L'industrie automobile au Maroc

Rappel du premier message :

Khalid a écrit:: https://medias24.com/2022/08/10/voici-a-quoi-pourrait-ressembler-la-premiere-gigafactory-de-batteries-au-maroc/

Il a répondu au affirmations du 1.ma sur la gigafactory à la suite de cet entretien

Qu 'on soit d'accord avec la première sortie du ministère ou non je salue son courage pour défendre sa position et assumer sa responsabilité, et je souhaite vraiment qu'il dit vrai et que nous allons inchallah voir le lancement du projet avant la fin de l'année

Visant le sourcing du marché européen des véhicules utilitaires électriques en pleine expansion, l’équipementier automobile américain CVG a entamé les premières démarches pour la construction d’une usine au Maroc, apprend Le Desk. Les détails de sa stratégie d’implantation aux portes de l’UE C'est un nouvel acteur qui devrait s'inviter sous peu dans l'écosystème des fabricants automobiles au Maroc. Il s'agit, selon les informations du Desk, de l'Américain Commercial Vehicle Group (CGV) basé depuis 23 ans à New Albany dans l’Ohio, ayant décidé de loger sa filiale marocaine dans la zone franche de Tanger (TFZ). Une première étape pour la construction d’une usine dès les prochains mois, apprend-on. Le 30 mars dernier, cette nouvelle structure, du nom de CVG Morocco, a pu être déployée, avec comme capital social de départ 30 000 euros. Selon des sources consultées par Le Desk, CVG a déjà désigné des figures-clés de la maison-mère pour porter sa nouvelle société : Chung Kin Cheung, directeur financier du groupe, Mohamed Aneezal, directeur juridique de CVG, Richard Tajer, officiant en tant que directeur général, de Jeffrey Tritapoe, vice-président des opérations et enfin, point important comme on le verra, de Ernesto Hernandez. Celui-ci occupe le poste de directeur des opérations au sein de la filiale mexicaine de CVG. D’après des sources concordantes, l’objectif de l’installation de cette usine vise à fournir en équipements les véhicules utilitaires électriques du marché européen. Selon une récente étude du cabinet Mordor Intelligence, en raison de la croissance soutenue de secteurs tels que la logistique et les industries de la chaîne d'approvisionnement, l'adoption des véhicules électriques devient évidente. De plus, les normes d'émissions strictes, notamment dans l’Union européenne (UE) qui s’est engagée à réduire ses émissions liées au trafic routier pousse de nombreuses entreprises à électrifier les véhicules, ce qui joue également un rôle crucial dans la croissance du marché. Le marché européen se distingue aussi par un meilleur accès aux bornes de recharge pour camions électriques. L'industrie européenne du camionnage électrique devrait progresser rapidement suite à la décision de l'UE de réduire les péages pour les camions sans émissions, ce qui constitue une aide aux investissements privés dans les camions électriques. Les 27 se sont également fixés pour objectif d'atteindre une réduction de 40 % des gaz à effet de serre d'ici 2040. Des acteurs majeurs tels que Volvo et Daimler proposent déjà une gamme plus large de véhicules utilitaires lourds aux industries en vendant une gamme complète de camions électriques à batterie pour la distribution intra-européenne. Spécialiste des sièges de poids lourds Si on devait relever une grande spécialité chez CVG, outre les systèmes automatisés de chaines de montage ou les divers accessoires pour véhicules, c'est incontestablement les sièges de poids lourds, comprenant ainsi les camions, les bus, les camions de sapeurs-pompiers ou encore les engins de chantier. CVG opère dans ce secteur à travers au moins trois filiales, portant les marques qu'il commercialise : Bostrom Seating, KAB Seating et Stratos Seating. Par le biais de ces branches, CVG propose ainsi, aux particuliers comme aux constructeurs, des sièges automobiles. En plus de ce type d'équipements, on retrouve aussi la conception de rétroviseurs pour poids lourds. Une activité portée par Moto Mirror, apprend-on. Les miroirs en question sont destinés à plusieurs marques de camions : Isuzu, Volvo, Kenworth, American Lafrance ou encore Freightliner, peut-on notamment citer. D'autres activités sont aussi couvertes par le groupe CVG. On citera les câbles électriques, les systèmes de guidage, les injections ou encore les études techniques. Un plan stratégique favorisant le Maroc C’est d’ailleurs ce dernier aspect de la palette des produits de CVG qui devrait être mis à profit par la filiale tangéroise. Sa volonté de placer son usine au Royaume répond ainsi aux promesses faites lors de la présentation du plan stratégique par le P-DG, Harold Bevis, au début de cette année. Selon ce plan stratégique, consulté par Le Desk, il est question tout d’abord de lancer un programme de réduction des coûts estimé à plus de 30 millions de dollars. Il concernera 350 projets dans le monde, fait-on savoir. « Nous nous engageons à réduire notre structure de coûts, principalement dans les zones de non-croissance, et principalement loin des pays à coût élevé », indiquait Bevis début mars. Outre la réduction de coût, le plan stratégique fait notamment état de la volonté de viser le marché du sourcing des véhicules utilitaires électriques, notamment ceux du marché européen. D’où le recours à une usine en Afrique du nord, au Maroc plus précisément, où les coûts de production seront relativement moindres et aussi en raison des avantages procurés par tout l’écosystème automobile local, devenu un des piliers de l’industrie nationale orientée vers l’export. Afin de mener cette mission, parmi le top management mobilisé pour la filiale marocaine, on retrouve d’ailleurs le directeur des opérations de la filiale de CVG au Mexique, où on compte pas moins de quatre usines pour l’Américain. Comme pour le pays latino-américain, servant de base-arrière à faible coût pour les usines de CVG qui fournissent l’industrie automobile nord-américaine, au Maroc, le même modèle devrait ainsi être dupliqué pour attaquer le marché du Vieux Continent. a écrit:

https://ledesk.ma/2023/04/01/lequipementier-americain-cvg-debarque-a-tanger-pour-fournir-leurope/

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Le courage croît en osant et la peur en hésitant.

Excellente nouvelle. Reste a connaître le nombre d'emploi créé

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ça sens l'usine de câblage !!

Ils auraient dû prendre un autre bassin d'emploi que Tanger !

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لك الله ياوطني

Socket-error a écrit:: ça sens l'usine de câblage !!

Ils auraient dû prendre un autre bassin d'emploi que Tanger !

Faut remplir la City Tanger Tech, le temps viendra de remplir les autres zones du territoire plus au sud. Si Tanger City se remplis convenablement en entreprises cela poussera automatiquement les usines a ouvrir une seconde succursale à Dakhla une fois le port finaliser si et seulement si le Maroc envisage de doubler ses exports via une ligne direct de l'atlantique vers le continent Américain. Une concentration d'usines est un bon point surtout que Tanger est vouer a être le fer de lance du domaine Automobile et Casa pour l'aéronautique. Donc la stratégie pour moi est bien roder. Le renforcement de notre économie et notre rôle incontournable dans certains domaines autres que l'alimentaire est nécessaire, aussi pour des raisons politiques.

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« Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n'abandonnent jamais. »

(Hassan II).

Je pense qu'après Tanger, la zone a valoriser est plutôt Nador. L'année prochaine inchallah le port est opérationnel et il faudra développer l'axe Nador-Oujda

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RED BISHOP a écrit:: Je pense qu'après Tanger, la zone a valoriser est plutôt Nador. L'année prochaine inchallah le port est opérationnel et il faudra développer l'axe Nador-Oujda

Mtafak m3ak, cela désenclavera un peu plus la zone.
Et pour Dakhla on a encore quelques années devant nous 2028-2029 si je dis pas de connerie avant la fin des travaux..

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Les zones industriels de Tanger compte 1200 usines pour 100 000 emplois. Pour atteindre un seuil'seul critique il faudrait 150 voir 200 000 emplois. Il y a encore de la place pour s'implanter sur ce territoire

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Il faut développer les zones frontalières, Oriental et Fes-Meknass en priorité, Dakhla peut attendre.

https://medias24.com/2023/04/04/renault-maroc-un-taux-dintegration-locale-de-652-en-2022/

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https://ledesk.ma/2023/04/05/voitures-electriques-lg-energy-solution-choisit-le-maroc-pour-se-fournir-en-lithium/

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Et LG solution ne peut pas choisir le Maroc pour transformer le lithium ?

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Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire

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Fahed64 a écrit:: Et LG solution ne peut pas choisir le Maroc pour transformer le lithium ?

Et pourquoi on fait pas des batteries en JV faire littéralement un apelle d'offre que ce soit LG ou autre? Basketball

Pour la réponse, c'est stratégique aujourd'hui tout le monde le veux pour sois

Alors autant garder la matière première chez nous ?

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Invité

oui, il ne faut pas vendre la matiere premiere brute.
Si LG veulent notre lithium, il doivent le tansformer chez nous

Fahed64 a écrit:: Alors autant garder la matière première chez nous ?

Toute les matières premières devrait rester à la maison et être vendu transformé j'ai envie de dire mais c'est un autre débat

Exactement comme les phosphate. Plus qu'on le transforme plus qu'on lui donne de la valeur ajoutée. Imaginezr si l'ocp exporte la roche brute. Il n'aura pas assez de revenus.

Avant de transformer une matière première, il faut les infrastructures et les compétences pour.
La sécurité, la pollution, les machines, ... Tous ces éléments sont indispensables pour la réalisation d'un projet de cette envergure. De plus cela nous permet aussi d'avoir une certaines connaissances des acteurs clés (vendeur, acheteur). Arrêter de penser que "nationaliser" tout ce qui rapporte est un bien fonder. Notre méthodologie porte ses fruits a long termes. Doucement mais surement.

Proverbe du bled: On monte les escaliers marche par marche, mais quand on se précipite se sont toutes les marches que l'on descend.

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Fahed64 a écrit:: Alors autant garder la matière première chez nous ?

Depuis quand on dispose de mine de l'lithium en production, pour préserver la matière première !!

Nous disposons à date du Cobalt et du manganèse comme produits de base des batteries en lithium pour voiture.

Je crois qu'il y a des grosses manœuvres en cours pour installer une gigafactory au Maroc. Surtout après l'entrée en jeu de la holding royale.

Les chinois par exemple ont tout intérêt à délocaliser au Maroc pour pourvoir accéder encore au marché US.

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Neox a écrit:: Avant de transformer une matière première, il faut les infrastructures et les compétences pour.
La sécurité, la pollution, les machines, ... Tous ces éléments sont indispensables pour la réalisation d'un projet de cette envergure. De plus cela nous permet aussi d'avoir une certaines connaissances des acteurs clés (vendeur, acheteur). Arrêter de penser que "nationaliser" tout ce qui rapporte est un bien fonder. Notre méthodologie porte ses fruits a long termes. Doucement mais surement.

Proverbe du bled: On monte les escaliers marche par marche, mais quand on se précipite se sont toutes les marches que l'on descend.

Nous savons tous qu'il faut une industrie qui est capable d'un certain savoir faire pour tout transformer

Et faire à domicile veux pas dire le faire uniquement avec des biens publique

Tant que l'état n'a pas fait ses premiers pas dans certains domaines, les investissements privés Marocain ne se feront pas. Suffit de voir, l'aéronautique, l'automobile, pharmaceutique, l'agroalimentaire, ..
On commence a peine a voir des acteurs privés s'y mettre. Le Maroc a besoin d'encore un peu de temps pour que nos citoyens investissent leurs millions dans des usines au Maroc.
Y'en a quelques unes mais comparer a d'autres pays notre niveau de Z3ama dans les investissements au Maroc sont moindres. Nos Marocains investissent sans prendre de gros risque, l'immobilier, les locations de véhicules (mer, terre), les restaurants, .. ce sont des investissements avec des risques moins importants que l'industriel.
Je connais pas la vrai raison de ce frein mais il existe malheureusement. Faut laisser le temps faire les choses ..

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Neox a écrit:: Tant que l'état n'a pas fait ses premiers pas dans certains domaines, les investissements privés Marocain ne se feront pas. Suffit de voir, l'aéronautique, l'automobile, pharmaceutique, l'agroalimentaire, ..
On commence a peine a voir des acteurs privés s'y mettre. Le Maroc a besoin d'encore un peu de temps pour que nos citoyens investissent leurs millions dans des usines au Maroc.
Y'en a quelques unes mais comparer a d'autres pays notre niveau de Z3ama dans les investissements au Maroc sont moindres. Nos Marocains investissent sans prendre de gros risque, l'immobilier, les locations de véhicules (mer, terre), les restaurants, .. ce sont des investissements avec des risques moins importants que l'industriel.
Je connais pas la vrai raison de ce frein mais il existe malheureusement. Faut laisser le temps faire les choses ..

La vrai raison c'est que beaucoup de nos investisseurs et pseudo business man n'y connaissent rien à l'industrie et encore moin à l'innovation et au bureau études et bureaux R&D

a ce jour y a aucune mine de lithium au Maroc

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"Tu ne sais jamais à quel point tu es fort, jusqu'au jour où être fort reste ta seule option." Bob Marley.

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S'il y a du secret sur les découvertes de lithium au Maroc, c'est probablement que çà se passe dans le Sahara Marocain .... Very Happy

Rachid Yazami, physico-chimiste et inventeur des batteries lithium-ion, en avait parlé une fois ...

Il y a eu des informations sur la découverte d'une mine de lithium à la frontière Mauritanienne à une époque !! Mais sans confirmation officielle !

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Y a aucun secret. les sociétés qui explorent au Sahara ils ont des permis affichés sur le site du (ONHYM)

y a aucune information fiable a part une rumeur sur un site espagnol marginal
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