messages : 1171 Inscrit le : 17/11/2021 Localisation : Paris Nationalité :
Sujet: Économie marocaine Sam 29 Avr - 11:48
Rappel du premier message :
+62 % pour les céréales https://mobile.ledesk.ma/2023/04/28/la-production-previsionnelle-des-cereales-a-551-mqx-soit-en-hausse-de-62/
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Fahed64 Administrateur
messages : 25558 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Ven 2 Fév - 15:57
Les données pour 2023 de l'office des changes viennent de sortir pour les flux:
Exportation incluant biens et services: 627.761 B MAD soit un hausse de 5,3%. Ce sont les services qui tirent vers le haut ce résultat.
Important incluant biens et services: 748.628 -0,1%. Ce sont les produits pétrolier qui permettent ce résultat sachant qu'il y a une hausse des services importés.
Recette voyage: Solde positif de 80B MAD soit une hausse de 8,7%
Recette MRE: 115B MAD +4%
Je suis curieux de savoir quels sont nos avoir mais on doit approcher ou dépasser les 40B$.
_________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire
simplet, Socket-error et madani111 aiment ce message
Les données pour 2023 de l'office des changes viennent de sortir pour les flux:
Exportation incluant biens et services: 627.761 B MAD soit un hausse de 5,3%. Ce sont les services qui tirent vers le haut ce résultat.
Important incluant biens et services: 748.628 -0,1%. Ce sont les produits pétrolier qui permettent ce résultat sachant qu'il y a une hausse des services importés.
Recette voyage: Solde positif de 80B MAD soit une hausse de 8,7%
Recette MRE: 115B MAD +4%
Je suis curieux de savoir quels sont nos avoir mais on doit approcher ou dépasser les 40B$.
Les recettes MRE couvrent le déficit de la balance commercial à 95% donc ou peut dégager un excédent au niveau du solde courant tout dépendrait des revenus primaires et des revenues secondaires autres que transfert MRE,il faut noter que tout cela est avec un baril à 83$ en moyenne Avec un excédent courant on peut retrouver notre investment grade auprès des agences de notation.
simplet General de Brigade
messages : 3204 Inscrit le : 20/05/2012 Localisation : MONTREAL Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Sam 3 Fév - 13:15
les perturbations de la navigation en mer rouge vont permettre au Port de Nador West-Med de démarrer tranquillement
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"Tu ne sais jamais à quel point tu es fort, jusqu'au jour où être fort reste ta seule option."Bob Marley.
Le dossier de la Samir est en suspens sur tous ses volets. Le raffineur vient de bénéficier d'un nouveau délai pour la prolongation de son activité. Le tribunal de commerce lui a accordé trois mois supplémentaires, le temps de parvenir à une issue favorable dans la plus grande liquidation de l'histoire du Maroc. Cette prolongation, la énième, a été prononcée le 25 janvier 2024. Le tribunal a rendu ce jugement à la demande de Abdelkbir Safadi, syndic chargé de la procédure judiciaire. La décision permet de maintenir les contrats en cours, ceux des employés en l'occurrence. Mais aussi le contrat avec BGI Petrolium, qui exploite sous la forme de location les importantes capacités de stockage du raffineur à Mohammedia. La prorogation permet surtout d'entretenir l'espoir quant à la cession de la Samir et la relance d'une activité à l'arrêt depuis l'été 2015. Où en est cette cession ? " En mode veille. Au même stade où elle en était il y a trois ou quatre ans", répond cette source proche du dossier. "Le juge-commissaire tient des réunions régulières avec le syndic et les contrôleurs mais, concrètement, on n'avance pas vraiment". Les audiences "d'examen des offres" se succèdent et se soldent par le même résultat : "Report pour la production des garanties". La prochaine audience se tiendra le 5 mars. Le juge-commissaire souhaite des offres, mais aussi des garanties en vue de leur exécution. En l'occurrence, une caution sur le montant offert et des engagements sur la préservation de l'emploi. Ce volet est entre les mains du syndic judiciaire Abdelkbir Safadi. Ce dernier est approché régulièrement par des investisseurs qui manifestent leur intérêt pour la Samir. Cet intérêt se concrétise parfois par des offres plus ou moins sérieuses, qui achoppent souvent au stade des garanties. Dans d'autres cas, la démarche est avortée par l'investisseur lui-même, refroidi par l'ambiguïté autour du dossier. Les repreneurs sont attentifs à tous les signaux, y compris politiques. Et dans le cas de la Samir, les messages émis par le gouvernement sont souvent ambivalents, sinon négatifs. Pourtant, l'Etat est le plus gros créancier: en quelque sorte, la vente de la Samir assurerait une rentrée certaine d'au moins 20 milliards de DH à l'Etat. "Nous avons été consultés par un industriel étranger qui voulait se positionner sur la Samir. Le syndic judiciaire était prêt à examiner l'offre et notre client, qui détient des raffineries dans plusieurs pays, avait les moyens financiers de concrétiser sa proposition avec les garanties nécessaires", nous confie le dirigeant d'un cabinet de conseil établi au Maroc. "Le client s'est néanmoins rétracté suite aux déclarations publiques d'un membre du gouvernement qui a fait comprendre qu'il était difficile de racheter la raffinerie en raison de sa dette colossale ", ajoute notre interlocuteur. Ici, il est fait référence à une sortie de Mustapha Baitas, porte-parole du gouvernement. Interpellé en septembre 2022 à l'Université d'été du RNI, l'intéressé a laissé entendre qu'il était difficile d'acquérir la Samir à cause de son passif qui dépasse les 40 MMDH. "Dans le fond, il s'agit d'une erreur puisque la cession ne porte que sur les actifs du raffineur. L'acquéreur n'est pas concerné par la dette. Le montant qu'il verse dans l'opération est récupéré par le syndic judiciaire, puis réparti entre les créanciers pour apurer le passif ", explique notre interlocuteur. "Erreur ou non, dans l'esprit d'un investisseur qui s'apprête à engager des milliards dans un bien, le moindre détail, même erroné, constitue un risque qu'il n'est pas prêt à prendre. Après ces déclarations, nous nous sommes retirés malgré les explications du syndic", regrette le conseil. Le dossier se joue au Maroc et à l'étranger, précisément à Washington, où le gouvernement est attaqué en arbitrage par l'ancien propriétaire de la Samir. Hussein Al Amoudi accuse le Royaume de lui avoir "exproprié" son bien et souhaite se faire dédommager en conséquence. Le litige est en cours depuis 2019, devant un tribunal arbitral rattaché au Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI). Officiellement, l'affaire ne connaît aucun développement depuis mars 2023. Un règlement transactionnel en cours ? Les pronostics d'observateurs avertis vont dans ce sens. Au reste, difficile d'obtenir des pistes de sources concernées. Déjà peu prolixe au moment d'aborder les dossiers CIRDI, la partie marocaine observe un mutisme religieux sur son litige avec l'homme d'affaires saoudien. Le risque financier se chiffre en dizaines de milliards de dirhams. C'est un dossier sensible, une affaire d'Etat. Et son règlement conditionne celui de la Samir dans sa globalité. a écrit:
_________________ Le courage croît en osant et la peur en hésitant.
romh General de Division
messages : 4193 Inscrit le : 09/09/2009 Localisation : Royaume Uni Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mar 13 Fév - 14:39
SAMIR le plus grand hold-up qu'a connu notre pauvre peuple après l'indépendance au grand dame des distributeurs et importateurs et peut être d'autres (حسبنا الله و نعم الوكيل) que Dieu tout puissant apporte sont plus sévère châtiment sur tout ceux qui sont derrière cette catastrophe
Bruce Wayne, Darkvador et Socket-error aiment ce message
SAMIR le plus grand hold-up qu'a connu notre pauvre peuple après l'indépendance au grand dame des distributeurs et importateurs et peut être d'autres (حسبنا الله و نعم الوكيل) que Dieu tout puissant apporte sont plus sévère châtiment sur tout ceux qui sont derrière cette catastrophe
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Les responsables.
1- Abdellatif Filali ( premier ministre a l'époque)
2- Le ministre des privatisations, Abderrahmane Saïdi, un constable de merde. (La clique a Driss Bassri)
nommer Directeur général de la Samir juste après la privatisation.
( Ils mènent un train de vie exorbitant de membres de sa famille et de proche juste après la privatisation dans des pays anglo-saxons Us canada UK ) .
Ils méritent
Tout le monde est responsable de cette mascarade même l'opposition et le pseudo avocat et journaliste de gauche les parlementaires tout le monde est responsable. Les faux débat........
Bruce Wayne, romh, simplet, Socket-error et Anzarane aiment ce message
L'inflation poursuit son ralentissement au Maroc. En janvier dernier, l’indice des prix à la consommation (IPC) au Maroc a montré a connu une évolution de 2,3 % en glissement annuel en janvier, en baisse par rapport à 3,4 % en glissement annuel en décembre, alors que l'inflation alimentaire continue de baisser rapidement, marquant le quatrième mois consécutive de recul. Ces données récemment publiées par le Haut-Commissariat au Plan ont installé un ton généralement optimiste pour les prévisions des institutions financières et économiques internationales, dont le Fonds monétaire mondial, ou encore Oxford Economics qui vient de publier une nouvelle analyse confirmant la poursuite de la désinflation au Maroc, après que les niveaux d’inflation records enregistrés au cours des deux précédentes années. L’inflation à son niveau le plus bas depuis octobre 2021 Établi à 2,3 % à fin janvier, l’indice des prix à la consommation a atteint son niveau le plus bas depuis octobre 2021, marquant enfin une record dans le bon sens pour l’inflation, souligne Oxford Economics. Cette baisse tant attendue est principalement le résultat du recul des prix des produits alimentaires, principaux contributeurs à l'inflation, et qui est ressorti à fin janvier à 4,3 % en glissement annuel, en baisse par rapport à 6,8 % en décembre. Cette tendance a concerné l’ensemble des autres composantes de l’indice, qui à leur tour ont « tous montré une inflation modérée ou une déflation sur une base annuelle, comme c'est le cas pour la santé, la communication, et les loisirs et la culture », note la même source. Cependant, si l’évolution annuelle de l’inflation constitue une « excellente » nouvelle, c’est son évolution mensuelle qui inspire le plus d’optimisme. L'IPC ayant baissé de 0,6 % le mois de janvier marque le quatrième mois successif de baisse des prix, enregistrant des reculs significatifs par rapport au mois précédent (le sous-indice alimentaire a baissé de 1,1 % mensuellement, avec les prix des légumes qui ont baissé de 9,6 % mensuellement, et les prix du carburant qui ont baissé de 2,4 %). La poursuite de la baisse de l’IPC sur base mensuelle, explique, au Desk, François Conradie, analyste chez Oxford Economics « est justement ce qui permet d’avoir une idée de la véritable tendance de l’inflation. Le recul des prix pour le quatrième mois consécutif au Maroc nous permet donc de dire que la déflation se confirme ». Les prix mondiaux en recul, l’heure à l’optimisme Alors que les mesures entreprises par les autorités en internes ont permis d’atténuer les effets de l’inflation, notamment à travers la subvention du transports et de certains produits, l’évolution constatée actuellement de l’inflation est principalement due au recul des prix des produits alimentaires sur le marché international. « L’inflation qu’a vécu l’économie marocaine pendant ces deux dernières années était principalement due à des facteurs hexogène et plus précisément à la hausse des prix mondiaux des denrées alimentaires en premier lieu et puis de l’énergie », étaye l’analyste économique. Aujourd’hui, cette tendance s’est inversée. « Les prix alimentaires mondiaux ont ralenti leur vitesse et les cours des carburants sont en baisse de mois en mois », affirme notre interlocuteur. Les indicateurs géo-économiques indiquent que cette tendance devrait s’entériner, poursuit-il. Parmi les facteurs qui devraient contribuer à cela : un ralentissement économique en Chine, et qui aurait un effet déflationniste. « Si les gens s’attendent à ce que les Chinois consomment moins, les prix ont tendance à baisser et en ce moment on dirait que cette tendance est plus importante que les effets des attaques sur les navires en Mer Rouge qui sont inflationnistes mais pas tant que cela », détaille Conradie. Ainsi, malgré certaines perturbations sur la scène internationale, notamment d’ordre géopolitique, « pour l’instant, toutes les prévisions indiquent que cette année ne sera pas celle de chocs inflationnistes globaux », ajoute-t-il encore. Tous ces facteurs laissent ainsi prévoir une atténuation de l’inflation, bien en-deçà des niveaux élevés observés en 2022 et 2023. Selon Oxford Economics, l'inflation atteindrait en moyenne 2,5 % en 2024, contre 6,1 % en 2023. La sécheresse, le danger qui plane sur l’économie marocaine Selon les données sur l’évolution des prix tant en interne qu’au niveau mondial, les perspectives d'inflation semblent favorables. Cependant, les économistes demeurent inquiets quant à l’impact de la sécheresse. Comme le souligne Oxford Economics, l'hiver a été « très sec », mettant en péril la production agricole. Cela laisse place à un « risque d'inflation liée à la sécheresse, avec la hausse les prix des fruits et légumes plus tard dans l'année ». En plus des fruits et légumes, la hausse des cours mondiaux des céréales représente un autre risque qui pourrait peser sur l’évolution des prix. « En dehors du Maroc, la sécheresse sévit aussi en France (principal fournisseur du royaume en céréales, ndlr) et d’autres pays producteurs. A cela s’ajoute l’impact de la guerre qui se poursuit en Ukraine sur les exportations en provenance de cette région », souligne Conradie. Ces conditions pourraient selon lui influer sur les prix des céréales, et notamment du blé, provoquant un nouveau choc sur les prix, ce qui « représente un risque sérieux pour le Maroc », d’autant que la production nationale est en recul. Ce risque pourrait toutefois être évité, si les récoltes dans d’autres régions du monde maintiennent leurs niveaux normaux, note notre interlocuteur. A part s’il y a une baisse globale et générale de la production céréalière, le royaume pourrait être épargné des impacts d’une hausse des prix, grâce à une diversification des importations. a écrit:
Le déficit de la balance commercial est totalement couvert par les transferts MRE au mois de Janvier, donc tous les flux des investissements étrangers viendront alimenter nos réserves En 2023 on a eu un solde courant proche de 0 et la tendance semble se confirmer en 2024, je ne sais pas qu'est ce qu'on attend pour relancer les agences de notations pour reprendre notre investment grade
RED BISHOP Modérateur
messages : 12323 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Ven 1 Mar - 18:30
je pense que c'est l'endettement qui coince ( plus de 60% du PIB)
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Fahed64 Administrateur
messages : 25558 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Ven 1 Mar - 18:38
RED BISHOP a écrit:
je pense que c'est l'endettement qui coince ( plus de 60% du PIB)
Pour cela il y a un moyen "simple" .... réevaluer sérieusement notre PIB
_________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire
je pense que c'est l'endettement qui coince ( plus de 60% du PIB)
Ce ratio ne signifie absolument rien, il y a des pays en défaut de paiement avec un ratio de 50% (Ethiopie) et des pays à l'aise avec un ratio de 250% (Japon). Un ratio qui rapporte un stock (dette) sur un flux (PIB) n'a aucune signification.
En 2014 on avait l'investment grade avec un ratio debt/GDP de 60% aujourd'hui 69%, notre déficit du solde courant était 5.7% aujourd'hui entre -0.5% et 0.5%, notre déficit budgétaire était 4.9% aujourd'hui 4.4%. Si on retrouve pas notre investment grade il faut un nouveau ministre des finances, c'est à lui d'argumenter la solvabilité du pays avec les agences de notation, ça va beaucoup nous pénaliser si on le retrouve pas le plus rapidement possible, on a de gros programmes d'investissement.
Fahed64, Kille24, sas et Socket-error aiment ce message
romh General de Division
messages : 4193 Inscrit le : 09/09/2009 Localisation : Royaume Uni Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Ven 1 Mar - 19:10
C'est pas le volume de l'endettement qui compte mais la structure de la dette qui pèsent le plus pour les agences de notations c'est pas ci facile de les pousser à changer leurs notes car c'est pas automatique et c'est pas très objectif leur méthode de faire il y a d'autres considérations, maintenant ce qu'il nous faut c'est une réévaluation du PIB mais ne vous cassez pas la tête avec un certain lahlimi au hcp et jouhari à bank lmaghrib ....
messages : 12323 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mar 5 Mar - 19:22
une révolution monétaire ca peut encourager les investissements et le tourisme coté négatif il y a un risque de dévaluation et de l'inflation
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romh General de Division
messages : 4193 Inscrit le : 09/09/2009 Localisation : Royaume Uni Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mar 5 Mar - 19:30
Sans une réforme fiscale et une maîtrise totale des flux de devises ainsi qu'une évaluation Exacte du volume de l'informel et des activités illicite (trafic de drogue et prostitution) cette opération va être très dangereuses
une révolution monétaire ca peut encourager les investissements et le tourisme coté négatif il y a un risque de dévaluation et de l'inflation
Pas vraiment la valeur nominale du Dirham est proche de la valeur réelle, il n'y a pas de gap avec un marché noir. Il n'y aurait pas de dévaluation, si ça se dévalue ça serait momentanément les premiers jours pour causes psychologiques et pas relatives aux fondamentaux du marché ensuite ça va se stabiliser
RED BISHOP Modérateur
messages : 12323 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mar 5 Mar - 19:38
Effectivement il n'y a pas de marché parallèle comme en Egypte ou chez la "Force de Frappe". Si le Dirham est proche de sa valeur de marché et que financièrement on a les reins solides on peut affronter ce changement.