Les activités de la réunion des hauts fonctionnaires préparatoires au Conseil économique et social de la Ligue arabe (AL) ont débuté à Jeddah, en Arabie saoudite, avec la participation de la délégation syrienne, selon des sources officielles de Damas. La réunion doit se tenir mardi et des représentants de divers pays arabes, dont l'Arabie saoudite, du Maroc, de la Libye et de l'Irak, ainsi que des responsables d'Oman et le secrétaire général adjoint aux affaires économiques du secrétariat général de la Ligue arabe, seront présents. La délégation syrienne est composée du ministre adjoint de l'économie et du commerce extérieur pour les affaires internationales, Rania Ahmed, de l'ambassadeur Riyad Abbas, du directeur du département des affaires arabes, du directeur des relations internationales Anas Al-Bikai et du conseiller Ihsan Rumman du cabinet du ministre des Affaires étrangères. Dans un développement significatif, les ministres des Affaires étrangères des États membres de la Ligue arabe ont récemment voté en faveur du rétablissement de l'adhésion de la Syrie, marquant la fin de sa suspension qui a duré plus d'une décennie. La décision a été prise lors d'une réunion tenue au siège de la Ligue arabe au Caire. Comme nous le rapportions précédemment, le Maroc avait émis comme condition à son acceptation de cette réadmission la fin du soutien de la Syrie au Polisario. Aucune communication officielle n’est cependant venue de Rabat pour clarifier ce point. a écrit:
Mohammed ben Salmane . Il joue trop avec le feu il va se brûler. Il donne un petit 🦴 au américain. Deal avec les iranien il vend du de pétrole en yuan. Deal avec les russes. Et là il invite le . Médiatiquement c bon mes dans le fond c les prendre pour des cons. Ça va pas effacé son ardoise.
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Neox Commandant
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Sujet: Re: Diplomatie marocaine - Relations internationales Jeu 18 Mai 2023 - 18:55
Il donne du poids (médiatique) à la Ligue Arabe sur la scène international, je pense que son coup est calculer. La Ligue Arabe (& mbs surtout) veut jouer un rôle plus important dans l'avenir sur le globe. voilà pourquoi cette quête de sérénité ne serait que diplomatique a lieu dans la région.
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Sujet: Re: Diplomatie marocaine - Relations internationales Ven 19 Mai 2023 - 2:51
MBS est visiblement très bien conseillé, il à réussi a effacer l'image du boucher que les médias occidentaux lui avaient collé sur le dos, à tort ou à raison, et ce dans un laps de temps assez court. et redonner ses lettres de noblesse a la diplomatie saoudienne, ramener le centre de la décision arabe dans l'escarcelle saoudienne, quitte a froisser les fanfarons de la corée de l'est... chose qui ne peut que nous être bénéfique ! là, avec l'invitation de l'Ukraine, et son président, au sein du somment de la ligue arabe, il va réussir a amener les feux des projecteurs médiatiques sur l'arabie saoudite et donner une image de puissance régionale incontournable... remarquez que MBZ, les EAU, ne sont pas dans le cadre... même dans les dernières consultations ou l'on a vu la jordanie, bahrein, l'égypte et le maroc être sollicité par l'arabie saoudite, bizarrement les émiratis ont marqué le champ par leur absence, donc il y'a de l'eau dans le gaz et c'est surement à propos de la crise soudanaise ! mais autrement, avec les derniers développements, MBS a réussi a reprendre une centralité qui commençait a manquer dans le champ diplomatique arabe ! après avoir été snobé par biden, et donc l'administration américaine, subi l'arrogance de cette administration pendant la crise ouverte avec l'iran, et donc senti trahi, il à su comment neutraliser le danger iranien sans verser du sang ni tirer plus de balles, et par la même, paraitre souverain et capable de mener des dossiers épineux et très compliqués avec brio !!! mixer la venue de bachar et celle de zielinski est un parfait coup diplomatique, ceci équilibre cela, il réussi a se jouer une partie assez fine... et si en cour de route il se permet d'envoyer balader les algériens et leur président mythomane, moi j'applaudis ! il leur a repris le dossier syrien des mains, en a fait ce qu'il voulait, bien plus discrètement et tellement rapidement qu'il les a fait passer pour des amateurs fanfarons... ça va être jouissif a regarder ce sommet de la ligue sans aucun doute !
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Sujet: Re: Diplomatie marocaine - Relations internationales Ven 19 Mai 2023 - 11:16
Tout a fait d'accord avec votre analyse Ssi lunatik2x. @(remarquez que MBZ, les EAU, ne sont pas dans le cadre... même dans les dernières consultations ou l'on a vu la jordanie, bahrein, l'égypte et le maroc être sollicité par l'arabie saoudite, bizarrement les émiratis ont marqué le champ par leur absence, donc il y'a de l'eau dans le gaz et c'est surement à propos de la crise soudanaise ! mais autrement, ) Un évènement et passe discrètement c dernière semaine. L Arabie saoudite exige au multinationales d avoir leur siège régional pour pouvoir exercer chez eux c un coup dur a long terme pour les Emirats . On va assister à un déménagement de structures et de compétences et d'entreprise importante de Dubaï et autres vers l'Arabie Saoudite
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Moroccan Tankers Aspirant
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Sujet: Re: Diplomatie marocaine - Relations internationales Ven 19 Mai 2023 - 12:39
Le prince Moulay Rachid représentant de sa majesté le Roi M6 arrive en Arabie Saoudite
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Sujet: Re: Diplomatie marocaine - Relations internationales Ven 19 Mai 2023 - 13:10
Le Maroc a amorcé depuis plus d’une décennie une stratégie multiforme pour se hisser en tant que puissance régionale. Une vision qui repose en partie sur la mise en place de partenariats et alliances et qui doit faire face aujourd’hui à un environnement géopolitique des plus instables. Comment le royaume peut-il composer avec cette nouvelle réalité et suivre sa feuille de route ? La position du Maroc semble être animée par quatre processus, certes distincts, mais qui se croisent et se renforcent. D’abord, la volonté d’affirmation qui se traduit par l’autonomie de décision dans la conduite de la politique étrangère. Dans ce sens, la compétition stratégique mondiale est perçue comme très favorable, car l’engagement des puissances émergentes permet de multiplier et de diversifier les partenariats internationaux. “Le Maroc est entré dans une ère de choix, qui ne doit pas être interprétée comme un renversement structurel de ses orientations” Le Maroc est donc entré dans une ère de choix, qui ne doit pas être interprétée pour autant comme un renversement structurel de ses orientations. En effet, l’acquis stratégique que constituent ses partenariats avec l’Occident et certains pays du Golfe doit être consolidé et renforcé. On doit admettre du reste que ces partenaires historiques adoptent de nouveaux agendas stratégiques, portés par de nouvelles élites. Cette transition générationnelle et l’ajustement des priorités ont provoqué la rupture des courroies de transmission classiques entre le Maroc et ces pays. C’est ce qui explique en partie les crises précédentes avec certains pays du Golfe, et la tension maroco-française. Le troisième processus renvoie au renforcement des capacités stratégiques et technologiques pour garantir l’indépendance du pays et la protection de son territoire. Enfin, la nouvelle dimension géoéconomique de la politique étrangère devrait formaliser de nouvelles frontières économiques et politiques en Afrique et ailleurs. Après la reconnaissance par les États-Unis de la souveraineté du Maroc sur le Sahara, le royaume a fait de cette question le curseur sur lequel il souhaite bâtir ses partenariats à l’international. Certains pays, à l’image de l’Espagne, ont sauté le pas, alors que d’autres, pourtant des partenaires historiques, continuent de brouiller les pistes. Pensez-vous que cette position est tenable à long terme pour le Maroc ? Si vous m’aviez posé la question il y a quelques années, j’aurais été dubitatif. Aujourd’hui, nous sommes dans un global open game, nous avons besoin de cette audace diplomatique si on veut renverser la situation en notre faveur. La reconnaissance américaine de la marocanité du Sahara, la reprise des relations avec Israël et la volonté d’autonomie stratégique du Maroc ont ébranlé le statu quo qui prévalait dans la région et qui profitait exclusivement à l’Espagne, la France et l’Algérie. Ceux qui ont cru pouvoir étouffer le Maroc, en l’encerclant par la création d’un micro-État, vivent aujourd’hui une désillusion. À plus forte raison, le Maroc considère à partir de ce moment qu’il est maître de son destin et que ses marges de manœuvre sont exponentielles au point de faire de la conditionnalité un levier du dossier du Sahara. Cette stratégie offensive a permis d’atteindre des résultats impressionnants et rapides. Si les États-Unis sont présents sur ce dossier c’est parce qu’ils ont les ressources nécessaires pour régler le problème. L’Espagne a compris que la période où le Sahara était une rente diplomatique est révolue et que sa responsabilité historique et ses intérêts fondamentaux trouvent dans l’autonomie la solution idoine pour un conflit qui a tant duré dans une région qui a tant besoin de stabilité. La France semble ne pas apprécier le changement du statu quo qui met fin à son rôle d’arbitre dans la région au profit des États-Unis. À ce propos, je tiens à préciser que les officiels français ont souvent dit à leurs homologues marocains que la solution du Sahara se trouvait à la Maison Blanche et non pas à l’Élysée. En outre, il convient de renforcer les interdépendances avec notre voisinage espagnol et mauritanien et de continuer à créer ou à entretenir le besoin de s’aligner sur la position marocaine. Enfin, il est temps d’institutionnaliser une véritable stratégie de lobbying sur les différentes dimensions de la question du Sahara. La maîtrise des mécanismes européens est un point de force qu’il convient d’exploiter à travers une meilleure organisation et mobilisation pour contrer la percée que les séparatistes ont pu réaliser via des ONG et certains députés de la gauche européenne. Depuis l’indépendance, le royaume a toujours réussi à maintenir dans ses relations internationales un certain équilibre entre grandes puissances. Aujourd’hui, alors que le monde se polarise à nouveau, pensez-vous que le Maroc puisse maintenir ce “non-alignement” ? Le non-alignement de la conférence de Bandoeng n’est plus effectif car le monde est en train de vivre une recomposition historique. Nous faisons face à un dilemme avec lequel nous devons composer. Quelle que soit la trajectoire empruntée par la rivalité sino-américaine, conflictuelle ou standardisée, l’issue mènera inévitablement à terme à une transformation du système international. Dès lors, les questions qui interpellent les États, quelle que soit leur taille, sont liées au statut et au rang dans le système international. Quelle position faut-il occuper dans le tableau géoéconomique et géopolitique ? Comment y maintenir une place confortable ou comment la conquérir ou la reconquérir ? Il est à remarquer que ces questions sont d’autant plus transcendantes que la compétition sino-américaine, conjuguée aux incertitudes de la guerre en Ukraine, ne peut manquer d’affecter la politique internationale du Maroc. Dans ce contexte, le Maroc devra continuer de veiller à la cohérence dans ses orientations mondiales, car le jeu n’est pas du tout à somme nulle, et il n’est pas question de sacrifier les acquis stratégiques cumulés depuis l’indépendance, ce qui fait de l’Europe son premier partenaire. Ensuite, il trouve sont intérêt stratégique, dans le partenariat avec les États-Unis et vraisemblablement Israël. Compte tenu de son ambition africaine et pour répondre à ses besoins géopolitiques, le Maroc n’a d’autre choix que de renforcer l’axe Sud-Sud et le partenariat avec la Chine, l’Inde et le Brésil. Nouvelle feuille de route avec l’Espagne, renforcement des liens, notamment militaires avec les États-Unis, reprise des relations avec Israël, consolidation des liens avec le Brésil, projet de gazoduc avec le Nigéria, le royaume est résolu à diversifier ses partenariats à l’international. Pensez-vous que cette démarche puisse être couronnée de succès et quelle est, selon vous, la prochaine étape pour le Maroc ? Sur le plan stratégique, le Maroc n’a le choix que de construire et/ou consolider ses propres liens de connexion et de correspondance entre la logique du schéma Nord-Sud et l’axe de coopération Amérique Latine, Afrique et Asie. Il faudra maintenir un bon équilibre entre, d’une part, la gestion pragmatique des interférences avec l’Occident nées de la logique coloniale et entretenues pendant la période postindépendance, et, d’autre part, l’adhésion progressive à une communauté d’intérêts géoéconomique Sud-Sud. Cette construction a besoin d’un concept mobilisateur de l’action. Autrement dit, il est temps de formaliser un large espace régional Euro-Nord-Ouest Africain (ENOA) comme carrefour d’interdépendance et de connexion. L’affirmation du Maroc dans l’espace ENOA reposerait, au préalable, sur la capacité de la diplomatie marocaine à systématiser, sur les plans politique et géoéconomique, une région aussi vaste qui englobe les pays euro-atlantiques (Espagne, France, Portugal, Royaume-Uni), le Maroc et l’Afrique de l’Ouest. Cela passe par l’élaboration d’une vaste communauté d’intérêts et la mise en place de passerelles institutionnelles entre les différents mécanismes et accords qui lient ces parties entre elles : accords d’association Maroc-UE, stratégie commune Afrique-UE, Accords ACP et Accords de Partenariats Économiques. Le Maroc est historiquement considéré comme une île, avec l’Atlantique à l’ouest, la Méditerranée au nord, et des voisins avec qui le royaume entretient des relations tendues, voire exécrables au sud et à l’est. Est-ce que ce comportement insulaire est toujours d’actualité et comment a-t-il impacté la vision marocaine par rapport aux relations internationales ? Cette représentation est à nuancer. Je ne pense pas qu’ “insulaire ou insularité” signifie forcément fermé ou encerclé. “Insulaire ou insularité” signifie également être ouvert et décomplexé dans ses rapports avec le monde. C’est ce que nous sommes, un peuple hospitalier et explorateur, un État-nation qui n’est pas né d’un accident de l’histoire ni de la volonté des colonisateurs français et espagnol. La grandeur historique d’une nation n’est jamais vraiment “évacuée”, et dans le cas du Maroc, la mémoire impériale reste ancrée dans la conscience collective, si bien qu’elle occupe une place prépondérante dans le discours et la pratique stratégique nationale. Nous avons notre propre identité stratégique, continentale et maritime, distincte, une sorte de centralité géopolitique autour de laquelle s’organisent des forces centrifuges et centripètes. Voilà pourquoi je préfère le terme de centralité à celui d’insularité, le premier est un concept mobilisateur, un compromis idéal entre la posture défensive et la posture offensive. Le second est plutôt passif et excessif dans le sens où il risque de renvoyer à une image de “victimisation narcissique”. La France a pendant longtemps été considérée comme un allié fiable du royaume, jusqu’à l’arrivée de François Hollande à l’Elysée qui marque le début de la détérioration de la relation. Une relation qui atteint son plus bas avec la présidence d’Emmanuel Macron. Pensez-vous que cela soit lié aux deux présidents ou que cela s’intègre dans un environnement plus complexe entre les deux pays ? Les relations maroco-françaises ne semblent pas avoir échappé à la loi des cycles de l’histoire, même si elles sont basées sur des acquis solides. Au temps de la consolidation de la confiance succède celui de la désillusion et de la méfiance. Les temps ont donc changé, la situation actuelle n’est pas celle que nous aurions espérée. Les antagonismes ont pris le pas sur la coopération et l’altérité, entraînant une plus grande imprévisibilité de l’avenir de ces relations. Aujourd’hui, il faut mener une réflexion commune sur les convergences et les complémentarités, dont nous avons besoin afin de dépasser cette situation de crise profonde. Nous devons avoir le courage de dire que nous assistons à la fin d’un cycle historique et le début d’un autre qu’il faudra construire sur la base d’un nouveau consensus politique. Cet exercice est nécessaire car la situation que nous vivons aujourd’hui pourrait se reproduire de manière récurrente. Un des volets que nos amis français devraient revoir en premier c’est bien la rationalité qui a toujours encadré leur politique marocaine, voire africaine: logique de l’État profond (services de renseignement) avec son lot de pression et de chantage ; logique normative classique diplomatique et économique ; logique soft des ONG, dont l’enjeu n’est pas seulement la promotion légitime des valeurs de la coopération, mais servir aussi, par ricochet, des objectifs politiques intéressants. En cette période de crise, c’est bien le réflexe de l’État profond qui monopolise l’attitude de la France. Notre voisin espagnol, qui a compris les limites de cette rationalité, a décidé de revoir son approche. Peut-on toujours parler d’alliés alors que les relations internationales et la géopolitique sont de plus en plus marquées par le pragmatisme et la realpolitik ? Le royaume a-t-il des alliés ou seulement des partenaires ? Cette question est pertinente dans la mesure où elle pose la problématique des éléments de langage utilisés dans le domaine de la communication stratégique au Maroc. Je suis frappé par la confusion qui apparaît de manière récurrente dans l’usage de certains concepts et expressions dans l’espace public national, y compris dans le monde académique. Par exemple, le terme “alliance”, dans le sens de la défense mutuelle institutionnalisée, n’est pas valable pour qualifier la nature des relations bilatérales les plus avancées et approfondies du royaume : il ne fait partie d’aucune alliance militaire. Par contre, il a construit depuis son indépendance un réseau de relations interdépendantes avec un certain nombre de pays influents et riches, tant au niveau politique, militaire qu’économique. L’objectif est celui de renforcer les attributs de puissance. En somme, l’expression la plus conforme à notre réalité est celle de partenariat. a écrit:
La promotion de l'investissement et du commerce entre #Marruecos et #Argentina étaient au centre d'une réunion d'affaires qui s'est tenue, aujourd'hui, à #Casablanca entre la Confédération générale des entreprises de et la délégation représentant Santa Fe, Cordoue et Entre Ríos.
En marge de cette rencontre, un protocole d'accord a été signé entre le président du Conseil d'affaires Maroc-Argentine et le président de la Chambre de commerce et d'industrie de la Région Centre pour simplifier les procédures et favoriser les échanges économiques bilatéraux.
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(Hassan II).
Neox Commandant
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Sujet: Re: Diplomatie marocaine - Relations internationales Mer 24 Mai 2023 - 21:10
Citation :
Les membres de la commission du Parlement arabe en charge de la recherche scientifique, de l’innovation et numérique ont demandé officiellement au Maroc d’«accorder aux pays arabes son expertise et son expérience pour leur permettre de se doter d’industries automobiles fortes». Ils ont par ailleurs invité le Royaume à étudier un projet de construction sur son sol d’un chantier naval destiné aux pays arabes.
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Fahed64 Administrateur
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Sujet: Re: Diplomatie marocaine - Relations internationales Mer 24 Mai 2023 - 22:11
Heuuuuu non !
On doit former et donner les clés à nos futures concurrents ?
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jaqck1993 1ere classe
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Sujet: Re: Diplomatie marocaine - Relations internationales Jeu 25 Mai 2023 - 0:54
s'il partagent avec nous quelque chose d'interssant pourquoi pas , comme par exmple leur industrie de défense et je crois qu'il peuvent pas facilment devenir des concurent, il ya pas plusieur facteur geographique , geopolitique, techniques , qualité d'education , salaire bas au maroc etc
romh General de Division
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Sujet: Re: Diplomatie marocaine - Relations internationales Jeu 25 Mai 2023 - 15:54
jaqck1993 a écrit:
s'il partagent avec nous quelque chose d'interssant pourquoi pas , comme par exmple leur industrie de défense et je crois qu'il peuvent pas facilment devenir des concurent, il ya pas plusieur facteur geographique , geopolitique, techniques , qualité d'education , salaire bas au maroc etc
Ils n'ont rien à donner surtout côté industrie je rejoins Ssi Fahed non et non
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jaqck1993 1ere classe
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Sujet: Re: Diplomatie marocaine - Relations internationales Jeu 25 Mai 2023 - 16:49
romh a écrit:
jaqck1993 a écrit:
s'il partagent avec nous quelque chose d'interssant pourquoi pas , comme par exmple leur industrie de défense et je crois qu'il peuvent pas facilment devenir des concurent, il ya pas plusieur facteur geographique , geopolitique, techniques , qualité d'education , salaire bas au maroc etc
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bah à la fin c'est ni moi ni vous qui décide hhhh, j'éspere inchaalah le succès à tous se qui est bon pour notre pays
Neox Commandant
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Sujet: Re: Diplomatie marocaine - Relations internationales Jeu 25 Mai 2023 - 17:11
jaqck1993 a écrit:
bah à la fin c'est ni moi ni vous qui décide hhhh, j'éspere inchaAllah le succès à tous se qui est bon pour notre pays
Allah ou A3lam, ceux qui décident passent parfois dans le fofo ou en sont membre ..
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Stinger Colonel
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Sujet: Re: Diplomatie marocaine - Relations internationales Jeu 25 Mai 2023 - 17:47
jaqck1993 a écrit:
romh a écrit:
jaqck1993 a écrit:
s'il partagent avec nous quelque chose d'interssant pourquoi pas , comme par exmple leur industrie de défense et je crois qu'il peuvent pas facilment devenir des concurent, il ya pas plusieur facteur geographique , geopolitique, techniques , qualité d'education , salaire bas au maroc etc
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bah à la fin c'est ni moi ni vous qui décide hhhh, j'éspere inchaalah le succès à tous se qui est bon pour notre pays
Ils ont raison rien à tirer , même leurs gaz et pétrole ça partage pas , ils s'en servent comme une arme plutôt
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Fahed64 Administrateur
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Sujet: Re: Diplomatie marocaine - Relations internationales Dim 28 Mai 2023 - 17:07
Je ne sais pas si c'est le bon topique. Rapport nommé Atlas sur les perspectives économiques ef geostratigiques du Matoc à l'horizon de 2040. Rédigé par des chercheurs marocains et repris par le journal Alquds. Il parle sur les retombées d'une éventuelle guerre entre le Maroc et L'Algérie à la page 74.
C'est la première fois que je vois un swot et un pestel dans une analyse politico-stratégique ce qui est normalement plus utilisé pour des analyses marketing ou des benchmark (bien évidement ca peut se faire mais ça fait ''scolaire'' "académique" ) ...Sans vouloir faire du corporatisme mais on sent que les auteurs ont apprécié le rapport rédigé par notre forum en 2012...
_________________ Le courage croît en osant et la peur en hésitant.