Actualités du Sahara Marocain

Rappel du premier message :

Les junkies de podemos multiplient les déclarations en soutien aux terroristes algéro-polzs et l'Espagne a peur que le Maroc ne le lui fasse payer.... c'est la 3e fois que la mae espagnole répète la même déclaration ......

MAP a écrit:

La position de l’Espagne sur le Sahara, une “politique d’Etat” (cheffe de la diplomatie espagnole)

vendredi, 27 novembre, 2020 à 15:57

Madrid – La position du Royaume d’Espagne sur la question du Sahara “reste toujours inchangée” parce qu’il s’agit d’une “politique d’Etat”, a affirmé la ministre espagnole des Affaires étrangères, de l’UE et de la coopération, Arancha Gonzalez Laya.

“Au sein d’un gouvernement de coalition comme le nôtre il peut y avoir des opinions différentes et des sensibilités différentes. Toutefois, notre position sur la question du Sahara demeure inchangée. Il s’agit d’une politique d’Etat”, a souligné Mme Gonzalez Laya qui était l’invitée, jeudi, d’une émission sur la radio nationale espagnole (RNE).

“La politique extérieure de l’Espagne est fixée par le ministère des Affaires étrangères en coordination avec le président du gouvernement”, a relevé la cheffe de la diplomatie espagnole, faisant observer que la position de son pays sur la question du Sahara “est constante et n’a subi aucun changement”.

Mme Gonzalez Laya avait réitéré la semaine dernière que son pays plaide pour un “soutien total” au Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, afin qu’il puisse “garantir le maintien du cessez-le-feu” au Sahara et faire avancer “une négociation qui permette une solution politique, négociée, juste et durable conforme aux résolutions pertinentes du Conseil de sécurité de l’ONU”.

“Pour l’Espagne, l’important, ce sont les résolutions des Nations unies. Toutes. La dernière, en octobre de cette année, exprime clairement les paramètres de cette négociation”, avait clarifié Mme Gonzalez Laya.

Dans ce sens, elle avait indiqué avoir transmis, elle-même, cette position lors de “nombreux contacts maintenus ces derniers jours avec le Maroc, la Mauritanie, l’Algérie et le Secrétaire général des Nations unies, pour promouvoir cette voie de dialogue”.

Merci Quickshark, j’aurai pas dit mieux.

Fahed64 a écrit:

forcemarok a écrit:

dudux a écrit:

Ils admettent leur défaite,
au moment où l'Algérie surveillait le Maroc et faisait tt pour compromettre une solution au Sahara marocain en employant tt ses moyens de bord (économiques, diplomatiques ou militaire) elle creusait sa tombe sans se rendre compte que le monde d'aujourd'hui n'est plus celui des années 70, aujourd'hui les intérêts priment sur tt, les discours et les jeux de cirque (pseudo manœuvres militaires) pour faire peur ou se montrer fort, mm la Corée du nord n'en fait plus.

Il deviens encore plus objectif tous d'un coup

LMarouuk 7agrouna !

Wallah que c'est bon à entendre " C'est une défaite cuisante pour l'Algérie ce qu'il c'est passé aujourd'hui".

Gloup ! une ptite gorgé d'eau pour faire passer la pilule

Citation :

Nasser Bourita : "La reconnaissance américaine de la souveraineté du Maroc sur le Sahara ne s'est pas faite en échange du rétablissement des relations avec Israël"


Suite à l’annonce, ce jeudi 10 décembre, de la reconnaissance par les Etats-Unis de la souveraineté du Maroc sur le Sahara, le ministre des affaires étrangère Nasser Bourita a réfuté dans une déclaration au média Sputnik que "la reconnaissance américaine de la souveraineté du Maroc sur le Sahara soit faite en échange du rétablissement des relations avec Israël”.

Pour le ministre des Affaires étrangères, les relations entre les deux parties datent des années 1990, le Royaume disposant jusqu’en 2002 d’un bureau de liaison avec Israël. « Certaines décisions qui nécessitaient le rétablissement du contact avec Israël ne peuvent être considérées comme une normalisation, d’autant plus que les relations existent entre les deux parties depuis de nombreuses années », précise-t-il.

Nasser Bourita a par ailleurs fait savoir que « le roi Mohammed VI a insisté sur la position marocaine par rapport à la cause palestinienne, qui reste inchangée ».

Par la même occasion, le ministre des affaires étrangères a affirmé dans une déclaration à la chaîne Al Jazeera que la reconnaissance des États-Unis de la souveraineté du Maroc sur le Sahara est l’aboutissement de deux années de discussions entre les deux pays, notant qu’à travers cette décision, les puissances mondiales confirment qu’il n’existe pas de solution à la question du Sahara en dehors de la proposition marocaine.

Nasser Bourita a fait savoir dans son appel que le bureau de liaison avec Israël, qui a été inauguré en 1994, sera réouvert, notant que le souverain a contacté directement après l’annonce le président palestinien Mahmoud Abbas afin de l’informer de ces développements.

Le ministre a par ailleurs souligné que le développement des relations avec Israël ne se ferait pas au détriment de la cause palestinienne, notant que le Maroc réaffirme sa position par rapport à la séparation des deux États et la préservation du statut d’Al Qods.

https://telquel.ma/2020/12/10/nasser-bourita-la-reconnaissance-americaine-de-la-souverainete-du-maroc-sur-le-sahara-ne-sest-pas-faite-en-echange-du-retablissement-des-relations-avec-israel_1704455

Et ce qu'il y aura en contrepartie un transfert de partenariat de technologie US d'armement local pour le Maroc en contre partie de sa normalisation avec Israel puisque les USA ont signée une coopération militaire de 10 ans avec le Maroc, quelque semaines avant la normalisation

Il faut savoir que notre diplomatie à réussi un grand coup. Pour ceux qui se demandent pourquoi on a normaliser avec Israël maintenant. La réponse est simple c'était notre seule occasion la seule fenêtre. Si Bayden prend la direction à la maison Blanche est ce que vous pensez qu'il va reconnaître notre souveraineté sur le Sahara peu importe ce qu'on lui propose. Donc c'était vraiment arraché à la dernière minute..
Maintenant que les USA ont une ambassade à Dakhla on peut penser à un AFRICOM au sud, ça va être le coup de grâce aux séparatistes et son soutien.

Nonobstant cette grande victoire pour notre diplomatie, je vous réfère à la sortie de Bourita et Hilale concernant la situation au lendemain de Guerguerat

En gros le Polisario s'est mis hors jeux et de laisser entendre qu'il n'y a rien à négocier

bradli23 a écrit:

Il faut savoir que notre diplomatie à réussi un grand coup. Pour ceux qui se demandent pourquoi on a normaliser avec Israël maintenant.  La réponse est simple c'était notre seule occasion la seule fenêtre.  Si Bayden prend la direction à la maison Blanche est ce que vous pensez qu'il va reconnaître notre souveraineté sur le Sahara peu importe ce qu'on lui propose. Donc c'était vraiment arraché à la dernière minute..
Maintenant que les USA ont une ambassade à Dakhla on peut penser à un AFRICOM au sud, ça va être le coup de grâce aux séparatistes et son soutien.

Dans la zone qui était tampon (Tifariti)

Avec tout mon respect c'est uniquement votre très personnel opinion qui n'exprime en aucun cas la réalité des choses tu peux exprimer ton désagrément tant que tu veux mais c'est une grande victoire qui a nécessiter beaucoup de travail et beaucoup d'efforts de la part de nos responsables. Notre cause n'est ni entaché ni oilou notre cause est sacré et Dieu nous récompense pour nos sacrifice et notre travail, point barre

romh a écrit:

Avec tout mon respect c'est uniquement votre très personnel opinion qui n'exprime en aucun cas la réalité des choses tu peux exprimer ton désagrément tant que tu veux mais c'est une grande victoire qui a nécessiter beaucoup de travail et beaucoup d'efforts de la part de nos responsables. Notre cause n'est ni entaché ni oilou notre cause est sacré et Dieu nous récompense pour nos sacrifice et notre travail, point barre

Tout comme ce que tu dit, c est ton opinion personnel, qui également, ne reflete pas la réalité  
avec tout mon respect.

Alloudi a écrit:

C'est une offense pour tout les sacrifices, consenti par le peuple marocain pour sa cause juste, que de l'entacher par de telles manœuvres.

l'insulte aux martyres c'est ça ,

Nos milliers de martyre et nos dizaine de milliers d’orphelins eux c'est des chats et notre cause juste et sacré  ne méritent pas le soutien tranquille.






.

Ssi Alloudi je peux vous poser deux questions et j'espère une réponse sincère de votre part :

Au vu des rebondissements actuels :

1- Comment voyez-vous l'évolution de la cause palestinienne dans 10 ans (en 2030)?

2- Comment voyez-vous l'évolution de la cause de notre Sahara dans 10 ans (en 2030)?

Ca aurait été bien si on pousse les bouchons plus loin encore , avec un pti tweet de trump qui reconnaît sebta et melilia sont marocaines 🤫

@QuickShark, Je n'en ai aucune idée.

je dirait de moins en moins de marge de manœuvre diplomatiques, pour s'opposer à la colonisation israélienne, qui entrainera plus de frictions en interne chez les palestiniens.

et plus de marge de manœuvre pour le Maroc au delà du Mur. peu être récupération de la NML à très court terme.

Le point de vue des démocrates ... rien n'est joué, certain droit de l'hommiste vont bien essayer de l nous la mettre profonde !

Les prochains mois vont être cruciaux. Les démocrates si ils reviennent sur la décision de Trump enverront un message clair au pays du golf "we are back"...

On va devoir user de toute notre influence pour entériner la décision de fait !

Citation :

How a Long Insurgency Plays Into Trump’s Move on Morocco
The 45-year-old fight between Morocco and separatists in Western Sahara threatens to return to outright war. By recognizing Moroccan sovereignty, the U.S. has taken sides for the first time.

President Trump’s decision to endorse Moroccan control of Western Sahara puts the United States once again at odds with world opinion, as it takes sides for the first time in a decades-long struggle at a moment when that conflict threatens to return to open warfare.

Even when Spain controlled Western Sahara, Morocco, which lies just north of it, claimed sovereignty over the region. In 1975, Spain withdrew from the territory, a vast, arid expanse on the northwestern shoulder of Africa that is larger than Britain but has fewer than 600,000 people.

Moroccan forces moved in, while the Polisario Front, a separatist movement of the Sahrawi ethnic group, declared independence for Western Sahara, calling it the Sahrawi Arab Democratic Republic. They fought a 16-year war that ended in a 1991 cease-fire, with Morocco holding most of the territory.

Last month, Morocco launched a military incursion into the United Nations-controlled buffer zone between the two sides, and Polisario responded by repudiating the cease-fire, suggesting a return to armed conflict, but so far that has not happened.

Here is a look at the long-running dispute and what it means for the region.

How much support does each side have?

Dozens of countries, including most of those in Africa, have formally recognized the Sahrawi republic — though the world’s major powers and the United Nations have not — and many more have expressed varying degrees of support.

Most importantly, Algeria, which borders both Morocco and Western Sahara, has actively supported Polisario and is home to more than 100,000 Sahrawis living in refugee camps; and Mauritania, which has the longest border with Western Sahara, also sides with the Sahrawi republic.

Despite that recognition, Morocco controls most of the country, including the entire 500-mile-long Atlantic coast, while Polisario is limited to occupying parts of the desert interior.

A 1979 U.N. resolution recognizes the right of Western Sahara’s people “to self-determination and independence,” considers Polisario as their representative, and “deeply deplores” Moroccan occupation.

While many countries have tacitly recognized Morocco’s annexation of Western Sahara, experts on the region say that until now, they have not done so officially. ( pour eux pays = occident, sinon tu existes pas )


Since the 1970s, Morocco has encouraged its people to settle in Western Sahara, sharply shifting the demographic balance — and, presumably, local public opinion. Much of the world considers this resettlement illegal.

The 1991 cease-fire agreement included the promise of a referendum on independence, demanded by Polisario, but it has never taken place, despite repeated U.N.-mediated talks on holding a vote.

How dangerous is the situation?

Another war could draw in the involvement of other countries, turning it into a regional conflict. And instability and war could create openings for violent Islamist groups operating in Western Africa, as it has in several other countries.

The United States, France and others have worked with countries in or bordering the vast sub-Saharan region known as the Sahel to fight those insurgencies. A war in Western Sahara, particularly if it pitted neighboring countries against each other, would significantly hinder that effort

But it is not at all clear how eager Polisario and Morocco are to resume fighting, or how willing other countries are to get involved.

War or not, Mr. Trump’s action is especially likely to cause friction with Polisario’s most important ally, Algeria, said Sarah Yerkes, a senior fellow in the Middle East Program of the Carnegie Endowment for International Peace.

“I think this will jeopardize U.S. relations with Algeria significantly — at least until Jan. 20,” when Joseph R. Biden Jr. is to be sworn in as president, she said. “For now this is just a statement, so Biden could easily say his administration disagrees with this statement and supports a U.N.-negotiated settlement, not a unilateral statement by a lame duck administration.”

What does Morocco get out of the deal?

King Mohammed VI of Morocco, like his father, Hassan II, has argued for decades for international recognition of Western Sahara as part of his country. To receive that backing first from the United States is a boost in prestige and may raise Moroccan hopes that other countries will follow.

“Symbolically it matters a great deal,” Dr. Yerkes said. “Basically it is an ‘I told you so’ to the international community.”

In addition to recognizing Morocco’s claim of sovereignty, the Trump administration’s on Thursday also announced that Morocco had agreed to begin normalizing relations with Israel.

Morocco could reap gains from normalized trade with Israel, but Western Sahara itself has few natural resources to exploit.

Some countries have sought improved relations with Israel to tap into its expertise in intelligence and high-tech weaponry. Azerbaijan’s success in its recent war with Armenian forces rested heavily on the use of sophisticated drones supplied by Israel.

But Morocco and Israel have already had close cooperation in military and intelligence matters for decades, despite their lack of official ties.

https://www.nytimes.com/2020/12/10/world/africa/morocco-western-sahara-conflict-explained.html

Un autre. Les démocrates l'ont mauvaise car un retour en arrière semble "très difficile".

3B$ d'investissement à la clé

Citation :

Morocco Joins List of Arab Nations to Begin Normalizing Relations With Israel
Morocco follows Bahrain, Sudan and the United Arab Emirates in setting aside generations of hostilities toward the Jewish state, part of a major foreign policy effort of the Trump administration.


WASHINGTON — Morocco has agreed to a rapprochement with Israel in return for American recognition of the kingdom’s sovereignty over a long-disputed territory, under a deal announced on Thursday that gives President Trump another diplomatic victory in his final weeks in office.

With the agreement, which has been under discussion since 2017, Morocco becomes the fourth Muslim-majority state to pledge warmer official relations with Israel this fall under accords brokered by the Trump administration.

It undercuts an independence movement in the Western Sahara region, which has rejected Morocco’s claims of sovereignty, with United Nations support, and could fuel instability in that yearslong dispute.

The Moroccan government downplayed the announcement from Washington that the move amounted to a full or new normalization with Israel, noting years of ongoing if opaque relations. Moroccan officials also conspicuously committed only to reopening so-called liaison offices with Israel — not embassies or consulates — pledging vaguely to “resume diplomatic relations as soon as possible.”

Mr. Trump announced Morocco’s inclusion in the Abraham accords that his administration has fostered, declaring it on Twitter as “a massive breakthrough” for Middle East peace. Morocco joins Bahrain, Sudan and the United Arab Emirates in agreeing to set aside generations of hostilities toward Israel over the Palestinian conflict as part of a campaign to stabilize the Middle East and North Africa.

Briefing reporters in Washington, Jared Kushner, the president’s senior adviser and son-in-law, said the agreement called for Morocco to open full diplomatic relations and formalize economic ties with Israel. It will also allow overflights of its air space and direct commercial flights to Moroccan airports from Tel Aviv, Mr. Kushner said.

Prime Minister Benjamin Netanyahu of Israel celebrated the announcement at a prearranged, televised Hanukkah lighting ceremony in Jerusalem, accompanied by David M. Friedman, the American ambassador to Israel.

“There have been strong ties between Morocco and the Jewish people throughout the entire modern era,” Mr. Netanyahu said. He predicted “a very warm peace,” given that Israel and Morocco have maintained some ties for more than half a century.

Both Mr. Trump and Mr. Netanyahu have made the accords — normalized relations between Israel and Muslim states that long have been aligned with the cause of the Palestinians — a focus of their respective campaigns to hold onto power.

Mr. Trump lost the November election to President-elect Joseph R. Biden Jr., and Mr. Netanyahu is potentially facing a new round of elections in Israel amid a paralyzed government there.

Thursday’s agreement also hands Morocco’s monarch, King Mohammed VI, a long-demanded prize: American recognition of Moroccan sovereignty over the disputed Western Sahara territory.

Recognizing Moroccan sovereignty over Western Sahara is an unusual move from the United States, and comes at a critical time for the region.

fter years of war, the U.N. brokered a cease-fire in 1991 that called for a referendum on independence for Western Sahara. Blocked by Morocco, that referendum has still not been held.

Last month, after Morocco launched a military operation in a buffer strip patrolled by U.N. peacekeepers, the Western Sahara’s pro-independence Polisario Front declared war and threatened a full-blown military conflict.

“It’s something that can pretty dramatically escalate, and Trump has just lit it on fire,” said Hannah Armstrong, an independent analyst who has worked on the Maghreb and Sahel regions for over a decade.




Mr. Kushner suggested that recognizing Morocco’s sovereignty over an area where it mostly already maintains administrative control could “possibly break the logjam.”

“This is an issue that’s been out there for a long time, and quite frankly, there’s just been no progress on a resolution,” he said. As part of the recognition agreement, the United States diplomatic mission to Morocco will open a consulate in Dakhla, a city in Western Sahara.

It will be difficult for Mr. Biden’s incoming administration to return to a role as an impartial actor committed to resolving the dispute. A spokesman for Mr. Biden’s transition team declined to comment on Thursday.
In a rebuke to the Trump administration from a fellow Republican, Senator James M. Inhofe of Oklahoma, the chairman of the Armed Services Committee, said the “rights of the Western Saharan people have been traded away.”


The deal came together with the help of a Moroccan investor, Yariv Elbaz, who does business in Israel, and acted as a go-between for Washington and Rabat. In talks dating to 2017, officials discussed the promise of American recognition of Western Sahara as a condition of warming ties with Israel.

But the Moroccan king was deeply hesitant to jeopardize his standing in the Arab world, according to two Moroccan officials briefed on those efforts who spoke on the condition of anonymity because they were not authorized to discuss them.

Mr. Elbaz later informed the Moroccan government that the Trump administration was willing to help facilitate as much as $3 billion in investments, much of that earmarked for Moroccan banks, hotels and a renewable energy company owned by the king, the officials said. The effort was to be coordinated by the United States International Development Finance Corporation.

A senior Trump administration official confirmed on Thursday that the development office was considering investments worth up to $3 billion in Morocco over three years, but said they were not linked to the reconciliation with Israel.

Morocco’s government now finds itself in the same uncomfortable position of having to explain its warming relations with Israel — at the cost of longtime sympathy for Palestinians — as other nations that have signed onto the Abraham accords.

“The move shows that #Morocco’s regime is willing to sell its soul to maintain its illegal occupation of parts of #WesternSahara,” Sidi Omar, the Polisario Front’s representative at the United Nations, wrote on Twitter.

Mohamed Daadaoui, a Moroccan academic, noted that Morocco and Israel already had economic, military and cultural ties. “Not sure this is the best decision #Morocco should make right now domestically,” he wrote on Twitter.

As the deal was being announced in Washington, King Mohammed VI called Mahmoud Abbas, the Palestinian leader. Nasser Bourita, the Moroccan foreign minister, said the king affirmed his commitment “to the Palestinian cause, which remains unchanged.”

Hanan Ashrawi, a veteran Palestinian leader and politician, denounced Mr. Trump’s administration as “scrambling to do anything it can to extract concessions and benefits for Israel.”

“There is something extremely immoral in the way they are exploiting countries’ needs and demands,” she said.

More than one million Israelis are of Moroccan descent, Mr. Kushner said, most of whom arrived in the 1950s. Many Israelis have visited Morocco in recent years, traveling via third countries but entering on Israeli passports.

Today, Morocco has a Jewish population of about 4,000, said Samuel L. Kaplan, the U.S. ambassador to Rabat from 2009 to 2013. That is down from more than 200,000 Jews who lived in Morocco when Israel was established in 1948 but who then began responding to calls to immigrate to Israel.

The two countries have long had intelligence ties, including a shared operation in 1995 to recruit Osama bin Laden’s Moroccan secretary to gather information and ultimately assassinate him. Israel has in the past also lobbied the United States to provide Morocco with military equipment.

Liaison offices between Israel and Morocco were established in 1994 after the Israeli-Palestinian peace agreements known as the Oslo Accords, but they closed after the outbreak of the second Palestinian intifada, or uprising, in 2000. They will be reopened as part of Thursday’s agreement, Mr. Bourita said.

If the two countries ultimately open embassies, Israel’s new agreement with Morocco would be similar to the accords that the Trump administration helped broker with Bahrain and the United Arab Emirates in September.

By contrast, Sudan has stopped short of declaring full and normalized relations with Israel and recently threatened to withdraw from the agreement if Congress does not give it immunity from terrorism lawsuits that families of victims of the Sept. 11, 2001, attacks want to bring against the country for harboring Mr. bin Laden years before the attacks.

The Trump administration had long hoped Saudi Arabia would join the push for normalizing relations with Israel. So far, the Saudis have insisted that more progress must come first on peace between Israel and the Palestinians.

But Thursday’s announcement could help smooth the way, given the close relations between Morocco and Saudi Arabia and the special bond between the royal houses of those two countries.

Ehud Yaari, an Israel-based fellow of the Washington Institute for Near East Policy, said the deal “will make it easier for Saudi Arabia to take the step when it is ready to do so.”

https://www.nytimes.com/2020/12/10/world/middleeast/israel-morocco-trump.html

on est loin du proche orient et notre normalisation avec Israel ne va rien changer dans la situation des Palestinians, d'autant plus que l'Algérie ne peut rien changer de la situation apart des slogans vides qu'elle utilise pour faire du parallélisme avec notre cause (soutien de l'autodetermination).

est ce que l'Algérie a autant aider financièrement les palestiniens que les sandalos.
on a été clair avec les palestiniens ce rapprochement ne sera pas au détriment de leur cause et on va toujours les soutenir.

pour ceux qui se sentent offusqués par ce deal, je leur rappelle nos martyrs et nos soldats prisonniers qui sont restés séquestrés sur le sol algérien des décennies. c'est bien un pays frère qu'on a aidé pour avoir son indépendance qui nous a causé tous ces malheurs et non pas Israel.

je vous rappelle que l'ANP nous a menacé avec son dernier éditorial. ils ont dépassé les limites et ils ont déclarer haut et fort leur vraies intentions, on est pas en face des sandalos mais de l'ANP.

on a jamais menacé personne mais là avec ce que ce deal va ouvrir comme opportunités, la peur doit changer de camp.

Allez et un autre du Washington Post. Comme dirait notre cher Adam, c'est un but hors du temps de jeu que nous venons de marquer.

Celui la est terrible. C'est littéralement House Of Cards

Trump apparemment voulait reconnaître le Sahara avant mais un Chevrophil republicain influent au sénat le faisait hésiter ( pour des raisons de politique intérieur).

Mais dernièrement brouille entre les deux et Trump a laché la salve de Tomahawk

Nos ennemis ont des pions très bien placés au sein de l'appareil US

Citation :

Morocco and Israel to establish diplomatic relations with U.S. backing

Morocco and Israel agreed Thursday to establish diplomatic relations in a deal brokered by the United States, making the North African nation the fourth Arab-majority country in recent months to say it would normalize ties with Israel.

The agreement with Morocco had been anticipated for months, but was held up by Moroccan demands that the United States recognize its sovereignty over a disputed border region, U.S. and other officials familiar with the discussions said.

That logjam broke this month, as President Trump’s tenure nears its end. No other Western democracy has backed Moroccan sovereignty over the Western Sahara region, and Trump’s turnabout ends more than 40 years of official neutrality.

Sen. James M. Inhofe (R-Okla.), a Trump ally and powerful chairman of the Senate Armed Services Committee, has championed the cause of Algerian-backed separatists in that region for years.

“He could have made this deal without trading away the rights of this voiceless people,” Inhofe said on the Senate floor, referring to Trump.
Le chevrophile

Trump’s decision came a week after he had criticized Inhofe for refusing to hold up the annual defense spending bill over Trump’s demand that it be used to repeal a federal law granting liability protection to technology companies.

Trump has waged a fight with technology companies such as Twitter that have started to crack down on right-wing misinformation online.

“I will VETO!” Trump tweeted on Dec. 3.

Inhofe’s support for the separatists had made Trump reluctant to act earlier, said a U.S. official and a foreign official with knowledge of the negotiations. They spoke on the condition of anonymity to discuss sensitive diplomacy.

“In the conversations before the elections with the U.S. administration, they often said that the president would have liked to move forward and recognize the full sovereignty of the Kingdom of Morocco over the entire Moroccan Sahara, but that they couldn’t move forward because they didn’t want to lose the support of the senator from Oklahoma who was against that step,” said the foreign official.

“However, in recent time, we heard that the situation had changed and it opened new opportunities for moving conversations forward.”

In an interview, Inhofe said he was blindsided by Trump’s action. Inhofe said the White House did not threaten retaliation or link the two issues.

“I found out when you found out. And so, I don’t think that’s true,” Inhofe said of whether the policy shift was connected to the defense bill. “I think, his staff has been trying to get him to do this for a long period of time. And he hasn’t done it.”
il a appris la nouvelle comme nous sur Twitter

Trump is “running, arguably, out of time,” and wants to secure his foreign policy victories, Inhofe said.

“So I think that’s the driving force, as opposed to trying to get at me.”

Trump announced the diplomatic deal and the policy shift in tweets.

Winning U.S. recognition of Moroccan sovereignty over the region has been a chief policy goal for Morocco, which is among the most populous Arab states and a key prize among countries the Trump administration has courted.

“This is something that’s been talked about for a long time but something that seemed inevitable at this point and something that we think advances the region and helps bring more clarity to where things are going,” Jared Kushner, Trump’s son-in-law and Middle East negotiator, told reporters about the Western Sahara shift.

Shortly after the deal was announced, two congressional aides said the Trump administration is expected to ask for a go-ahead to sell additional U.S.-made weapons to Morocco. The aides, who spoke on the condition of anonymity because they were not authorized to discuss the matter on the record, said the sale is expected to include military drones.

The administration is seeking an expedited congressional review of the sale with an aim to get it approved before the close of the congressional session and the end of the Trump administration, in January, the aides said.

This week, senators failed to block a similar arms sale that the administration announced for the United Arab Emirates in the wake of that country’s signing a peace deal with Israel that had been announced in August. The $23 billion sale will make the UAE the first Arab country to acquire F-35 fighter jets, alongside Reaper drones, missiles and munitions.

The piecemeal diplomatic and economic agreements between Israel and Arab neighbors have become a hallmark of Trump’s unorthodox approach to foreign affairs. They are likely to stand as his main legacy in the Middle East, where he once hoped to broker what he called the “ultimate deal” settling decades of enmity between Israel and its neighbors.

President-elect Joe Biden has welcomed the initiative.

Like the agreements between Israel and the UAE, Bahrain and Sudan, the Moroccan accord ­bypasses the Palestinians, who want a comprehensive peace deal with Israel on terms Israel has rejected.

Palestinian leaders have branded Arab states as traitors for making individual agreements, although the UAE had conditioned its deal on Israel’s shelving potential plans to annex parts of the West Bank that Palestinians claim for a future state.

Israel’s relations in the Middle East, explained

Trump spoke by phone Thursday with Morocco’s King Mohammed VI to secure the agreement, under which Morocco and Israel will establish full diplomatic ties and official contacts, as well as direct flights between the two countries.

Trump affirmed the strength of U.S.-Moroccan ties, which date to 1777, according to a summary of the conversation released by the White House.

Also Thursday, Morocco’s official Ewa news agency published an open letter to Biden that accused the separatists of violating a cease-fire and maintaining ties to regional armed groups.

The separatist movement, often known as the Polisario, “jeopardizes peace and security in the whole region, rendering it a breeding ground for terrorism,” the letter said.

The matter is not settled, Inhofe said. He noted that international organizations including the United Nations and the African Union do not recognize Moroccan sovereignty and should not budge.

“I urge these organizations to stand strong to support Western Sahara’s right to self-determination and am confident the U.S. will be able to return to the policy we’ve held since 1966,” Inhofe said. il veut encore des $$$

A communique from Morocco’s royal cabinet on the agreement said official contacts and diplomatic relations with Israel would come as soon as possible. The agreement announced in Washington contains no deadline for the opening of embassies, but Kushner said it would happen soon.

The kingdom said it plans economic and technological cooperation and would work to reopen liaison offices in the two countries that operated for several years until being closed in 2002.

Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu thanked Trump and Mohammed for what Netanyahu called a “historic peace.”

“The people of Morocco and the Jewish people have had a warm relationship in the modern period. Everybody knows the tremendous friendship shown by the kings of Morocco and the people of Morocco to the Jewish community there,” Netanyahu said in a statement issued by his office.

Morocco has an ancient Jewish community, and Mohammed’s grandfather is credited with saving Jewish lives during the Holocaust.

“This will be a very warm peace. Peace has never — the light of peace on this Hanukkah day has never — shone brighter than today in the Middle East,” Netanyahu said.

The Israeli and Moroccan ambassadors to the United Nations spoke by phone on Thursday, the Israeli U.N. mission announced.

The deal leaves unresolved whether Trump can deliver a deal between Israel and Saudi Arabia before he leaves office next month. Trump has predicted such an agreement will come under his auspices, but time is running out. Trump denies he lost the November election.

https://www.washingtonpost.com/world/middle_east/israel-morocco-diplomatic-ties/2020/12/10/e9122db2-3b06-11eb-aad9-8959227280c4_story.html

L administration de Biden peut dès le premier jour retirer cette reconnaissance par une simple signature sur un papier. Ce qui a fait Trump pour l accord nucléaire iranien.
Biden a fait compagne sur le retour des Usa sur la scène internationale, et on sait ce que ca veut dire pour les américains :vous nous donnez ce qu on veut ou on vous déclare un regime non démocratique, non respectueux des droits humains  passable pour des sanctions et des bombardements.

J espère  que les républicains gardent la majorité au sénat pour les freiner, sinon on aura 4 ans d instabilité mondiale.

Shugan188 a écrit:

L administration de Biden peut dès le premier jour retirer cette reconnaissance par une simple signature sur un papier. Ce qui a fait Trump pour l accord nucléaire iranien.
Biden a fait compagne sur le retour des Usa sur la scène internationale, et on sait ce que ca veut dire pour les américains :vous nous donnez ce qu on veut ou on vous déclare un regime non démocratique, non respectueux des droits humains  passable pour des sanctions et des bombardements.

J espère  que les républicains gardent la majorité au sénat pour les freiner, sinon on aura 4 ans d instabilité mondiale.

ce n'est pas pareil, Trump s'est retiré de certains accords, l'accord climatique et l'accord avec l'Iran. Biden va lever les sanctions et négocier avec l'Iran et revenir à l'accord sur le climat.

il ne va pas retirer la reconnaissance des USA de la marocanité du sahara ni fermer l'ambassade des USA a Jerusalem.

Shugan188 a écrit:

L administration de Biden peut dès le premier jour retirer cette reconnaissance par une simple signature sur un papier. Ce qui a fait Trump pour l accord nucléaire iranien.
Biden a fait compagne sur le retour des Usa sur la scène internationale, et on sait ce que ca veut dire pour les américains :vous nous donnez ce qu on veut ou on vous déclare un regime non démocratique, non respectueux des droits humains  passable pour des sanctions et des bombardements.

J espère  que les républicains gardent la majorité au sénat pour les freiner, sinon on aura 4 ans d instabilité mondiale.

A une différence près c'est qu'aucune administration US n'a jamais touché aux intérêts Israéliens, démocrates comme républicains...
Après je rejoins @Adam, pendant les 4 années à venir les démocrates joueront aux pyromanes avec nous et les Israéliens aux gentils pompiers maitre-chanteurs... C'est là où il va falloir être fort...

quelques remarques:

Pour ce qui vois la chose d'un mauvais œil, il faut qu'ils se posent les questions si il veulent plus de morts (guerre probable) ou en terminer une fois pour toute (je pense que c'est le bute de chaque marocain d'en finir avec cette histoire).
Que faut il attendre d'un etat controler à 100/100 par des militaire ? mais plus encore une grande parti (et encore personnellement je pense une grande majorité) de la population est biberonner à l'anti-Marocain et ils savent jouer les hypocrites et les frères mielleux pour amener les marocains à baisser leur garde pendant qu'ils creuse sous nos pied. (les exemples ne manque pas)

Le Maroc à etait suffisament patient et à tendu la mains à tous le mondes ( gouvernant algeriens, polizbel en particulier) on a eu en retour des mort et des prisonnier maltraité de façon inhumaine, le zbel à l'ua, des harki qui pissent sur des marocain mort etc...................

Ou bien faut il continuer à subir encore les pressions de tous les pays du monde à la moindre mauvaise humeur d'un décideur (on la vue avec meme des pays amis).
Voulons nous encore et toujours subirent cette carte de pression ?

Si trump aurais proposer au regime mafieu de reconnaitre une republique du zbel contre reconnaissance d'israel  pensez vous qu'il aurais refusé ???
Petite remarque concernant l'allergie et les algeriens, ils n'on eu aucune reaction quand un des membre du polizbel intervené sur i24.

Meme la encore la guerre et encore possible mais au moins on se donne les moyens d'avoir plus de choix.
De plus nous n'avons pas trahi les palestinien car on continu à les soutenir !

Cette décision US, est le fruit de consultations internes de cette administration!
C'est un dossier STRATEGIQUE pour les grandes puissances.
Les Senateurs ont été consulté, le Pentagone l'a été (tout en sachant que pour ce dernier le sahara est marocain. Les diplomates (fonctionnaires permanents) ont été consulté. Nous avons un accord de partenariat STRATEGIQUE avec les US d'un niveau que certaines puissances n'ont même pas. Ce n'est donc pas une décision anodine.
Et le fait que les USA aient évoqué le fait que nous soyons le premier pays à les avoir reconnu comme Etat n'est pas un hasard. il y a consensus là dessus. Ce sont les intérêts commun Marocain et Américain qui sont mis en évidence.

Et ça...tout le monde le sait...

Oui c'est surtout que le Sahara..fait face aux USA...c'est un peu un point d'entrée Afrique...nouvel Eldorado de demain


Et enfin....pour eux il est temps de passer au business / exploitation de cette région..

En matières d'investissement , il y a à faire
.sans parler des gisements.. inavoués..???

La presse algérienne choquée ne sait plus quoi reporter, parle seulement de la normalisation des relations avec israel mais pas un mot sur le reconnaissance de la marocanité du sahara

---> liberte-algerie
---> jeune-independant