* Suppositions : futurs achats des FRA *

Rappel du premier message :

Merci pour l'article Mourad , voici la partie interessante de l'article. Renouveller les Gazelles ?  

Citation :

Notre volonté c’est aussi d’accompagner le Maroc afin de mettre en place l’écosystème indispensable pour avoir sur place, c’est-à-dire au Maroc, des capacités locales de maintenance des hélicoptères et de formation des équipages et des techniciens. Dans ce sens, nous disposons aujourd’hui d’un «footprint» industriel existant à travers Stelia qui appartient 100% à Airbus. En ce moment, on est également en discussion avec l’armée de l’air pour remettre en état les Puma et renouveler les flottes. Nous sommes également en discussion pour renouveler les appareils d’attaques, cela concerne les Gazelles qu’on avait vendues au Maroc il y a plusieurs années. On est également en discussion avec la gendarmerie pour renouveler les flottes.

Oui Fox-1 , les USA sont plus généreux et pragmatique que la France en matière d'armement envers le Maroc.

Northrop a écrit:

Oui Fox-1 , les USA sont plus généreux et pragmatique que la France en matière d'armement envers le Maroc.

presque 1 rafale sur 2(55% des avions vol) ne vole pas contrairement au f-15

La presse hystérique mais il y a des pistes. Si cela ce concrétise on va prendre méchamment du muscle:

Citation :

Le Maroc achètera le F-35 aux États-Unis pour devenir la plus grande puissance militaire d'Afrique: préoccupation espagnole
Rabat et Washington ont signé le 2 octobre un accord militaire qui envisage l'acquisition possible de F-35, l'avion le meilleur et le plus cher du monde.

Le 2 octobre dernier a marqué une étape importante dans les relations commerciales et diplomatiques entre les États-Unis et le Maroc . Ce jour - là, les deux pays ont signé un accord « historique » de caractère militaire à mettre en œuvre dans la prochaine décennie.

L'objectif ultime du gouvernement américain est de renforcer la coopération en matière de défense et de préparer la nation gouvernée par Mohamed VI comme le pays d'Afrique du Nord le mieux équipé militairement, en gardant à l'esprit que l'administration américaine est déjà le plus grand fournisseur d'armes du Maroc.

Le magazine Forbes a rapporté que "le Maroc était le plus grand client américain d'armes dans la région du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord en 2019" et que "Washington a conclu des accords d'armes avec Rabat d'une valeur d'environ 10,3 milliards de dollars. l'année dernière".

Ainsi, avec les nouvelles rubriques en 2020 , le Maroc a conçu la feuille de route pour la prochaine décennie en Afrique du Nord avec une coopération dans différents domaines: «Liberté de navigation, échange de renseignements et opérations de réponse aux catastrophes», selon le Pentagone. A cela s'ajoute, selon des sources de Rabat, «l'acquisition et la fabrication de matériel d'armes».

De cette manière, l'engagement militaire marocain envers la machine américaine se renforcera au cours des dix prochaines années. Et le Maroc bénéficiera de nombreux privilèges.

Le premier est de garantir «l'exclusivité» des approvisionnements militaires américains au profit des Forces armées royales marocaines, notamment en ce qui concerne les F-16, auxquels les États-Unis introduisent une série de modifications techniques et technologiques.

De même, il aura la possibilité d'obtenir les changements des chars blindés 6x6 Cougars et du système de missiles sol-air à longue portée MIM-104 Patriot, exclusivement pour l'Afrique.

Le Maroc fait partie des 22 pays qui vont acquérir des missiles air-air avancés de moyenne portée (AMRAAM) dans le cadre d'un contrat d'une valeur de 768 millions de dollars devant être achevé en février 2023, comme l'a confirmé le ministère américain de la Défense.

"Le contrat prévoit la production de missiles AMRAAM, de missiles d'entraînement à air captif, de sections de guidage, d'un système de télémétrie AMRAAM, de pièces de rechange et d'autres matériels de soutien à l'ingénierie de production", a rapporté le département du Pentagone dans un communiqué fin 2019.

De plus, cet accord permettra le développement de la quincaillerie marocaine et son ouverture sur le marché américain. À son tour, "la modernisation militaire marocaine ouvrira les portes pour entrer dans le club des pays qui possèdent des avions de quatrième génération équipés de radars AESA, très similaires au F-35, le joyau de la cinquième génération de l'armée américaine", a publié la semaine dernière le numérique marocain Hespress .

Des services de renseignement marocains, ils soulignent à EL ESPAÑOL que «dans cette décennie, le Maroc pourra acquérir les F-35. Et, bien que cela ne soit pas spécifié dans l'accord, cela signifierait d'une certaine manière la reconnaissance de l'Etat d'Israël, comme cela s'est produit avec les Emirats arabes ».

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu s'est opposé à la vente des F-35 ou de toute arme de pointe à un pays du Moyen-Orient sans avoir préalablement reconnu l'État d'Israël.

L'Espagne a besoin de F-35
Outre l'inquiétude de l'Espagne quant à l'acquisition dans son pays voisin de 36 hélicoptères Apache et de plus de 200 chars de combat M1 Abrams, il y a désormais la possibilité, après cette alliance, d'acquérir le meilleur et le plus cher des avions F-35, au que peu de pays ont accès. À l'heure actuelle, il n'y a qu'un demi-millier d'opérations dans une vingtaine de bases à travers le monde et un millier de pilotes formés pour les manœuvrer.

Dans ce nouveau contexte, il est essentiel pour l' Espagne d' acquérir des F-35 avant 2030, selon plusieurs officiers militaires dans leurs déclarations. L'achat de ces avions pour la marine espagnole et l'armée de l'air a été soulevé à de nombreuses reprises car c'est la seule option pour remplacer les Harriers en tant qu'élément à voilure fixe à bord du navire Juan Carlos I.

Le deuxième chef de l'état-major de la marine, l'amiral José Luis Urcelay, a déclaré dans une interview à Infodefensa TV en septembre dernier la nécessité de remplacer les avions de combat Harrier par des avions F-35 de cinquième génération "car si pas en l'an 2030 nous n'aurons été laissés seuls au monde avec cet hélicoptère ».

Par conséquent, il a avoué: "Nous développons tout le processus conceptuel pour arriver à une situation dans laquelle l'Espagne peut accéder à ces avions, qui sont essentiels si nous voulons maintenir la capacité amphibie de notre marine."

Peur des armes
Mais, en plus, l'une des craintes à Madrid est la possibilité que le Maroc rejoigne également le club des pays producteurs d'armes. Cela constituerait une menace pour leurs intérêts stratégiques et vitaux en Méditerranée et dans l'Atlantique.

Ce qui a été révélé par le vice-ministre en charge de la défense nationale, Abdeltif Loudyi, lorsqu'il proposait de "consolider la coopération militaire avec les États-Unis en promouvant des projets d'investissement conjoints au Maroc dans le secteur de l'industrie de la défense, en vue de favoriser le transfert de la technologie et construire progressivement l'autonomie stratégique du pays dans ce domaine ».

Et c'est que les États-Unis donneront au pays du Maghreb les clés pour fabriquer des armes avec la technologie américaine, avec lesquelles il construira des drones et des radars. Par exemple, comme EL ESPAÑOL l'a appris, Washington transférera la technologie RQ-4 pour la fabrication de véhicules aériens sans pilote à des fins de surveillance et d'attaque. C'est le plus gros drone de l'armée américaine au monde.

Considéré comme l '«avion espion» contemporain, il effectue des missions dites ISR: renseignement, surveillance et reconnaissance des espaces terrestres et maritimes de jour comme de nuit et jusqu'à 34 heures d'affilée.

Collaboration entre la NSA et la CIA
L'accord comprend également une collaboration en matière de cybersécurité et de cyberdéfense. Dans l'extension de la base navale d'Alcazaseguir, dans le nord du Maroc, à quelques kilomètres de Ceuta, la National Security Agency (NSA) , le renseignement de la marine américaine rattachée au ministère de la Défense, ainsi que la CIA seront installés. il élargira son personnel et ses unités de renseignement.

La NSA intercepte les communications d'autres pays et sécurise les communications du gouvernement américain , à la fois en interne et avec ses alliés. Presque toutes les informations concernant cette agence sont classées et le nombre exact de ses employés et leurs emplacements est inconnu, bien que l'on sache qu'elle dispose de stations dans des bases américaines déployées dans le monde et également dans les bases militaires de ses alliés, au moins dans 35 pays.

Selon des sources consultées par EL ESPAÑOL, au Maroc "il sera installé dans la base navale d'Alcazaseguir pour contrôler le trafic à travers le détroit de Gibraltar, mais, en plus, ils construiront une base militaire américaine, vraisemblablement dans la partie nord-est du pays".

L'inspecteur général des Forces armées royales, Abdelfettah Louarak, a précisé dans un communiqué que «la coopération comprend l'organisation d'exercices combinés, l'échange de visites d'information et la participation à diverses formations et pratiques d'entraînement».

Il a également souligné l'importance des exercices multilatéraux de l'African Lion, connus dans toute la région comme des manœuvres essentielles pour plusieurs pays, qui cette année n'ont pas été effectués en raison de la fermeture des frontières en raison de la pandémie. Normalement, ils s'étendent au sud du Maroc, mais à l'avenir leur champ d'application sera étendu au Sahel.

Depuis le siège du Département de la Défense, ils ont expliqué que l'accord prenait deux ans à négocier et pourrait servir de modèle pour les futurs pactes américains avec d'autres gouvernements en Afrique.

Au Maroc , l'accord a été signé lors de la visite de trois jours à Rabat du secrétaire américain à la Défense, Mark Esper, début octobre. Pour l'administration américaine, "le Maroc est un allié stratégique en dehors de l'OTAN et une porte d'entrée vers le continent africain", a déclaré Esper.

Il a ajouté que "pour les liens commerciaux et les échanges, nous devons renforcer nos capacités de défense et développer des partenariats avec les gouvernements africains", rappelant que "le Maroc est un leader dans ce domaine". Malgré tout, l' Algérie , sa grande rivale dans la région, reste la plus grande puissance militaire du continent africain.

Autre accord
Esper a également visité la Tunisie et l'Algérie lors de la même tournée en Afrique du Nord. Avec la Tunisie il a signé un autre accord militaire, tandis qu'avec l'Algérie, où les Américains n'ont plus voyagé depuis 2006 et qu'ils considèrent comme un allié important dans la lutte contre le terrorisme, Esper a rencontré le président, Abdelmadjid Tebboune, et le chef de l'armée. , Le général Saïd Chengriha. Il a évoqué l'expansion de la coopération en matière de sécurité et les problèmes dans la région du Sahel.

Ce voyage s'analyse comme un geste pour inviter l'Algérie, l'un des principaux investisseurs en équipements militaires, à se rapprocher de l'orbite stratégique des États-Unis.

Contrairement au Maroc et à la Tunisie, l'Algérie s'appuie principalement sur la Russie pour équiper ses forces armées. Elle entretient également de très bonnes relations avec la Chine, qui est son principal fournisseur commercial, avec des exportations qui ont dépassé les 500 millions d'euros en janvier 2020, soit 18% des importations algériennes.

L'ancien président, Abdelaziz Bouteflika, a été évincé en 2019 par des manifestations populaires. Le projet de Constitution du pays, s'il est approuvé, lui permettrait de déployer ses troupes hors des frontières du pays.

En tout état de cause, alors que les États-Unis considèrent formellement le Maroc et la Tunisie comme des alliés non membres de l'OTAN, il n'est pas clair que l'Algérie ait l'intention de rejoindre ses voisins à court terme.

De cette manière, les Américains cherchent à renforcer leurs partenariats en Afrique du Nord au milieu de la présence militaire croissante de la Russie en Méditerranée et des intérêts de Moscou et de Pékin sur le continent africain. De plus, ils travaillent pour la sécurité en Afrique du Nord, au Sahel et en Libye.

Bureau de lutte contre le terrorisme
En dehors de cet accord, d'autres pactes entre le Maroc et les Etats-Unis ont été scellés ces derniers temps. En septembre, le ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita, et le secrétaire d'État américain, Mike Pompeo, ont présidé à la signature d'un autre accord bilatéral par visioconférence pour consolider les privilèges diplomatiques et l'immunité des deux parties. Le prochain consulat américain ouvrira ses portes à Casablanca et la construction débutera cette année.

Concernant l'aspect sécuritaire, le nouvel ambassadeur américain à Rabat, David T. Fischer, a souligné que "les Etats-Unis et le Maroc restent déterminés dans leur intention de promouvoir la liberté religieuse et de lutter contre l'extrémisme violent".

Ainsi, le 6 octobre, l'Office des Nations Unies contre le terrorisme (ONUCT) et le Maroc ont signé un accord sur leur implantation à Rabat pour développer les capacités de lutte contre le terrorisme et la coopération en Afrique.

Le centre de formation concevra et fournira des programmes spécialisés de lutte contre le terrorisme et d'application de la loi aux États membres demandeurs en Afrique du Nord et en Afrique subsaharienne, avec un accent initial sur le Sahel. En outre, il élaborera des programmes nationaux de lutte contre le terrorisme conformes aux droits de l'homme.

Comme l'a appris EL ESPAÑOL, Abdellatif Hammouchi, aux commandes de la Direction générale de la sécurité nationale (DGSN), décoré par les gouvernements espagnol et français pour sa lutte contre le terrorisme, est le candidat le plus fort pour diriger ce centre de formation.

Le traité d'amitié entre les deux pays date de 1786 et a été renégocié en 1836. L'ambassadeur Fischer a déjà défendu l'été dernier devant la commission des affaires étrangères du Sénat nord-américain que cette association est «vitale» et «doit être consolidée» également économiquement et politiquement. comme en termes de coopération en matière de sécurité. À quoi Mark Esper du Pentagone a ajouté lors de sa récente visite à Rabat: «À bien des égards, le Maroc est le premier pays ami des États-Unis d'Amérique».

https://www.elespanol.com/reportajes/20201019/marruecos-comprara-f-35-eeuu-potencia-africa-inquietud/529197469_0.amp.html

Foutaise Espagnol lol

Je pense qu'ils crient au loup pour pousser les leurs à débloquer les fonds nécessaires pour fournir le F-35 à l’Espagne. Pour le Maroc je ne pense pas que nous ayons la capacité (actuellement) d'avoir des F-35, trop cher à entretenir et à faire voler. Dans l'avenir (10 à 15 ans) pourquoi pas, mais là.......

Le f 35 peut être downgrade à distance à volonté selon les humeurs du locataire de la MB.

en plus d'ici là, la furtivite de cet avion sera sûrement remise en cause par les évolutions techno russes ou chinoises.
L'avenir sera pour les drones. Même la flotte la plus complète de f-35, peut être anéantie à terre par l'attaque d'un milliers de mini drones suicidaires.
La techno est accessible et n'est plus sorcière, il faut juste avoir la volonté de s'appliquer. Si ce n'est pas nous qui s'y appliquent maintenant, alors nos ennemis pourraient être déjà sur le filon.

DE LA propagande......
On a ni la capacité ni les moyens pour des F35 sans parler qu'il faut diversifier nos fournisseurs.......toute notre force de frappe et US c'est une arme à double tranchant.

Il y'a du faux comme du vrai dans cette article
Oui le F35 est plus destinée à la Marine espagnol que notre armée de l'air..
Mais pour le transfert de technologie militaire a prendre au sérieux.

du forcing politique de la droite espagnole soutenue par l'institution militaire pour passer à un 5gen et ancrer la suprématie militaire sur le Maroc, autrement dit le F16V muni du AIM120D est très dissuasif face au EF2000 même avec Captor-E et Meteor, ça me rappel l'episode australien le clan de DR.Carlo Kopp qui luttait pour avoir le F35 au lieu du super hornet

Tranfert techno ..je vois pas

Sauf concernant la modernisation profonde du parc m 60 et m 113..
En plus du parc f 16 block 52..

Instead of miserably waiting for a tech transfer, the nation can fork out funds and start drone programs of its own, exactly how Turkey managed to put foundations of its domestic defense industry and lifted itself from complete dependency on foreign defense equipment.

Drones have yet again proved to be a key player in modern warfare in the ongoing Azeri-armenian conflict, cheap, effective, and lethal. there is no excuse for a modern military with resources, and a budget like ours to be deprived from a highly dependable and cheaply operated fleet of drones, In the very likely case that another conflict erupts in the Sahara drones would be a key turning point in quickly and effectively detect, locate and eliminate any enemy movement, outpost or supply chain, this preventive strike strategy will deplete the enemy's resources quickly and effectively, along with the psychological impact that drones bring to the battlefield in a way that it creates a constant fear in the enemy's infantry and armor personnel.

Much like the Turkish drone program started from an amateur, almost laughable project from a civilian, and evolved into a full blown heavily advanced industry, our nation can follow up on the steps of the Turkish approach and adopt any aspiring and ambitious project.

je crois qu'il y a du vrai dans cet article, les US vont surement nous permettre de se procurer des pièces de leurs fournisseurs pour des drones, cela pourra inclure des radars, caméras etc

pilote chasseur a écrit:

Instead of miserably waiting for a tech transfer, the nation can fork out funds and start drone programs of its own, exactly how Turkey managed to put foundations of its domestic defense industry and lifted itself from complete dependency on foreign defense equipment.

Drones have yet again proved to be a key player in modern warfare in the ongoing Azeri-armenian conflict, cheap, effective, and lethal. there is no excuse for a modern military with resources, and a budget like ours to be deprived from a highly dependable and cheaply operated fleet of drones, In the very likely case that another conflict erupts in the Sahara drones would be a key turning point in quickly and effectively detect, locate and eliminate any enemy movement, outpost or supply chain, this preventive strike strategy will deplete the enemy's resources quickly and effectively, along with the psychological impact that drones bring to the battlefield in a way that it creates a constant fear in the enemy's infantry and armor personnel.

Much like the Turkish drone program started from an amateur, almost laughable project from a civilian, and evolved into a full blown heavily advanced industry, our nation can follow up on the steps of the Turkish approach and adopt any aspiring and ambitious project.

I agree with you however we need to demystify some myth about the Turkish défense industry.

They started after wining the Cyprus war when they saw an embargo haunts them. In the 90’s they intensively collaborated with the Israelis gaining time, tech transfer and strong foundation.
Since then they invested billions of dollars in RnD. As usual we only notice the results to late ...
if the Moroccan government is serious about an indigenous défense industry it will take us 30 years old to achieve something « Big » ...

The Turks started with ammunition ... there is something to think about !

sirono a écrit:

je crois qu'il y a du vrai dans cet article, les US vont surement nous permettre de se procurer des pièces de leurs fournisseurs pour des drones, cela pourra inclure des radars, caméras etc

pour ca il faut des compagnies américaines HI-Tec s'installent au Maroc. comme Pratt and Witney, boeing, Northrop Grumman,Lockheed Martin,Raytheon et j'on passe comme c'est le cas au Canada.
sans cela on ne peux parler de transfert de technologie.

bradli23 a écrit:

sirono a écrit:

je crois qu'il y a du vrai dans cet article, les US vont surement nous permettre de se procurer des pièces de leurs fournisseurs pour des drones, cela pourra inclure des radars, caméras etc

pour ca il faut des compagnies américaines HI-Tec  s'installent au Maroc. comme Pratt and Witney, boeing, Northrop Grumman,Lockheed Martin,Raytheon et j'on passe comme c'est le cas au Canada.
sans cela on ne peux parler de transfert de technologie.

Le transfert de technologie ne veux pas dire nous donner le plan des armes et pièces lol, cela veux seulement dire nous permettre d'accéder à une technologie très pointue dans les capteurs et radars etc. On pourra par exemple assembler des drones plutôt performants sans acheter, par exemple le MQ 9 qui n'est pas adapté à nos besoins, il nous faudrait plutôt un drone léger type TB2, pas cher et en grande quantité, si on y arrive à moins de 1 million d'euros pièce avec les mêmes capacités que le TB2, je peux vous assurer qu'on pourra écraser les séparatistes et leur marraine sans trop de pertes dans les équipements importants type f16 et apaches.

Fahed64 a écrit:

I agree with you however we need to demystify some myth about the Turkish défense industry.

They started after wining the Cyprus war when they saw an embargo haunts them. In the 90’s they intensively collaborated with the Israelis gaining time, tech transfer and strong foundation.
Since then they invested billions of dollars in RnD. As usual we only notice the results to late ...
if the Moroccan government is serious about an indigenous défense industry it will take us 30 years old to achieve something « Big » ...

The Turks started with ammunition ... there is something to think about !

Absolutely, they sensed an upcoming crisis and planned accordingly, unlike our government which seems to be sitting on a cloud even though we've faced a similar situation during the war and we had to beg Donald Reagan's administration to sell us arms, we were in a tight spot and losing the war, we've lost most of the territory and had to wait for the carter administration to approve the arms sales amid a huge opposition from the left wing.

Just watch this biased documentary from New York based PBS and you would realize how close we were to an arms embargo:

https://youtu.be/kEowVrGTPc4

On est entrain de parler de transfert de techno pointue alors qu'on ait sur les porte de 2021 et on ne fabriques même pas nos propres munitions..........Et aucun projet concret ne se profil a l'horizon.

les tchèques , le Brésil , l’Indonésie ou le Pakistan c'est avec ces pays qu'il faut chercher partenariat pour une possible industrie militaire...........les grands pays exportateur n'ont rien a gagner dans un transfert techno.

Je vois que beaucoup de membres sous-estiment, la volonté royale dans ce sens, on peut pas savoir au juste les nouvelles orientations du Maroc dans ce sens, les Américains on apparemment pris la décision de s'investir plus au continent africain contre l'existence chinoise et veulent soutenir militairement un allié crédible pour jouer un rôle de leadership africain surtout dans la région de l' ouest. Ils ne veulent plus faire confiance aux Européens. La carte géopolitique subi des changements Majeurs certains sont visibles est prévisible les autres ne le sont pas. Cette volonté de croisent directement avec la volonté royale de faire de l'industrie de défense un levier majeur de notre politique industrielle car ce secteur a la particularité de présenter plusieurs complémentarités avec l'industrie civile.
Pour le transfert de technologie le Maroc ne va pas bien sûr demander des secrets et des brevets qui coûtent des centaines de milliards soyons raisonnable, mais la chaîne de valeur est Ultra varié et il h a beaucoup de choses qu'on peut faire localement sous licence ou en joint-venture.
Pour la Turquie je ne vois pas de quoi c'est un exemple à suivre pour l'indépendance tout leurs programmes sont initiés grâce aux israélien et les européens. Si jamais ils subissent un vrai embargo vous allez voir que la propagande dépasse largement celle des Russes.

pilote chasseur a écrit:

Fahed64 a écrit:

I agree with you however we need to demystify some myth about the Turkish défense industry.

They started after wining the Cyprus war when they saw an embargo haunts them. In the 90’s they intensively collaborated with the Israelis gaining time, tech transfer and strong foundation.
Since then they invested billions of dollars in RnD. As usual we only notice the results to late ...
if the Moroccan government is serious about an indigenous défense industry it will take us 30 years old to achieve something « Big » ...

The Turks started with ammunition ... there is something to think about !

Absolutely, they sensed an upcoming crisis and planned accordingly, unlike our government which seems to be sitting on a cloud even though we've faced a similar situation during the war and we had to beg Donald Reagan's administration to sell us arms, we were in a tight spot and losing the war, we've lost most of the territory and had to wait for the carter administration to approve the arms sales amid a huge opposition from the left wing.

Just watch this biased documentary from New York based PBS and you would realize how close we were to an arms embargo:

https://youtu.be/kEowVrGTPc4

You are right ! Thank you for sharing

pilote chasseur a écrit:

Just watch this biased documentary from New York based PBS and you would realize how close we were to an arms embargo:

https://youtu.be/kEowVrGTPc4

J'en ai vu des reportages de propagande pro-polizario, mais celui-là est vraiment le pire!

Merci pour le partage.

QuickShark a écrit:

pilote chasseur a écrit:

Just watch this biased documentary from New York based PBS and you would realize how close we were to an arms embargo:

https://youtu.be/kEowVrGTPc4

J'en ai vu des reportages de propagande pro-polizario, mais celui-là est vraiment le pire!

Merci pour le partage.

Oui, c'est que l'impartialité n'est pas le fort de ce documentaire, tout comme le plus recent docu de Vice " Sahara the Forgotten War" qui date du milieu des années 2010 si je ne me trompe pas.

Cependant pour le premier, il faut remettre les choses dans leurs contexte, l'opinion publique américaine avait peur d'un autre enlisement de type Vietnam au Maroc, car les deux conflits ont d'enormes similarités aux yeux de l'américain lambda. Ca commence par l'envoi de matériels, personnel d'instruction et ca petit à petit ca part vers l'escalade.... donc c'est normal qu'on va essayer de vendre l'idée que '" ca n'en vaut pas la peine, le Maroc c'est des méchants".

Deuxième point, et qui pour moi est hautement "emmerdant" vu que les relations presses /publiques sont mon métier, est la politique de silence qu'adopte bon nombre de secteurs gouvernementaux, pas que l'armée, au Maroc, on refuse tout simplement de parler à la presse, a donner notre point de vue.

Donc ce qui se passe c'est que le redacteur/réalisateur/producteur d'un journal, d'un reportage, d'un docu au lieu de balancer le projet à la poubelle parcequ'il n'a pas eu de réponse de tel ou tel departement ou se fait envoyer balader avec des réponses bateaux qui ne veulent rien dire au final, le sort avec un seul point de vue...

Fahed64 a écrit:

I agree with you however we need to demystify some myth about the Turkish défense industry.

They started after wining the Cyprus war when they saw an embargo haunts them. In the 90’s they intensively collaborated with the Israelis gaining time, tech transfer and strong foundation.
Since then they invested billions of dollars in RnD. As usual we only notice the results to late ...

C'est bien de le rappeler . Alors que la mémoire de hassan 2 continue d'être taxé de sioniste traitre juste parce qu'il a reçu S.Perez à Ifrane pour un simple dialogue , Erdogan lui est applaudit ...

Avec tout les chantiers entrepris par les FRA, avez vous une idée si il y a des projets pour la modernisation de la flotte des hélicoptères tactiques et lourds.

Les AB-205 commencent à accuser le coup de l'age et les puma bien que modernisés restent en nombres insuffisant.

Les Chinooks, outil vital pour le ravitaillement et l'acheminement de renforts vers les postes avancées, sont aussi en nombre très réduits.

ils parlent de G550 ISR / SIGINT

Citation :

قراءة رصيف صحافة مطلع الأسبوع الجديد نستهلها من "الأحداث المغربية"، التي كتبت أن القوات الجوية الملكية تستعد لتسلم أول طائرة من بين أربع طائرات أمريكية الصنع، من نوع Gulfstream G550، مخصصة للحرب الإلكترونية والاستخبارات، في بداية سنة 2021.
https://www.hespress.com/medias/491140.html

Un vieux sujet qui ressurgit : https://far-maroc.forumpro.fr/t4349-4-gulfstream-sigint-isr

Certainement un achat postponed à l'époque pour se concentrer sur d'autres besoins...

Les FAR ont une stratégie d'acquisition vraiment pragmatique et réfléchit.
Ils vont sans doute se concentrer sur la partie marine cette année... je l'espère !