(Sejong = Yonhap Infomax) Reporter Choi Jin-woo = Through the Korea-US-Japan Finance Ministers' Meeting, which will be newly established following the Korea-US-Japan summit, Korea's foreign exchange and financial market stability is expected to be further strengthened.
On the 18th (local time), the heads of Korea, the U.S. and Japan agreed to set up a new finance ministers meeting for the first time in history at Camp David, USA.
What U.S. Treasury Secretary Janet Yellen proposed to Korea and Japan from the G20 last month has been implemented.
It is of great significance that South Korea, the U.S. and Japan cooperate not only in diplomacy and security, but also in the economic and financial fields.
The possibility of the first meeting being held on the occasion of the G20 to be held in Marrakesh, Morocco in October is being discussed.
An official from the Ministry of Strategy and Finance explained that nothing has been decided, saying, "The place and schedule are things that Korea, the U.S. and Japan will have to discuss in the future."
The Ministry of Strategy and Finance believes that the safety of the supply chain of major high-tech industries and the financial and foreign exchange markets will be greatly improved through the meeting of finance ministers.
In particular, what draws attention is how the cooperative measures for macroeconomic stability, such as the financial and foreign exchange markets, will be derived.
We are currently in a situation where we have signed a currency swap worth 10 billion dollars with Japan.
As a result of close communication with Korea, the United States has also shown a willingness to cooperate in the financial and foreign exchange markets.
Considering that Korea's foreign currency reserves are $421.8 billion (as of the end of July), which is the 8th largest in the world, there is not much need for a Korea-US currency swap. meaning can be found.
Furthermore, considering that the United States and Japan have signed a permanent currency swap, there is a possibility that such cooperation will be made in Korea in the future.
An official from the Ministry of Strategy and Finance evaluated, "If Korea-US-Japan economic cooperation is strengthened, Korean companies will be able to operate stably based on a sense of relative stability in the financial and foreign exchange markets."
He emphasized, “It will secure a sense of psychological stability even amid the increased volatility in the financial and foreign exchange markets due to the recent real estate crisis in China.”
In a pre-briefing prior to the summit, Senior Secretary for Economic Affairs Choi Sang-mok said, "The two leaders have a strong will and shared awareness of financial stability cooperation."
jwchoi@yna.co.kr (End)
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Neox Commandant
messages : 1048 Inscrit le : 15/01/2023 Localisation : Europa Nationalité :
La possibilité que la première réunion se tienne à l'occasion du G20 qui se tiendra à Marrakech, au Maroc en octobre est en cours de discussion.
Un responsable du ministère de la Stratégie et des Finances a expliqué que rien n'avait été décidé, déclarant : "Le lieu et le calendrier sont des choses dont la Corée, les États-Unis et le Japon devront discuter à l'avenir".
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« Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n'abandonnent jamais. »
(Hassan II).
Shugan188 Modérateur
messages : 5656 Inscrit le : 12/05/2015 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Et c est quoi la relation avec le Maroc à part le lieu de la rencontre,a savoir qe ca serait lors du "FMI annuel summet ". Est ce que la ministre de finance marocain va participer à cette rencontre?
Neox Commandant
messages : 1048 Inscrit le : 15/01/2023 Localisation : Europa Nationalité :
Cela reste quand même dans notre "zone" vue qu'on parle de la stabilité financière du dollars et que notre monnaie est dans ce panier. C'est une "info" peut-être inutile en soi.. Allah o A3lam.
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romh General de Division
messages : 4161 Inscrit le : 09/09/2009 Localisation : Royaume Uni Nationalité : Médailles de mérite :
Oí layehdikoum ça n'a rien à foutre avec le Maroc plusieurs meeting vont avoir lieu c'est très très habituel lors de ces événements partout dans le monde ça n'a rien de spécial.....
Oí layehdikoum ça n'a rien à foutre avec le Maroc plusieurs meeting vont avoir lieu c'est très très habituel lors de ces événements partout dans le monde ça n'a rien de spécial.....
Avec la monétisation de twitter X tout va en vrille -Morocco intelligence (de supposé analyse) - SOCCER 212 ( des rumeurs a deux balles)
Et j'en passe....... Tout ça pour quelques euros
La plupart ces juste des pseudos analyste
@Neox comme a dit si @romh ça n'a rien à voir
Bruce Wayne, Fahed64, romh et Shugan188 aiment ce message
Neox Commandant
messages : 1048 Inscrit le : 15/01/2023 Localisation : Europa Nationalité :
Faut juste dire: C'est pas le bon poste cela va dans "Actualités international".
Et le tweet en question:
Citation :
Le Maroc accueillera en octobre prochain, en même temps que le sommet du G20, un sommet États-unis/Japon/Corée du Sud.
Après avoir annoncé l’approfondissement de la coopération militaire trilatérale hier à Camp David , les trois alliés souhaitent profiter du G20 à Marrakech en octobre 2023 pour réunir leurs différents ministères des finances.
Selon le ministère coréen de la Stratégie et des Finances, la sécurité de la chaîne d'approvisionnement des grandes industries de haute technologie, des marchés financiers et des changes sera grandement améliorée grâce à la réunion des ministres des Finances à Marrakech.
Il n'a jamais inclus le Maroc dans son tweet, c'est sur le forum que chacun c'est fait une idée dont moi..
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Shugan188 Modérateur
messages : 5656 Inscrit le : 12/05/2015 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
M. Bourita et son homologue indien saluent l'excellence des relations bilatérales | MAP Express 2 minutes
dimanche, 20 août, 2023 à 19:53
Rabat – Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, a eu, dimanche, un entretien téléphonique avec le ministre indien des Affaires extérieures, Subrahmanyam Jaishankar.
Les ministres se sont félicités du haut niveau atteint par le Partenariat Stratégique entre les deux pays, convenu à l’occasion de la visite historique de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’Assiste, en Inde, en novembre 2015, et ont examiné les opportunités et les instruments visant à hisser les relations bilatérales à un niveau encore plus ambitieux, indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger.
Les deux ministres ont également eu un échange approfondi sur des questions régionales et internationales d’intérêt commun, notamment les relations du Royaume avec les BRICS, ajoute le communiqué.
JA: Sommet des Brics : le Maroc recadre l’Afrique du Sud :
Entre une annonce de candidature avancée par la diplomatie sud-africaine et les dénégations de son homologue marocaine, le sommet des Brics commence sur un air de polémique.
À la veille du sommet des Brics, qui s’ouvre ce mardi 22 août à Johannesburg, le gouvernement indien a confirmé le caractère unilatéral des invitations adressées par l’Afrique du Sud aux participants. Ce communiqué officiel valide les déclarations de la source autorisée du ministère marocain des Affaires étrangères qui, le 19 août dernier, assurait que pour le Maroc, « il n’a jamais été question de répondre positivement à l’invitation à la réunion (…) à quelque niveau que ce soit ».
Concernant une potentielle demande d’intégration au groupe de pays émergents, la même source nie en bloc : « Le royaume n’a jamais formellement fait acte de candidature au groupement Brics ». Après l’intervention sud-africaine du 19 août qui annonçait l’inverse, la montagne a donc accouché d’une souris. Dès lors, la question se pose : comment faut-il interpréter la déclaration du pays hôte du sommet, l’Afrique du Sud ? Pretoria a-t-elle tenté de forcer la main de Rabat ?
« Entorses protocolaires »
C’est en tout cas ce que laisse entendre la source du MAE marocain, évoquant des « agissements notoirement malveillants à l’endroit des intérêts supérieurs du Maroc ». Une tentative de manipulation de la vérité qui prendrait sa source au cœur d’une diplomatie sud-africaine « connue pour sa gestion légère, improvisée et imprévisible en matière d’organisation de ce genre d’évènements », avance la source qui fait état d’ «entorses protocolaires délibérées et provocatrices qui ont émaillé l’invitation du Maroc à cette réunion ».
Si vingt-trois pays sont officiellement candidats pour intégrer l’organisation, la source officielle marocaine précise qu’il n’y pas encore « de cadre ni de procédures précises régissant l’élargissement de ce groupement ». Faisant penser à la candidature algérienne, qui n’a pas été approuvée, une demande d’adhésion officielle n’aurait donc pas de sens dans le contexte actuel, insinue la même source.
Rabat, partenaire des Brics (ou presque)
D’autant que Rabat, sans postuler formellement aux Brics, soigne ses relations avec les quatre autres membres (à l’exception de l’Afrique du sud). En effet, le royaume est lié à la Chine, le Brésil et la Russie par des accords de partenariat stratégique, et de coopération dans plusieurs domaines (notamment la défense) avec l’Inde. Concrètement, des cinq économies émergentes, il n’y a qu’avec Pretoria, soutien historique d’Alger et de la RASD, que le royaume est en désaccord politique. Ce qui rend l’annonce de la candidature marocaine aux Brics – qui est en fait une invitation déguisée au sommet – d’autant moins compréhensible.
Le 21 août, le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita s’est entretenu au téléphone avec son homologue indien, Subrahmanyam Jaishankar, l’occasion pour eux d’échanger notamment à propos des relations du royaume avec les Brics. L’alignement de New Delhi sur la position marocaine à propos de la politique d’invitation est intervenu au lendemain de cet échange officiel.
Piège ou quiproquo ?
Pretoria voulait-elle instrumentaliser la présence du Maroc au sommet des Brics ? Si oui, pour quel motif ? Attirer l’attention sur le dossier du Sahara ou mettre dans la même position le royaume et l’Algérie, dont elle est le soutien historique et qui est également invitée au sommet ? Ce sont quelques-unes des variantes de la théorie de nombreux observateurs, qui vont jusqu’à qualifier la communication problématique de « piège » tendu au Maroc par la diplomatie sud-africaine dirigée par Naledi Pandor.
Dans l’éventualité où Rabat s’était rendu au sommet en affichant son intention d’intégrer les Brics, le royaume aurait vraisemblablement vu sa demande rejetée, au même titre que l’Algérie. Selon la source diplomatique marocaine elle-même : «Il était ainsi devenu évident que l’Afrique du Sud allait détourner cet événement de sa nature et de son objectif, pour servir un agenda inavoué ».
Si ce sommet des Brics et le projet d’expansion à de nouveaux membres est un moyen pour eux d’étendre leur influence mondiale, l’évènement est également une estrade pour le pays hôte. En tout cas, en l’absence du Maroc, le dossier du Sahara ne pourra en aucune façon y être abordé.
D’autant plus que c’est finalement le ministre algérien des Finances, et non le président Abdelmadjid Tebboune, qui se rendra au sommet pour représenter son pays. Sans surprise, le soutien sud-africain n’aura pas suffi à garantir à Alger une place aux côtés des cinq pays composant les Brics, l’Algérie devant se contenter pour l’instant du statut de membre observateur.
Tu ma chleuutt Ssi Fox, retour à la normal de nos relations diplomatiques en hiver ? C'est le deuxième jeux de pieds qu'il fait. Je pense que Macron doit subir une tel pression de la DGSE et du CAC40 qu'il va ceder.
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« Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n'abandonnent jamais. »
(Hassan II).
Zikkun, Fox-One, Fahed64 et sraboutibada aiment ce message
Fox-One General de Division
messages : 8005 Inscrit le : 20/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Tu ma chleuutt Ssi Fox, retour à la normal de nos relations diplomatiques en hiver ? C'est le deuxième jeux de pieds qu'il fait. Je pense que Macron doit subir une tel pression de la DGSE et du CAC40 qu'il va ceder.
Il sait bien ou il doit mettre son cedatif....
Zikkun et Neox aiment ce message
Fahed64 Administrateur
messages : 25526 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Lorsque la ministre des affaires étrangères sud-africain a sortie l'info comme quoi le maroc à fait une demande d'adhésion BRCIS (Fake news) . Elle anticipés le refus du dossier d adhésion algérien . Alors pour leurs égo () Ils () ton sortie une pseudo demande d'adhésion du Maroc comme quoi ça a été refusée aussi au Maroc pour la fierté .
Comme on dit en marocain OUA M3AMEN
Bruce Wayne, Fox-One et Fahed64 aiment ce message
Neox Commandant
messages : 1048 Inscrit le : 15/01/2023 Localisation : Europa Nationalité :
Une âme charitable https://www.jeuneafrique.com/1473235/politique/coup-detat-au-niger-le-maroc-ou-la-diplomatie-du-silence/
Coup d’État au Niger : le Maroc ou la diplomatie du silence :
Depuis le début du coup d’État au Niger, le Maroc s’est montré particulièrement réservé dans ses prises de position. Une attitude mesurée qui tranche avec celle de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao), pleinement engagée depuis le renversement du président Bazoum.
Parler de discrétion serait un euphémisme. Quelques jours après que la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) a annoncé, jeudi 10 août, qu’elle se tenait prête à intervenir militairement au Niger, le Maroc se montre toujours aussi silencieux sur le coup d’État, tandis que le président nigérien Mohamed Bazoum est détenu par les putschistes du général Abdourahamane Tiani depuis le 26 juillet.
Une unique déclaration
Les États d’Afrique de l’Ouest sont pleinement mobilisés et multiplient les réunions et les initiatives à travers les pays membres de la Cedeao. L’Algérie, pays frontalier, est également sur le qui-vive, y voyant un risque sécuritaire direct avec un voisin qui partage un peu moins de 1 000 km de frontières. Mais, du côté du Maroc, la diplomatie est restée très en retrait du conflit.
La seule réaction en provenance de Rabat s’est faite par la voix de son représentant permanent auprès de l’Union africaine (UA), Mohamed Arrouchi, lors d’une réunion du Conseil de paix et de sécurité consacrée à la situation au Niger le 30 juillet. Celui-ci a déclaré que le royaume faisait « confiance à la sagesse du peuple et des forces vives du Niger pour préserver les acquis, maintenir son rôle régional constructif important et œuvrer à la réalisation des aspirations du peuple frère du Niger ».
De manière générale, la diplomatie marocaine a très peu pris position sur les différents putschs qui ont eu lieu au Sahel, et s’emploie rarement à commenter ce qui n’a pas trait de près ou de loin à la question du Sahara. Cependant, la proximité du lieu où se déroulent les évènements, à laquelle s’ajoute la vaste mobilisation dont font preuve les autres États africains et ouest-africains en particulier, auraient pu laisser penser que le Maroc, cette fois, s’impliquerait davantage, aux côtés des membres Cedeao notamment, bien qu’il n’en fasse lui-même pas partie.
Ainsi, et depuis cette unique déclaration du 30 juillet de son ambassadeur à l’UA, aucun des différents rebondissements – des révélations sur les conditions de détention du président Bazoum à l’annonce d’une possible intervention militaire de la Cedeao – n’ont poussé la diplomatie marocaine à réagir. Et ce malgré la volonté affichée par Rabat d’opérer un rapprochement avec l’organisation ouest-africaine ces dernières années. Ni Mohamed Arrouchi ni le ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita, tous deux contactés, ne nous ont répondu.
« Aucune autre cause que celle du Sahara »
Cette grande prudence n’est pas une première et se constate déjà à l’échelle continentale et internationale. À l’occasion du vote à l’ONU du 2 mars 2022 condamnant l’invasion russe en Ukraine, qui avait suscité une très large condamnation de la communauté internationale, le royaume s’était distingué en faisant partie des rares pays à n’avoir pas pris part au vote.
Dans la foulée de l’adoption de la résolution onusienne, un ancien diplomate déclarait alors à JA que le Maroc n’avait « aucune autre cause que celle du Sahara ». Lors des coups d’État antérieurs au Mali, en Guinée et au Burkina Faso, Rabat avait déjà choisi de rester mesuré en optant pour le principe de précaution, voire de neutralité.
Quant à l’arrivée au pouvoir des juntes militaires dans ces pays, celle-ci n’a pas non plus empêché le Maroc de conserver des liens avec ses partenaires. Le 11 juin dernier, à Dakhla, le ministre des Affaires Étrangères, Nasser Bourita, a assuré en présence de son homologue burkinabè « suivre avec intérêt le développement du processus de transition » au Burkina Faso, qu’il a au passage estimé être « sur la bonne voie ».
Le chef de la diplomatie marocaine a également qualifié les mesures prises par l’actuel président de la transition, Ibrahim Traoré, « d’ importantes pour renforcer la stabilité et relancer le processus de développement ». Dans la foulée, les deux pays ont signé une dizaine accords de coopération dans plusieurs domaines dont ceux des douanes, de la justice, de l’eau, de l’éducation, et de l’enseignement supérieur.
Un mois plus tard, c’était avec la Guinée du putschiste Mamadi Doumbouya que Rabat organisait, le 10 juillet, la 7e session de la commission mixte de coopération maroco-guinéenne au cours de laquelle huit accords ont été signés dans les domaine du commerce, de l’investissement, de l’agriculture, de la santé ou encore de l’éducation.
« Pragmatisme »
Cette neutralité prononcée, que le Maroc qualifie régulièrement via ses communiqués ou ses représentants de « pragmatique », est donc à nouveau à l’œuvre au Niger. À ce stade, et à l’inverse d’autres États de l’UA, qui a d’ailleurs d’ores et déjà adopté une série de sanctions contre la junte, il semble envisageable que Rabat puisse, à terme, composer avec le nouveau pouvoir en place si celui-ci venait à se maintenir.
« La position du Maroc a toujours été, en cas de conflit, de poursuivre sa coopération Sud-Sud indépendamment de ce qu’il peut se passer », nous affirme l’ancien diplomate Ahmed Faouzi, qui ajoute que la position du Maroc « ne constitue pas un silence ». « L’ADN de la diplomatie marocaine est de ne jamais intervenir dans les affaires domestiques des autres États et de se positionner en intermédiaire neutre, surtout quand il s’agit des pays qui lui sont proches comme les pays africains », soutient cet ex-ambassadeur en Côte d’Ivoire.
La coopération dans les secteurs éducatifs et religieux sont, notamment, assez développés. « Le Maroc et le Niger sont deux pays très liés » , poursuit Ahmed Faouzi, qui rappelle également que de nombreux jeunes Nigériens viennent effectuer leurs études au Maroc. Autre détail potentiellement non-négligeable pour la diplomatie marocaine, le Niger n’a, contrairement à d’autres pays du continent, jamais reconnu la République arabe sahraouie démocratique (RASD).
Bruce Wayne, Neox, Jihad et simplet aiment ce message