Remarquez comment le chien Bougataya (je demande pardon à tous les chiens du monde) veut faire comprendre que c'est l'Algérie qui a exprimé son refus avant le Maroc. Quel NIF ....
Libya's interim premier Abdel Rahim al-Kib will visit Morocco on Tuesday for a two-day visit due to focus on the crisis in Mali, the Maghreb and economic cooperation, an official in Rabat told AFP.
"The situation in the Maghreb, in Mali, in the Sahel, as well as in the Moroccan [Western] Sahara" will be discussed during the visit, in which the Libyan prime minister will meet his Moroccan counterpart Abdelilah Benkirane, the Libyan Foreign Ministry official said. Kib would be accompanied by nine ministers, including the economics and justice ministers, who would hold meetings with the relevant members of Morocco's Islamist-led coalition government.
"This visit will focus on political dialogue and the strengthening of economic cooperation" between the two countries, the official added. The Moroccan community in Libya, estimated at more than 100,000 people before the revolution that toppled Moammar Qaddafi last year, will also be under discussion.
Ties between Rabat and Tripoli have improved since Qaddafi's ouster and killing last October. Both countries belong to the dormant Arab Maghreb Union, a five-nation organization founded in 1989 whose members also include Algeria, Mauritania, and Tunisia.
The deteriorating security situation in Mali appears to have spurred the five nations into action, with their interior ministers due to meet in Morocco later this year, after Maghreb foreign ministers met in Algiers last month.
-AFP
RED BISHOP Modérateur
messages : 12296 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Maroc-Libye Vers un retour des investissements libyens Tripoli veut reprendre pied dans le Royaume Une forte délégation gouvernementale aujourd’hui au Maroc
Avec une valeur globale de 353 millions de DH, le Maroc a été le 62e client et 83e fournisseur de la Libye en 2011. Si le taux de couverture (221%) est en faveur du Maroc, c’est surtout grâce aux exportations de produits alimentaires
LE Maroc et la Libye vont-ils ouvrir une nouvelle page dans leurs relations bilatérales ? On peut le dire sans risque de se tromper vu l’importante délégation gouvernementale libyenne attendue pour une visite de deux jours dès aujourd’hui au Maroc. Présidée par le Premier ministre en personne, cette délégation compte au moins dix ministres. Rabat et Tripoli avaient fait part, dès le lendemain de la chute du régime de Mouamar Kadhafi, de leur volonté de repartir sur de nouvelles bases dans leur coopération. L’échange de visites de délégations pour explorer les domaines de cette coopération a ainsi été inscrit en tête de liste des priorités des deux capitales pour, à juste titre, inaugurer une nouvelle page dans les relations entre les deux pays.
Les deux pays s’acheminent vers une alliance stratégique En programmant cette visite au Maroc, la première après l’installation de son Conseil national, le gouvernement libyen veut, sans aucun doute, «récompenser» le Maroc pour sa prise de position en faveur du soulèvement en Libye. Pour rappel, Taieb Fassi Fihri, alors ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, a été le premier responsable arabe à se rendre fin août 2011 à Benghazi, quelques jours après la chute de Tripoli. Auparavant, Rabat avait reconnu le CNT «comme représentant unique et légitime du peuple libyen». Aujourd’hui, au moment où il semble que les pendules ont été remises à l’heure dans le domaine politique, les relations économiques vont certainement pousser les deux pays vers une alliance stratégique dont l’épine dorsale pourrait être la reconstruction de ce qui a été détruit par les combats entre l’armée de Kadhafi et les insurgés. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si Maroc Export a organisé du 13 au 20 décembre dernier une opération de prospection dans les deux plus grandes villes de la Libye, Tripoli et Benghazi. Parmi les secteurs ciblés par cette opération de charme, figurent le BTP, l’agroalimentaire, les nouvelles technologies de l’information, le matériel électrique… Un peu plus d’une semaine après, une délégation libyenne de haut niveau a été reçue au siège de l´Asmex (le 9 janvier 2012). Les représentants des différents secteurs d´activité intéressés par le marché libyen (textile et habillement, IMME, pharmacie, agro-industrie, pêche, etc.) ont pu rencontrer leurs homologues libyens. Les membres de la délégation libyenne avaient alors informé que plusieurs chantiers sont ouverts dans leurs pays et invité les opérateurs marocains à se positionner sur ces marchés. Mais sur le volet des échanges commerciaux entre les deux pays, le tableau n’est pas rose. Les exportations ont enregistré un recul de 24% en 2011 alors que les importations ont connu une baisse de 70%. Quant à la valeur globale des échanges, elle a tout simplement reculé de 49%. Cependant, il est certain que le Premier ministre libyen ne vient pas au Maroc seulement pour faire appel à l’expertise marocaine quoique elle bénéficie d’un grand intérêt de la part de Tripoli. Il y a d’autres questions qui sont encore en suspens. A commencer par la question des avoirs libyens investis au Maroc sous l’ère Kadhafi. Deux fonds ont permis de porter ces investissements: le Libya Africa Investment Portfolio et la Libyan Foreign Investment Company (Lafico), filiale du fonds souverain Libyan Investment Authority (LIA). Les opérations les plus connues restent le Kenzi Tower Hotel qui a coûté aux Libyens quelque 880 millions de DH et l’opération de rachat de la compagnie pétrolière Mobil Maroc par Oilibya devenue très active depuis. Pour 2011 et au premier semestre de 2012, aucune opération d’investissement n’a été enregistrée avec la Libye. Et cela se comprend vu la situation qui prévalait dans le pays.
Jamal Eddine HERRADI Economiste
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RED BISHOP Modérateur
messages : 12296 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Posté le : 7 août, 2012 Les dirigeants libyens seraient fortement déçus par la tournure prise par leurs relations avec Le Caire. Le CNT encore au pouvoir à Tripoli pensait pouvoir compter sur les autorités égyptiennes afin de convaincre les entreprises du pays de venir travailler en Libye. Après des mois de tractations, les choses se sont avérées plus compliquées qu’elles ne paraissaient. Les entrepreneurs égyptiens se sont montrés très gourmands et n’auraient pas en plus oublié les vieux réflexes. Quant à la Tunisie, le virage très islamiste que prend le gouvernement dirigé par Ennahda ne faciliterait pas les choses. Alors, les regards se sont tournés vers le royaume chérifien. Le premier ministre libyen Abderrahim El Kib, dont le gouvernement est encore en poste pour quelques semaines, a décidé de conduire une imposante délégation comptant pas moins de 10 ministres, en plus du chef d’état-major . Tripoli aimerait que les Marocains apportent toute l’aide nécessaire pour faire redémarrer la machine économique en Libye. La technicité marocaine serait sollicitée également pour participer à la réorganisation des nouvelles forces armées libyennes. En contrepartie, Tripoli serait prête à reprendre l’investissement au Maroc. Plusieurs intérêts libyens existent toujours au royaume. Les relations entre les deux pays vont, selon les observateurs, aller crescendo. La Libye voudrait desserrer l’étau algérien et tourner la page des Tunisiens.
Maghreb Intelligent
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dragon-style sergent chef
messages : 257 Inscrit le : 13/09/2009 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
J’espère vraiment que ces articles disent vrai... Ce serait une occasion à ne pas rater car les deux pays sont très complémentaires. C'est une bonne nouvelle pour Chaabi et compagnie
Ce serait aussi une occasion pour le Maroc d'avoir un allié près à défendre le dossier de la souveraineté nationale, et d'étendre son influence dans la région.
leadlord Colonel-Major
messages : 2787 Inscrit le : 11/07/2010 Localisation : montreal Nationalité : Médailles de mérite :
Saisir la manne de la reconstruction Les opérateurs fin prêts
La Libye a presque officiellement invité le Maroc à s’impliquer dans le processus de reconstruction du pays. De l’avis des responsables libyens, qui étaient en visite mardi et mercredi derniers dans le Royaume, le Maroc dispose d’importants moyens à même de lui permettre de contribuer à ce processus. La visite du Premier ministre Abderrahim El Kib à la tête d’une importante délégation comprenant plusieurs ministres du gouvernement libyen, «donne une nouvelle impulsion aux relations maroco-libyennes et brise un obstacle qui n’a que trop duré». Et ce sont les hôtes libyens qui l’affirment. La visite de Abderrahim El Kib, il faut le reconnaître, a été l’occasion d’examiner d’importantes questions et de formuler plusieurs idées de coopération. Certes, il n’est jamais trop tard pour bien faire, mais force est de constater que le gouvernement marocain a tardé à capitaliser sur son soutien à la révolution libyenne et au Conseil national de transition (CNT) qui en a découlé. Une consolation cependant: elle vient de la part de l’Association marocaine des exportateurs (Asmex). Plus réactive que le gouvernement, certains de ses membres ont déjà effectué des déplacements en Libye, sous bonne escorte et Kalachnikovs sur les planchers des voitures, soit dit en passant. Mieux, elle a adressé un mémorandum au chef du gouvernement, Abdelilah Benkirane, dès le 2 mars dernier au terme de ses visites. Le mémorandum en question a été établi sur la base des conclusions des discussions entre représentants du monde des affaires marocains et libyens. L’Asmex et le Conseil d’affaires maroco-libyen ont, en effet, identifié de nombreux secteurs où la coopération peut être mutuellement bénéfique. Un plafond d’un milliard de dollars dans les deux sens a même été proposé dans une première phase de la coopération entre les deux pays. Ainsi, le Maroc importerait l’équivalent de 500 millions de dollars de produits énergétiques de la Libye et exporterait vers ce pays des produits et services d’un montant équivalent. Ainsi, des pôles de partenariat ont été définis entre opérateurs marocains et libyens. Un pôle financier entre les banques centrales des deux pays, auquel s’ajouteraient 3 à 4 banques de chaque côté, est à même de participer à la remise sur pied du secteur bancaire et financier libyen. Un pôle logistique est également envisagé et pourrait concerner le transport aérien, maritime et terrestre. Tripoli a besoin de l’expertise notamment de Royal Air Maroc pour mettre à niveau le transport aérien, de l’Agence nationale des ports (ANP) pour reconstruire ses installations portuaires et des transporteurs et fabricants de camions, de bus et d’autocars. Allant plus loin, l’Asmex a également retenu le secteur des assurances comme pôle de partenariat et préconise l’établissement d’un partenariat structurel entre les sociétés et compagnies d’assurances des deux pays. L’hôtellerie est aussi un domaine où l’expertise marocaine est sollicitée. Le secteur du BTP l’est encore plus. En fait, l’Asmex a déjà balisé le terrain pour le gouvernement. Ce dernier réussira-t-il à rattraper le temps perdu?
Et l’Afrique?
L’Asmex propose un partenariat maroco-libyen pour la conquête des marchés africains. Le secteur privé marocain, qui a déjà pris pied en Afrique, pourrait y jouer un rôle vu son expertise des marchés, particulièrement subsahariens. Conjuguée aux investissements libyens dans le continent, mais qu’il faut encore recenser, l’expertise marocaine peut leur assurer un développement certain à ces investissements.
Jamal Eddine HERRADI
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farewell Général de corps d'armée (ANP)
messages : 2468 Inscrit le : 13/02/2011 Localisation : ****** Nationalité : Médailles de mérite :
La Libye va être extrement courtisé, gare à ne pas être vu dans la longue file mais qui ne tente rien n'a rien...
la délégation qui est venu est vraiment importante 12 ministre presque tout le gouvernement et ils ont déclaré que le maroc aura une part des investissement et de la reconstruction , on est bon dans la marché africain yena (chaabi groupe) ona , addohha groupe et finance.com sont des leadeur en afrique btp /assurance / banque /telecom ils sont des poids lourd dans le capitale se compte en plusieurs dizaine de milliard d'euro , état algérien est p-e fort financièrement mais le privé marocain l'est aussi .
_________________ Pro rege, saepe, pro patria semper
اقسم بالله العظيم ان اكون مخلصا لله و لملكي و ان اتفانى في خدمة وطني و دفع كل خطر يهدده و ان انفد اوامرقائدي الاعلى صاحب الجلالة
farewell Général de corps d'armée (ANP)
messages : 2468 Inscrit le : 13/02/2011 Localisation : ****** Nationalité : Médailles de mérite :
Absolument leadlord la Tunisie va certainement bénéficier du marché libyen alors pourquoi pas le Maroc qui a ses cartes à jouer et ses chances je le crois... Mais je pense que les relations doivent sinscrirent dans un cadre plus large ( politique et militaire)
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Inanç Genelkurmay Başkanı
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
Absolument leadlord la Tunisie va certainement bénéficier du marché libyen alors pourquoi pas le Maroc qui a ses cartes à jouer et ses chances je le crois... Mais je pense que les relations doivent sinscrirent dans un cadre plus large ( politique et militaire)
Faut se depecher les gars, la Turquie a augmenté ses exportations de 156% vers la Libye en juillet dernier
farewell Général de corps d'armée (ANP)
messages : 2468 Inscrit le : 13/02/2011 Localisation : ****** Nationalité : Médailles de mérite :
Quand je pense que il y a peu de temps , ce pays etait dirige par un mec qui ne pouvait pas blairer le Maroc ,qu il soutenait les ennemis du Maroc directement et qui l a essaye a plusieurs reprises d y faire tomber la monarchie, et aujourdhui comme si de rien n etait , on va collaborer avec les nouveaux dirigeants dans tout les domaines.
Merci le Quatar Bon je sort.
leadlord Colonel-Major
messages : 2787 Inscrit le : 11/07/2010 Localisation : montreal Nationalité : Médailles de mérite :
Quand je pense que il y a peu de temps , ce pays etait dirige par un mec qui ne pouvait pas blairer le Maroc ,qu il soutenait les ennemis du Maroc directement et qui l a essaye a plusieurs reprises d y faire tomber la monarchie, et aujourdhui comme si de rien n etait , on va collaborer avec les nouveaux dirigeants dans tout les domaines.
Merci le Quatar Bon je sort.
mais kadafi a été remit a sa place par le maroc et après les relations sont devenu pas mal il a arreté de soutenir polizabal depuis un moment et il a fait beaucoup de gros investissement au maroc depuis mohamed 6 et twincenter
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Oui mais ils nous a fait des coups bats meme a l epoque de M6, surtout avec la delegation du Polisario a l anniversaire de la revolution lybienne ou je ne sais quoi , ou dans l interview ou un journaliste algerien(sa ne s invente pas ) lui pose la question sur la fesabilite du referundum sur le Sahara , et lui qui repond que oui oui c est faisable en ajoutant que hassan 2 lui meme lui avait dit que on pouvait faire le referundum, il a juste oublie que la position du Maroc a change , et que le referundum est aux oubliettes .
Khadaffi reste Khaddafi , que ce soit a l epoque de H2 ou de M6.
RED BISHOP Modérateur
messages : 12296 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
L'assassinat, le 19 Janvier, quelques-uns des dirigeants du Hamas à Dubaï, Mahmoud al Mabhouh, par les agents des services secrets israéliens, avec la collaboration des Arabes opposés au Mouvement de résistance islamique, il a de nouveau exposé la gamme relations qu'elle a établies avec l'Etat sioniste qui, declamativamente, d'être ses ennemis. Émergé, après avoir établi que les membres du Mossad entrés Dubaï sur les passeports européens, une série de rapports qui ont cherché à tenir compte de possibles bases israéliennes en Europe pour reconstruire le cours carte de la operación1 possible. Mais aucune carte provisoire des centres d'action du Mossad à l'étranger ne serait pas complet sans revenir nécessairement sur l'un des alliés historiques d'Israël a eu à l'extrémité ouest du monde arabe et les portes de l'Europe, nous nous référons au Maroc , un pays qui consacrent ce deuxième opus de la série.
Maroc
Ce royaume d'Afrique du Nord est l'un des cas les plus évidents de l'utilisation de la cause palestinienne comme un instrument de politique nationale afin de renforcer la légitimité du pouvoir en place.
Les relations entre Israël et le Maroc ont été établis au début et a pris part à la politique pro-occidentale marocaine est clairement indiqué dans l'adoption d'un modèle économique libéral sous la surveillance des institutions financières internationales (comme le Fonds monétaire international), et la mise en place des partenariats internationaux qui l'ont placé au sein de la stratégie américaine en Afrique du Nord2.
Même avant la déclaration de l'indépendance du Maroc, Israël avait déjà tourné leur attention vers la région du Maghreb, conscients du contexte historique que la liaison. «Depuis le milieu de S. XVII, n ° Juifs petite marocaine avait occupé des postes importants à la cour et (...) au cours de la Seconde Guerre mondiale, Mohammed V, père de Hassan, avait protégé les Juifs du Maroc à partir des Vichy lois anti-juives. (...) C'est la raison pour laquelle (...) Le Maroc a toujours entretenu des relations informelles avec Israël ou des individus. Entre cinquante et soixante, avait autorisé, même l'émigration massive de ses sujets juifs à Israel.3 "
En effet, de 1948 à 1956, année de l'indépendance marocaine, 150.000 Juifs marocains ont été transférés à la Palestine occupée, avec le consentement de Muhammad V et l'essentiel Israël logistique. Depuis 1954, le Mossad, Isser Harel à la tête, avaient établi une base au Maroc afin de suivre de près le transfert des tâches de la population judía4. Comme l'a soutenu Reviv Dan et Yossi Melman, les opérations de transfert de juifs marocains vers Israël faisaient partie d'un projet conjoint du Maroc, l'Etat sioniste et Francia.5
En dépit d'être proclamé son indépendance formelle de la France en 1956, les relations entre la monarchie marocaine et l'état est resté gaulois à bien des égards, dont l'un a été la structuration des forces de sécurité naissantes du Maghreb nouvel état. Juste "(...) le contact entre le Maroc et Israël a été facilitée par le SDECE, le bureau français d'espionnage." 6 Avec l'arrivée au pouvoir de Hassan II en 1961, et durant tout son règne, les liens entre les deux pays ne d'augmenter dans le cadre d'une alliance destinée à contenir le révolutionnaire avancée dans la région. "Un par un, la monarchie arabe a semblé disparaître de la scène. Et le roi Hassan du Maroc a décidé qu'Israël était la seule puissance capable d'arrêter le processus. En 1965, Israël avait structuré le système de la sécurité intérieure Hasan, y compris le sien de l'unité garde personnelle rey.7 "
Le degré de collaboration entre le Maroc, Israël et la France a été exposé en 1966 avec l'assassinat de Mehdi Ben Barka-intellectuel marocain sur le sol français. "Ce chef de file de l'opposition marocaine a été condamné à mort par contumace. Le service de sécurité (marocaine) commandée par le général Muhammad Oufkir a été déterminé à purger sa peine, où que vous le trouver. Oufkir a demandé l'aide de son ami israélien, le général Amit. (...) Amit et Oufkir a été trouvé en France en Septembre 1965 pour développer les détails de l'accord. Le Mossad ont tendance le piège. Le 29 Octobre 1965, des agents israéliens à Genève ont convaincu le dissident marocain un producteur de film voulait lui parler à Paris. Ils se sont rencontrés à la porte d'une banque brasserie à la mode à gauche, où trois agents de sécurité français qui ont coopéré avec les Marocains «arrêté» Ben-Barka. (...) Oufkir et ses hommes ont tué Ben-Barka et enterré dans le jardin d'une ferme à la périphérie de París.8 "Mais la disparition de Ben Barka n'est pas passée inaperçue et de la recherche faire la lumière sur le fonctionnement collectif. "Comme cela s'est produit en France et a conduit à la collaboration de la droite des éléments des services secrets français, a été une crise politique majeure, une purge des services par de Gaulle et d'un procès qui a été condamné par contumace pour assassiner le général Oufkir . (...) Toutefois, les services secrets marocains est depuis resté très proche de Mossad.9 "
La collaboration d'Israël avec le royaume d'Afrique du Nord a acquis un nouvel élan depuis 1975, lorsque le Maroc a décidé d'intégrer le territoire du Sahara Occidental, l'espace que l'Espagne venait de se retirer. Le conseil sioniste directe à l'armée, le renforcement des forces de Hassan II contre le Front Polisario et sa lutte pour l'indépendance. "Israël a vendu au Maroc une partie de ses AMX-13 de fabrication française transports de troupes blindés et" 10, tandis que celle prévue instruction aux techniques de combat guerrilleras11 formations.
Ce jumelage israélo-marocain stratégique permettra à la série de réunions entre les membres du gouvernement sioniste et les autorités égyptiennes au Maroc qui se traduiront par des accords de paix entre l'Egypte et Israël en 1978, qui ont laissé la résistance palestinienne encore plus sans défense contre l'agression israélienne. Rappelons que Yitzhak Rabin en 1976 et a volé à Rabat pour demander Hassan II "(...) Sadate a essayé d'attirer à la table des négociations. L'initiative (...) a servi à réaffirmer la coopération clandestine entre Israël et le Maroc. Tant le Mossad et la CIA ont été autorisés à visiter le territoire marocain, la prise de contact avec des personnalités arabes qu'ils jugent utile d'installer des postes d'écoute électroniques orientés vers l'Afrique du Nord et de conseiller le roi et ses fonctionnaires sur les questions de sécurité interna.12 "
L'arrivée au pouvoir de l'ayatollah Khomeiny en Iran en 1979, le Maroc est devenu le lieu privilégié des réunions tenues les services secrets israéliens, les Saoudiens et le Shah en exil générale pro, a conduit à un coup d'Etat en République islamique de supprimer un ayatullahs et la politique révolutionnaire du pouvoir. Cela n'est pas surprenant étant donné que "(...) la relation entre le Maroc et Israël ont toujours été très proche de celle d'Israël pour l'Iran du Shah. Il y avait une similitude fondamentale entre les régimes marocain et iraniens, à la fois dirigé par un monarque et une centralisation du pouvoir extraordinaire ».13
En 1986, les bonnes relations entre Israël et le Maroc rendue officielle par le sommet de garder le Roi Hassan II et Shimon Peres, qui permet le souverain marocain gagner les sympathies du gouvernement américain et le lobby sioniste influent aux États-Unis, à un moment marocain des Finances qui ont besoin plus que jamais sur aide économique américaine. La guerre contre l'Iraq détenu par la coalition dirigée par les États-Unis en 1991, le Roi du Maroc donnera une nouvelle occasion de se faire bien voir avec la puissance hégémonique, et le Maroc est le seul pays du Maghreb qui va rapidement prendre la décision d'adhérer à la force contre l'Irak avec une force multinationale de 5.000 hommes. Enfin, en 1993, le roi, en fait de reconnaître l'Etat d'Israël de recevoir officiellement le désormais Premier ministre israélien Yitzhak Rabin dans ce qui était le premier voyage de ce genre dans un pays arabe hors d'Egypte.
La mort de Hassan II en 1999, et l'hypothèse de son fils Mohammed VI au trône le 23 Juillet de cette année, il ya eu un changement dans les relations entre l'Etat sioniste et le Maroc. Un exemple très clair de ce que nous disons, c'est l'expulsion de l'ambassadeur du Venezuela au Maroc, après la condamnation de ce pays d'Amérique latine à des attaques israéliennes sur le Liban et l'expulsion de l'ambassadeur du Venezuela sioniste en 2006. Bien que les autorités marocaines a mentionné la position du Venezuela concernant le Sahara occidental, le fait est que le Maroc a estimé que le moment était opportun de réaffirmer son amitié avec Israël et le lobby sioniste en Amérique. Israël a également démontré la relation réciproque à accompagner le Maroc dans ses revendications diplomatiquement sur la española14 ancienne colonie.
Palestine comme une distraction
Maroc, comme nous l'avons vu, servi à partir de la cinquantaine comme un quartier général des opérations du Mossad israéliens en Afrique et une grande partie du monde arabe, mais un niveau discursif, l'attitude de la monarchie d'Afrique du Nord prétend être quelque chose. Afin d'obtenir le soutien de la population, le Maroc a entrepris une série d'actes symboliques en faveur de la cause palestinienne et contre Israël. Ainsi en 1973, le roi envoya plusieurs unités de l'armée pour combattre aux côtés des Syriens dans le Golan et les Égyptiens dans le Sinaï en 1978, a rompu ses relations avec l'Egypte après la signature des accords de paix avec Israël (dont le Maroc était en grande partie responsable), et, dans un geste plein de cynisme, Hassan II en 1979 la Conférence islamique a proposé la création d'un Comité pour la libération de Jérusalem, sous sa présidence.
Comme l'a soutenu par Gema Martín Muñoz, réclame en faveur de la cause palestinienne se posent chaque fois que la légitimité du régime est remis en question par des groupes d'opposition, qu'ils soient nationalistes ou islámicos15. Avec la réalisation triste de garder son peuple dans les plus hauts niveaux d'analphabétisme dans tout le Maghreb, la monarchie marocaine a réussi à rester au pouvoir grâce au réseau de relations, tels que l'Arabie cas, le placer dans un projet hégémonique plus large dans lequel Israël ne peut pas être, mais un allié.
RED BISHOP Modérateur
messages : 12296 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Texte de l'extreme gauche espagnols, rempli de malhonnéteté intellectuel
Exemple : pourquoi ne site-t-il pas le fait qu'a la suite de l'assasinat d'un Marocain en Suède, la DGED a cesser tous ses contacte avec le Mossad ? Pourquoi ne site-il pas le fait que le Maroc a rompu a plusieur reprise ses relations avec Israel en représaille au massacre des Palestinien ?
ET bien sur la même diatribe, un régime au abois qui a besoin de distraire le peuple rebelle, etc etc, la meilleur c'est le maintien de l'analphabétisme ! lol
Article digne des Torchons Algériens
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rafi General de Division
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
Texte de l'extreme gauche espagnols, rempli de malhonnéteté intellectuel
Exemple : pourquoi ne site-t-il pas le fait qu'a la suite de l'assasinat d'un Marocain en Suède, la DGED a cesser tous ses contacte avec le Mossad ? Pourquoi ne site-il pas le fait que le Maroc a rompu a plusieur reprise ses relations avec Israel en représaille au massacre des Palestinien ?
ET bien sur la même diatribe, un régime au abois qui a besoin de distraire le peuple rebelle, etc etc, la meilleur c'est le maintien de l'analphabétisme ! lol
Article digne des Torchons Algériens
Ça n'a rien a avoir avec les espagnols, c'est tiré d'ici, le Jerusalem Post: http://www.jpost.com/Features/Article.aspx?id=146367
Je met l'article complet
Citation :
Exploring the decades of secret ties between Jerusalem and Rabat.
Soon after independence, Israel began following a "periphery doctrine" in its foreign affairs: seeking ties with Arab countries on the margins of the ongoing conflict in the Middle East. No example has illustrated the wisdom of that strategy more than links with the kingdom of Morocco. Many factors explain this special relationship. In the years following their independence, both Israel and Morocco needed Western assistance to deal with domestic challenges and foreign threats, especially communism and pan-Arabism. "When Morocco became independent, its borders were wide open to hostile elements, especially Egyptian spies, who sought to build a secret infrastructure, in an effort to facilitate the Soviet penetration of North Africa," explains Shmuel Segev, former Military Intelligence officer and author of The Moroccan Connection: The Secret Relations between Israel and Morocco. "In those days, Gamal Abdel Nasser was a trusted ally of Moscow. In return for Czech weaponry and Soviet instructors, Nasser opened the gates of Africa to the Soviet Union and China. Eventually, this reality was used by Israel to convince Morocco to cooperate in the field of intelligence." Over the next few decades, Jerusalem and Rabat developed a strong secret relationship in three areas: emigration, intelligence and diplomacy. This clandestine channel would prove itself to be fruitful and ultimately lead to one of the most resounding successes of Israel's diplomacy: the visit to Jerusalem by Egyptian president Anwar Sadat in 1977. MOROCCAN JEWRY had a long and special history for more than 2,500 years. With a population of nearly 300,000 in 1948, it was the largest Jewish community in the Arab world. It was spread throughout the country, but mainly in Casablanca and Rabat. The monarchy had established a unique relationship with its indispensable, "protected" dhimmi minority. During World War II, King Muhammad V had refused to apply the anti-Semitic laws of the protectorate imposed by the Vichy regime in France, prompting fidelity from Moroccan Jewry. However, Israel's independence and the propaganda of the Arab League under Egypt's president Nasser soon created an atmosphere of oppression and constant threats. In 1954, Mossad head Isser Harel decided to establish a clandestine base in Morocco. An undercover agent named Shlomo Havilio was sent to monitor the conditions of Jews in the country. His report was alarming: The Jews feared the departure of the French colonial forces and the growing hostility of pan-Arabism; Jewish communities could not be defended and their situation was likely to worsen once Morocco became independent. Havilio had only one solution: a massive emigration to Israel. Harel agreed. Less than a year after his report, the Mossad sent its first agents and emissaries to Morocco to appraise the situation and to organize a nonstop aliya. About 90,000 Jews had emigrated between 1948 and 1955, and 60,000 more would leave in the months preceding the country's independence. Then, on September 27, 1956, the Moroccan authorities stopped all emigration, declaring it illegal. From then until 1960 only a few thousand left clandestinely each year. When Isser Harel visited Morocco in 1959 and 1960, he was convinced the Jews were ready to leave en masse to return to Zion. Soon after, Harel replaced Havilio with Alex Gatmon as Mossad head in Morocco. A clandestine militia was created, the "Misgeret" ("framework"), with central command in Casablanca and operatives recruited across the kingdom. Its goal was to defend the Jewish communities and organize departures clandestinely. On January 11, 1961, a tragedy occurred when a small boat, the Piscès (Egoz), capsized in a storm with 44 Moroccan Jewish emigrants, half of them children. All died. A new strategy had to be found for children to be taken out legally without their parents, who would then leave clandestinely. An audacious idea was proposed by Naftali Bargiora of the Jewish Agency. "Operation Mural" was born. The Mossad, with the Jewish Agency and a humanitarian children's organization, sent David Littman, a British volunteer, to Morocco. After four months of negotiations, he succeeded beyond all expectations. With Mossad contacts, Littman (code name "Mural") organized the departure of 530 Jewish children, who left legally in five convoys under the cover of "holidays in Switzerland" and from there to Israel. Operation Mural came at a decisive moment, as the innovative "collective passports" system which Littman obtained was to be used six months later for a larger emigration that succeeded with royal approval. In the summer of 1961, the Mossad chief in Morocco, Alex Gatmon - a former Nazi-hunter - met Abdelkhader Benjelloun, the Moroccan minister of labor, secretly in Paris. The king's conditions for legal emigration were to be no involvement of any "Zionist organizations," the immediate closure of secret emigration channels and the payment of indemnities for each departure. On November 27, 1961, after Israel had paid $500,000 via the Mossad, the head of national security, Muhammad Oufkir, signed the first "collective passport" allowing Jews to leave the country legally. It was the beginning of "Operation Yakhin." The figures vary, but were between $50 and $200 per head. The total cost of the indemnities paid to the Moroccan authorities was somewhere between $5 million and $20 million ($100m. to $400m. in today's money). In the end, as a result of these secret contacts, between 1962-64, the Mossad was able to bring some 100,000 Moroccan Jews to Israel. BESIDES THE Misgeret, Harel had built a second network to reach Moroccan officials and establish secret channels on the highest levels. According to Segev: "A Moroccan Jew, who was a close friend of minister of national security Muhammad Oufkir, organized a meeting between Oufkir and the Mossad in a hideout in Paris. Nothing came out of it - Oufkir was not yet ready for any intelligence cooperation with Israel." But quietly, relations began to improve in late 1959-60, and especially after the death of King Muhammad V in February 1961 and the crowning of Hassan II. The Mossad offered to train the bodyguards for the throne. It also trained the kingdom's intelligence services, whose organization was very poor at that time - teaching them how to prevent Algerian and Egyptian agents from breaking into Moroccan embassies in Cairo and Algiers. In 1965, the Mossad under director Meir Amit found itself obliged to answer the king's call to trace the dissident Mehdi Ben Barka, a case which would haunt Morocco for decades. But contrary to enduring rumors, the Israeli role was only limited to supplying Morocco with the address of a kiosk where Ben Barka picked up his mail whenever he stayed in Geneva. Moroccan intelligence watched that kiosk and finally discovered Ben Barka's residence. However, Israel was not involved in the operation after Ben Barka left Geneva for Paris and met his tragic fate. Says Jean Baklouti, former head of the French counterintelligence agency (DST): "Ben Barka was later trapped and killed by Moroccan operatives assisted by the 7th section of the French domestic secret service (RG)." Israeli intelligence remained close to the king over the years. In the early 1970s, Israel's old contact, Oufkir, tried to conspire against the throne. He openly shared his intentions and Israel immediately warned Hassan II. The coup failed, and the king would never forget this crucial help from Jerusalem. Over the years, this secret channel kept improving, and Israel remained active in supplying Morocco with weapons and intelligence, especially related to the Sahara conflict. ON MIDDLE EASTERN issues, King Hassan II's interest in peace was not new. In the late Fifties, before his coronation, he had shocked people during a visit in Lebanon by arguing that the only solution for the enduring conflict was to make peace and incorporate Israel in the Arab League. The king was fascinated by the idea of the "reconciliation of the Semitic brotherhood," although he never expressed it in the early years of his reign, aligning his country with the anti-Israeli alliance. However, from the mid-1970s onward, Hassan II began to increasingly advocate "dialogue" and warn his Arab counterparts of the dangers of "prolonged conflicts" to their own societies. The kingdom therefore held many high-level conferences related to the Middle East, and kept the secret channel with Israel wide open. When Jerusalem began to seriously consider peace with Egypt, Morocco offered its help as facilitator. In October 1976, Yitzhak Rabin visited Morocco for that purpose, but Egyptian president Anwar Sadat found him "too weak" and didn't answer his overtures. It all changed with the election of Menachem Begin in 1977. Sadat showed his interest. Furthermore, to build a real channel with Egypt, the Mossad passed intelligence to its Egyptian counterparts through Moroccan services, warning Sadat of a Libyan plot targeting him. This deeply impressed the Egyptian leader. Soon after, Mossad chief Yitzhak Hofi travelled to Rabat, met the king and began negotiations with Sadat's deputy, Hassan Tuhami. In September 1977, a new meeting was held between foreign minister Moshe Dayan and Sadat's deputy in Rabat, proving once again that intelligence and diplomacy were be able to work with each other: "It's important to stress the Mossad's role in this episode," explains Segev, "because without Hofi, the Dayan-Tuhami meeting would not have taken place." On November 17, 1977, Sadat went to Jerusalem in a historic visit which would change the Middle East forever. More than 20 years after Israel's first dealings with Morocco, the connection between the Jewish state and the kingdom revealed its enormous potential. AND TODAY? In the fields of intelligence, but also in culture and economics (trade between the two countries is worth $100 million a year), Morocco and Israel have common interests. The fight against terrorism is also a challenge they both face daily: "The Mahgreb has much to gain by not siding in a blind partisan fashion with the rogue regimes of the greater Middle East," says Canadian-born Michael Ross, a former Mossad agent and author of The Volunteer. "Morocco should resist attempts by al-Qaida to establish a stronger foothold in North Africa." This shared past also keeps Morocco and Israel close. In March 2009, a Casablanca-based newspaper, Le Soir Echos asked for an interview and published the story of Operation Mural and the secret aliya of Jewish children. It was the first time since 1961 that Moroccans learned about David Littman and this particular episode of the Israel-Morocco secret relationship. Littman, who will be honored by the Israel Intelligence and Commemoration Center in a ceremony this summer, took the opportunity of the interview to address Moroccans with a call for action: "A solution to the Arab-Israel conflict is only possible with the help of a state trusted by both sides," he said. "Morocco lies in this very unique position. King Muhammad VI should come to Jerusalem, address the Knesset and fulfill the dream of peace of his father, the late Hassan II." In the columns of the Casablanca daily, Littman also expressed his hope that this enduring relationship between Morocco and Israel serve as an example to other countries and an encouragement to negotiators, as well as a reminder to all that despite difficulties, reconciliation can be achieved.
Dim 17 Juil 2011 - 12:46
. Tripoli aimerait que les Marocains apportent toute l’aide nécessaire pour faire redémarrer la machine économique en Libye. La technicité marocaine serait sollicitée également pour participer à la réorganisation des nouvelles forces armées libyennes. En contrepartie, Tripoli serait prête à reprendre l’investissement au Maroc. Plusieurs intérêts libyens existent toujours au royaume. Les relations entre les deux pays vont, selon les observateurs, aller crescendo. La Libye voudrait desserrer l’étau algérien et tourner la page des Tunisiens.
Bon je sort. 
