelle se trouve tout à la fois financière, économique, sociale et de confiance.
De son côté, le président de la Fondafip (France), M. Michel Bouvier a mis l'accent sur la nécessité de créer un réseau de réflexion collective et un nouveau cadre d'analyse, en tenant compte des caractéristiques de la crise actuelle qui la distinguent de la crise de 1929.
Au programme de cette manifestation, marquée par la présence d'éminentes personnalités représentant le gouvernement, le parlement, l'administration publique et le monde des entreprises et de l'université, figurent trois tables rondes portant sur "L'impact de la crise sur les finances publiques", "Les instruments financiers et fiscaux de la relance" et "Les instruments budgétaires de la relance".

c'est une reforme que j'attend depuis des anneès, on a plein de trous a tapper, il y a des lois qui sont encore en vigeur qui me font litterelement pleurer..prenez l'ex des impots dans le secteur de lagriculture, ca vous semble normale qu'un pays qui pour vocation s'appuie sur presque 40% des revenus sur ce secteur alors que les proprietaires terriers ne paient RIEN a l'etat ? ils beneficient d'une loi vieille de 30 ans voire plus de l'ere feu hassan 2 qui les avaient autoriser a ne depenser pas un seul dirham a cause de la sechresse de l'epoque..cette loi est encore en vigeur et ils continuent a ne payer rien.. la fin de cette loi aurait du etre en cette anneè 2009 mais ils ont reussi a la prolonger encore jusqu'a 2012 je crois..comment voulez vous que les caisses de l'etat se remplissent alors ?

n'importe quoi toi tu veut que l'etat vide les poches des agriculteurs encre tu crois que l'argent il va aller ou pff l'argent va servir aux ministres etc de se payer de nouvelles villas a rabat et marbella